J'ai pensé au contraire que c'était 3h de "cépamoicellzéceux".
On aurait presque de la peine pour lui tellement il en a pris dans la figure.

Pauvre Manu' obligé de se faire inviter à une émission spéciale sur TF1 pour tenter de faire croire qu'il décide encore de quelque chose. Même pas vu, déjà oublié.

Il parraît qu'il pense aussi à 2032... LOL.

Grâce à Tibo in Shape, suppôt de l'extrême droite, Macron veut mettre l'Hyrox à l'école. Elisabeth Borne veut aller plus loin et veut mettre ça en place dès la maternelle.
:imaginet'onleGeneraldeGaule:

Sifu c'est un excellent jeu, je l'ai poncé jusqu'à avoir vu tout ce qu'il avait à offrir. Excellent et bien difficile de finir à 100%. Mais faisable.

Je m'essaierais bien au Tortues Ninja - Revanche de Shredder. J'avoue avoir adoré le "Turtles in Time" à l'époque et ce nouveau jeu semble jouer sur la même fibre nostagico-neo-retro que Streets of Rage 4.

Pour rester dans la même veine, j'ai été, après les beta test, pas mal déçu par City of the Wolves. La direction artistique façon "comix zone" est un peu raté et, surtout, je trouve qu'on n'a pas le même feeling que le jeu d'origine. Les personnages ont des animations plus "raides" (même Mai en mode MILF motarde) et le jeu, malgré les moyens saoudiens, est techniquement daté comparé à que fait Arc Sys et Capcom.
Pour finir, je n'adhère pas à un système de jeu qui se limite presque à la récitation de combos où une touche réussie peut finir à 3/4 de vie déscendue après 25 hits.

Oublie pas de dire ce que t'as pensé de la fin de Brothers ! (quand t'u l'auras fini)

Sifu j'ai vu Bob Lennon y jouer, ça a l'air cool mais trop dur pour moi, j'ai plus l'âge d'avoir ce genre de réflexes
Et je confirme que Shredder's Revenge c'est le vieux Turtles in Time, mais en mieux sur tous les points, il est génial !

(Sinon en ce moment, je suis retombé dans Champions Online, le MMORPG de superhéros, toujours en vie depuis que je l'avais lâché en 2011... Il s'accroche !)

C'est vrai que ça dépend des régions : à Bordeaux, trouver un ophtalmo est facile, on a généralement un RDV sous 2 à 3 semaines (mon ancien collègue toulousain venait à Bordeaux pour ses consultations). Idem pour les dentistes. Par contre pour les ORL et les gynéco, là faut être patient. Trèèèès patient.

Pour ma part, je suis favorable à l'augmentation du numerus closus en priorité. Il va nous falloir minimum 10 ans pour améliorer la situation mais comme l'a dit MCL, a un moment donné, l'implantation géographique va s'auto-réguler de facto par la force des choses (ma seule inquiétude est que compte tenu de la baisse générale de niveau, on va se retrouver avec des gens qui auront le concours et qui, bon, ne l'auraient pas eu sinon, parce que pas au niveau).

Quant à légiférer sur l'obligation d'aller exercer dans les zones tendues.... Je suis partagée. Alors, oui, c'est vrai, après 10 ans ou plus d'études, tu as quand même envie de t'installer où tu as envie. Tu n'es pas prof, on ne va pas t'obliger à te taper 5 ans à Villeneuve la Garenne. D'un autre côté, j'ose espérer que, quand même, il y en a encore qui font médecine par vocation et pas uniquement pour l'appât du gain. Et l'accès à la santé, c'est comme l'accès à l'eau : ça devrait un droit fondamental. Imposer une répartition par grande région au moins pour un temps limité (5 ans ?) ne me choquerait pas pour pallier à l'absence d'équité en matière d'accès à la santé.

Actuellement, vu le manque de médecins, imposer l'installation dans les zones en manque n'a aucun sens à part répartir très vaguement la pénurie. On est actuellement à 90% du territoire métropolitain sous-doté. Donc en gros, même avec le projet de loi qui imposerait quelques contraintes, on voit qu'un médecin va quasiment pouvoir s'installer partout en dehors de Paris intra-muros, l'ouest parisien cossu, des côtes du Var et des Alpes-Maritimes... Ça laisse un paquet de coins sympas accessibles à la mer, à la montagne ou pour tout autre souhait de vie.

Le désert médical au fin fond de la campagne ou dans les quartiers craignos, c'était il y a vingt ans.

En tout cas, des mauvais choix des anciens médecins (qui à l'époque ont poussé au numerus clausus aussi pour réduire la concurrence et augmenter ainsi la rentabilité des cabinets) qui ont soutenu le malthusianisme gouvernemental s'est en partie retourné contre eux: la pénurie est telle que quasiment aucun médecin ne rachète un cabinet pour s'installer. Pourquoi payer hors de prix un fichier de patients alors qu'il suffit de fixer la plaque et de s'inscrire sur doctolib pour se constituer une clientèle en moins de 15 jours?

Pour sortir du bourbier, il faut former massivement des médecins et tous ne s'installeront pas à Paris ou sur la Côte d'Azur. Y'a aussi un moment où la concurrence joue: suffisamment de médecins formés veut dire que s'ils s'installent tous aux mêmes endroits, la concurrence entre eux sera féroce et leur revenu baissera. Donc il se répartiront sur le territoire et ils se répartiront d'autant plus que financièrement (comme c'est déjà le cas) ils sont subventionnés pour aller dans les zones sous-dotées. Sinon, on peut aussi décider que ça sera des salariés de la sécurité sociale et qu'ils seront affectés sur des postes à des endroits définis... mais là, ça va hurler.

Augmenter le nombre ne changera pas la question de la répartition. Il sera toujours plus agréable d'aller exercer là où tu pourras prendre part à un apero-sunset sur la plage qu'entourré de béton où tu pourras te faire agresser à la moindre frustration.
Ou alors tu "régionalise" des quotas mais là c'est du techno-communisme.

CitationAutre raison, et ça va pas faire plaisir à MCL et FinalBahamut, mais pas mal d'entre eux ne bossent que 3 ou 4 jours par semaine, car bosser 5 jours augmente trop significativement les impôts qu'ils doivent payer

C'est justement ce que me disait, quand je vivais encore à Lille, mon médecin traitant réac' (aujourd'hui, Liberation le qualifierait de neo-nazi et demanderait qu'on le banisse de l'ordre des médecins).

Sur Lyon, certains spécialistes, ça a l'air d'aller encore à peu près. Paradoxalement, j'ai trouvé en rendez-vous chez un ophtalmo avec un délai de 3 semaines (celui que j'avais depuis pas loin de 40 ans est parti en retraite). C'est vraiment sur les généralistes que ça coince à fond... Je vais quand-même pas en prendre un sur Paris...  

Mais je repense à quand je cherchais un kiné qui se déplace à domicile pour mon père: introuvable. Même le service dédié de l'assurance maladie pour aider à trouver des professionnels de santé pour les personnes très malades avait déclaré forfait. C'était il y a même pas deux ans. Donc il y a aussi des spécialités en pénurie.

Après, que les médecins bossent 3 ou 4 jours par semaine, j'ai rien contre, vu que je suis pour la semaine de 28  heures. Il faut juste qu'ils soient suffisamment nombreux. Quand je pense qu'il y a trente ans des technocrates nous expliquaient que la sécu allait faire des  économies par la réduction du nombre de médecins... c'est sûr, dans une société dont le vieillissement était déjà bien engagé à l'époque c'était une idée de génie. Et les ministres de la santé successifs ont validé ça les yeux fermés et ça à mis 30 ans à nous mettre dans le mur, mais on y est et bien et pour des années... un peu comme l'entretien des routes et voies ferrées, les effets des économies mal placées on les voit au bout d'une quarantaine d'année. Là aussi on est dans le mur et pour longtemps.