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Sujets - RoiLion.Thom
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Cinéma / Les super-héros au cinéma
« le 21 Décembre 2006 à 11:25 »
Hop, topic ! :mrgreen:
Citation de Omni le 21 Décembre 2006 à 11:06
on aura bientôt droit à Fantastic four 2 the rise of the silver surfer, Hellboy 2, Batman the dark knight, Iron man, Antman ( :sweatdrop:), Wolverine, Punisher 2, Spiderman 3, Hulk 2, Alien vs Predator 2, Submariner, et sûrement d'autres ...
On part de ça, et je rajoute, donc, un film sur Thor, en cours d'élaboration, prévu pour 2008.

C'est cool, les super-heros, quand même ! :yes:

FF2 sort le 8 août 2007

Dimension film vient d'acquérir les droits de Madman


Il y a un Wonder Woman en préparation aussi : http://www.iesb.net/index.php?option=com_d4j_ezine&task=read&page=1&category=2&article=947&Itemid=29

Et pour finir, une bonne nouvelle :
Citation
Sam Raimi s'y connaît en super-héros. Entre Darkman et Spider-Man, il a eu de quoi faire.

Selon l'article de IGN, le réalisateur de la trilogie Evil Dead pourrait s'attaquer à des héros de pulps publiés par Street and Smith Publications tels que Doc Savage, The Shadow et The Avenger.

Raimi serait à la tête de ce projet (un seul film réunissant ces différents personnages ?) et Siavash Farahani (Ingenue) serait chargé du scénario.

A noter que The Shadow a déjà fait l'objet d'une adaptation cinématographique en 1994, avec Alec Baldwin dans le rôle titre. Doc Savage a lui aussi connu les joies d'une adaptation en 1975 sous le titre Doc Savage, the Man of Bronze.
Et Sam Raimi, c'est le Bien ^^



Après, point de vue déjà sorti, j'ai été déçu de l'adaptation du comics de Daredevil. Le film en lui-même est bien, voir pas mal, mais c'estde la chiotte par rapport au comic ^^

Et puis Elektra dans le film ne sert à rien, elle est bien plus "noire" et dangereuse en vrai, et surtout, ne meurt pas comme ça bêtement...
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Actualités / Pendant ce temps-là, au Venezuela...
« le 27 Novembre 2006 à 09:09 »
De la part d'un correspondant sur place (un ami qui travaille là-bas, en fait) :
Citation
nouvelles du front: Le 3 decembre c'est les elections presidentielles au Venezuela.



D'un coté Hugo Chavez, leader, tenant du titre, combat pour garder sa place de president. Socialiste, revolutionnaire, contre l'imperialisme americain.



De l'autre Manuel Rosales, chef de l'opposition, gouverneur de l'etat de Zulia. Des airs de Sarco dans les idées (securité, capitalisme, rapprochement avec les US).

Et ce week end, a Caracas, ca donnait ca:



Les rouges



contre les autres (jaunes? bleus?)


En (tres) gros les pauvres contre les riches. Des centaines de milliers de personne dans les rues. Chaque parti devoile ses sondages ou ils se voient vainqueurs. Ca denonce sec, ca s'insulte presque, et la pression monte...

Mon pronostique pour la semaine prochaine: Elections surveillées par des emissaires de l'ONU, Chavez gagne (60%?), l'opposition et CNN dénoncent des elections truquées et tentent le coup d'état aidé par la CIA... Le peuple et l'armée defend Chavez et reprend le pouvoir.

Tout ca pour dire que vous allez entendre parler du Venezuela ces prochains jours, que ca sera un peu violent, mais que tout est prévu.
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Télévision / That Matt Groening's ShowS !
« le 19 Novembre 2006 à 01:14 »
Evidemment, faire un topic entier sur les Simpson serait assez peu constructif, surtout avec une certaine faune sur ce forum, mais on peut assez facilement associer à la discussion la série Futurama.

Là on est en train de se faire l'intégrale de Futurama, justement. Honnêtement, je ne sais pas pourquoi, mais j'étais resté avec un a priori négatif sur cette série. Sans doute l'avais-je vu trop tôt. En effet, elle est beaucoup plus "adulte" que les Simpson : les gens meurent, il y a du Q, bref c'est moins juvénile. Pourtant les délires sont toujours aussi bêtes ! ^^

Pour moi, Fry le héros de Futurama est d'ailleurs en fait un Bart un peu plus âgé. A peine plus bête.

Et pour finir, j'adore Zoïdberg ! un homard humanoïde faussement médecin qui bouffe des déchets et est pitoyable.
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Le Comptoir / Besoin d'aide - Mécanique
« le 1er Septembre 2006 à 18:52 »
Bon voilà, j'ai un potentiellement gros souci mécanique avec la voiture.

En gros, pour faire simple, tout en étant clair, le moteur s'arrête tout bonnement et simplement à chaque fois qu'il passe en dessous de 1 500 tours/minutes... Autrement dit, à chaque stop, chaque feu, chaque ralentissement de circulation, chaque virage un peu serré, bref chaque fois que je veux passer la seconde à partir de la 3ème ou la 1ère à partir de la seconde. Les voyants batterie et huile s'allument alors, comme quand je cale...

Ca dit quelque chose à quelqu'un(e) ? C'est quoi ? C'est si grave que ça ?

Help !  :helpsmilie:
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Musique / Musique classique bien que peu commune
« le 4 Août 2006 à 11:59 »
On entre dans la phase de remise en forme de la partie musique du forum ! (et vive le mois d'août ! :P)
Pour commencer, rien de plus naturel que de parler de la mère des musique, la musique originelle, la seule la vraie, non je ne trouve aucun superlatif en trop pour parler de cette musique... Je ne trouve pas non plus d'images gègènes, donc désolé pour l'austérité, à la place je vais mettre des smileys.

La musique classique (puisque c'est d'elle dont il s'agit) porte relativement mal son nom, car ce terme englobe un nombre d'oeuvres incroyable, présentant une richesse de sons, de mélodies, de mouvements folle et une diversité de compositeur énorme. Non on ne peut décemment pas dire que l'on aime pas la musique classique, et j'entends bien vous le prouver ! :mrgreen: D'ailleurs à ce sujet, j'ai une théorie toute pertinente nonobstant personnelle qui dit que la musique classique est le genre musical qui se rapproche le plus de la techno (sens large) : eh oui, même concept sans paroles, rythme endiablé avec grands élans péchus, alternés avec des moments de clames transcendentaux... C'est pas pour rien que petit à petit on retrouve tous les "standards" de la musique classique en boîte de nuit ! Quand on écoute "Carmina Burana", on voit que Carl Cox n'a rien inventé :joker:


[move]---=@( Compositeurs )@=---[/move]


Alors évidemment, pour commencer de parler musique classique, on a Mozart, le petit Wolgang Amadeus (1756-1791, de son vrai nom Joannes Chrysostomus Wolfgang Theophilus Mozart j'ai appris... vous saurez tout sur lui ici), pas son père Leopold, qui était compositeur aussi, mais c'est une autre histoire.

Mozart, à lui seul, représente la muisique classique. Il est un peu le fer de lance, la statue de la liberté, le boomerang australien et le bouc émissaire de la musique classique. Il faut dire que l'homme, qui serait âgé de 250 ans cette année pour ceux qui ne le sauraient pas, était un génie musical à l'oreille absolue (et je pèse mes mots :P). En fait, sans trop s'avancer, et même sans pincette, on peut assurer qu'il a été le plus grand génie musical de tous les temps...  :classe:
Ses compositions touchent à toutes les sortes de musiques classiques, de l'opéra à la symphonie, en passant par les concertos. Et le pire, c'est qu'il est mort à 35 ans ! Imaginez s'il avait vécu plus longtemps ! As du piano et du violon d'après ses pairs, Mozart est la super-star de la musique, et tout le monde connait quelques unes de ses oeuvres. Jugez plutôt, rien qu'aux noms : Les noces de Figaro, Cosi fan tutte, la Flûte Enchantée, la Petite Musique de Nuit, des symphonies à tout va, des concertos en veux-tu-en-voilà... Il est impossible de tout lister, tant sa production a été intense. D'autant plus que nombre de ses oeuvres sont immensément connues, par la sonorité toute particulière et originale de ses compositions.
Mozart a largement survécu à sa mort, à tel point que nombre d'hypothèse sur ses origines extraterrestres courent de-çi, de-là ; il paraît même qu'il patiente tranquillement, à l'abri, en compagnie d'Elvis ^^ Non, plus sérieusement, Aucun "artiste" actuel ou contemporain ne pourra jamais prétendre avoir un talent ou un succès à peine commparable avec celui de Mozart (sauf Björk, évidemment :troll:). Je demande à voir de qui on fêtera le 250ème anniversaire de la naissance, dans deux siècles... Kyo ? :mdr:

Leopold Mozart (1719-1787, Wolgang ne lui survit que de 4 ans...), le père de Wolfgang, a été abordé plus haut, car oui, je ne sais pas à quel point ce "détail est connu", mais le père du génie était lui aussi compositeur. Enfin, vite fait... Il n'a jamais trop brillé par son talent. :bah: Son oeuvre principale est la Symphonie des Jouets.





Une autre figure inégalée de la musique classique est Beethoven, Ludwig van (1770-1827, donc juste après Mozart).

Premier métrosexuel de l'histoire (^^), avec sa tête de fou furieux et ses cheveux poivre et sel en pagaille, Ludwig est sans conteste le compositeur le plus écouté au monde, peut-être à égalité avec Mozart, un tantinet, mais aussi et surtout la figure enblématique du Romantique absolu (juste après Bigard, il est vrai). Son génie est infini, et ses compositions pour piano, entre autres, d'une beauté folle. Sa Neuvième Symphonie, l'Ode à la Joie, sert d'hymne à l'Europe (entre deux "We are the Champions:hypocrite:).
Peu productif par rapport à d'autres compositeurs ("seulement" 9 symphonies et une inachevée en comparaison des 40 de Mozart et de la centaine de Haydn), Beethoven a privilégié la qualité. Aujourd'hui, on entend chaque jour une musique qui lui est due, et ce n'est pas une image, je veux bien être changé en coing si cela ne vous arrive pas. D'innombrables films et émissions télévisées et radiodiffusées se servent de ses compositions, sans parler des publicités !
Quelques unes de ses oeuvres pour vous prouver mes dires : Sonate pour piano n° 14 en do dièse mineur « Clair de lune » (dont l'Adagio sostenuto que tout le monde joue au piano), Sonate pour piano n° 17 en ré mineur « La Tempête », Sixième symphonie « Pastorale » (pour les amateurs, c'est la scène de Fantasia avec les pitis satyres et les pitis pégases ^^ trop kawaiiii :wub:) et pléthore de partitions pour piano, à faire pleurer un banquier (suisse de surcroît)...
En fait, le gars, c'est un peu le Poulidor de la musique classique : il est excellent, mais toujours derrière Mozart, comme quoi la vie, ça se joue à pas grand chose :P Pour la petite histoire, c'est lui qui est devenu sourd au cours de sa vie, mais continuait à composer ; respect  :notworthy:




Bon pour le moment, je vais m'arrêter là en ce qui concerne les compositeurs. J'ai présenté trèèèès brièvement les deux zèbres à roulettes ci-dessus car ils sont les titans du truc, mais il y a beaucoup trop de compositeurs pour que l'on en parle tous. Enfin, pour le moment en tout cas, la suite du topic va sans doute me faire mentir.
Non en fait, ce qui serait plus intéressant, maintenant, ce serait de partager les morceaux de musiques classiques les plus chers à nos coeurs, afin d'en faire profiter les autres illuminés, voire de rassembler les brebis égarées dans un océan de blondes botoxées surmaquillées à la voix trafiquée...


[move]---=@( Oeuvres )@=---[/move]


Par exemple, et pour commencer, je vais vous parler d'un morceau parmi mes préférés en musique classique : la Symphonie du Nouveau Monde, d'Antonín Dvořák.
Il s'agit en fait de la Symphonie n°9 en mi mineur, B. 178 (op. 95), dite « Du nouveau monde », composée en 1893 par Antonín Dvořák, donc, et attêtion aux accents ! Celle-ci est constituée de 4 mouvements (1. Adagio - Allegro molto, 2. Largo, 3. Scherzo: Molto vivace, 4. Allegro con fuoco) dont chacun présente des passages très connus, souvent en raison de reprises par la publicité.
C'est tout simplement énorme. Je ne sais pas faire vraiment d'analyse musicale (j'ai arrêté ça il y a trop longtemps pour faire le pédant avec ça, ce serait totalement cuistre ^^), mais en gros, ça carbure au kerozène :w00t2: le quatrième mouvement, sur thème rappelant les dents de la mer (sauf que historiquement c'est dans l'autre sens), est tout simplement une pile nucléaire à propulsion hydrodynamique ! Impossible de ne pas se sentir soulevé par ses grands coups de cuivres qui balancent la purée comme s'ils étaient à 2 à souffler en même temps ! :punk: Le mouvement lent (n°2) n'est toutefois pas en reste, très mélodieux et imaginatif. Si je me souviens bien, il a servi dans une pub pour Céréal, une marque de biscuit, il y a une décennie environ, avec un pépé qui prend son petit-fils par la main dans un champ de blé, sur fond de soleil couchant (oui, bah quand on parle musique classique, c'est sur de pas faire référence aux pubs :sweatdrop: désolé, c'est pas moi qui l'ait voulu ça !  :peur:). Accessoirement, Gainsbourg se servit d'un thème de l'Adagio pour sa chanson Initial B.B.




Allez, l'heure tourne, je n'ai le temps de vous parler que d'une autre oeuvre, et j'opterai pour une très très triste, mais d'une beauté à mourir (logique) : le Stabat Mater de Vivaldi.
Alors premièrement, il faut savoir que Stabat Mater est le titre d'une prière à Marie à l'occasion de la crucifixion de Jésus (son fils, pour ceux qui ne suivent pas). C'est donc une oeuvre sacrée (la musique classique ayant toujours fait bon ménage avec les oeuvres sacrées). Le texte est le suivant : Debout, la Mère des douleurs, près de la croix était en larmes, quand son Fils pendait au bois... Pour la suite du texte français et le texte original en latin, voyez ici. Or donc comme vous pouvez vous en doutez, le thème de la chanson n'est pas à la joie, et si je dis chanson, c'est qu'il y a des paroles, et donc des chanteurs (on dit solistes, dans le jargon ^^).
Antonio Vivaldi, maintenant ; tout le monde le connait pour ses sublimes Quatres Saisons, et c'est normal. Il ne sera pas étonnant que quelqu'un parle de cette oeuvre de référence par la suite (peut-être moi ; d'ailleurs faudra que je vous le présente, lui, c'était un grand bonhomme). Toutefois, passer à côté de son Stabat Mater, c'est comme manger un raisin sans la peau, ça sert à rien. Alors évidemment, autant le dire, même si vous vous en doutez : il ne faut pas écouter ce morceau un jour de déprime, ou simplement de petite forme, c'est un coup à se jeter par la fenêtre. En revanche, avec une sensibilité accrue, cette pièce d'une vingtaine de minutes vous tirera des sanglots immédiatement, tant les violons accompagnant les solistes forment un ensemble cristallin de toute beauté... C'est une pièce courte, et donc qui s'écoute très facilement, en faisant la vaisselle, par exemple. Pourtant il n'existe pas d'autre Stabat Mater qui puisse rivaliser avec celui-ci pour moi (eh oui, comme pour toutes les prières sacrées, plusieurs compositeurs s'y sont attaqué). Je ne sais trop que dire de plus maintenant pour vous convaincre d'écouter ; forcez-vous, si vous vous sentez l'âme d'un poète maudit ou d'un romantique incompris du XXIème siècle, car cette oeuvre déborde et craque de tous côtés d'une sensibilité et d'une magie sonore unique.
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Cinéma / Western spaghetti ou Western pas gay, p'tit ?
« le 3 Août 2006 à 11:38 »
Suite à deux très bonnes initiatives simultanées d'Arte et du service public, ce mois de juillet, j'ai pu me refaire quelques films cultes, dans les deux genres. C'est affolant comme ces films sont bien. Moi j'adore les deux, avec peut-être un brin de nostalgie des Westerns "classiques" en plus. Alors quoi, de quoi qu'il parle le monsieur ?


Les Westerns Classiques

Les westerns, à la base, ce sont des films de cowboy, d'indiens et de tuniques bleues. La cavalerie déboule à la fin, sauve tout le monde, on a le héros ténébreux qui parle autant qu'on tronc d'arbres mais saurait survivre dans le désert plusieurs semaines (d'ailleurs, en règle générale, il l'a fait) et souvent, il connait mieux les indiens que ses compatriotes.
C'est un peu la caractéristique de ces films : on voit les indiens. Il y a un peu de tout, les comanches, les cheyennes, etc. et c'est assez sympa. C'est le stéréotype complet du jeu de cowboys et indiens de quand on était jeune. D'ailleurs, c'est étonnant de voir à quel point ces films sont devenus des références. On les connait sans même les avoir vus. Problème d'originalité peut-être ? Sans doute. Il est vrai que les histoires n'étaient pas des plus variées, et souvent étaient prétexte à de bonnes fusillades, de splendides paysages et des jeux d'acteurs inégaux.
Le Western classique est, historiquement, le premier, par rapport aux western spaghettis. Les histoires qu'il raconte ne se passent généralement guère plus loin que la guerre de cessession, et seuls les derniers réalisés y font mention d'ailleurs. Non l'essance même du Western, c'est la Conquête de l'Ouest, la ruée vers l'Or, la Sierra et les diligences !

Le Western classique, c'est un état d'esprit, une tranche de l'histoire du cinéma, un monument commun de l'imaginaire de l'humanité. Impossible de nos jours de ne pas connaître ses stars. En voici quelques unes :



John Wayne, bien entendu, l'homme le plus classe du monde ! Tête carrée, chapeau vissé sur la tête, gueule de vieux baroudeur dès son plus jeune âge, grosse carrure... L'homme avait autant de chance de réussir au théâtre qu'une moule d'apprendre à voler. Qu'importe, dans le Western, une seule chose compte : le charisme, et l'aplomb. John Wayne, c'est le héros de tout jeune garçon, dans la cour de récré : il monte à cheval, se bat comme un dieu, dégaine son flingue plus vite que tout le monde, sait tout des indiens par qui il est respecté, et est plus fort qu'une division de cavalerie, qui préfère le laisser tranquille.
John Wayne, c'est plus qu'un héros, c'est le super-héros "humain" que tout le monde veut être. En plus il se tape toutes les nanas, ce qui ne gâte rien.
Que celui qui me dit qu'il n'a jamais vu un film de John Wayne avance les doigts que je le châtie ; c'est mal de mentir. Un simple coup d'oeil à sa filmographie impose le respect (172 films).



Eh oui, vous le reconnaissez assurément : cet acteur dont les personnages nous ont marqué, celui qui a su porter la calvitie comme atout majeure de la classe internationale, Yul Brynner ! Cet acteur n'a certes pas fait que des westerns classiques, mais son talent d'interprète était tout de même incroyable. En général, quand on l'a vu dans un film, on se souvient de lui. En Western, il a par exemple joué dans "Les 7 mercenaires" (voir plus bas) que si vous l'avez pas vu, c'est pas bien !



Ah oui, là, c'est plus dur. Moi-même je ne connaissais pas sa tête, pour être franc. Mais il est impossible de parler Western sans parler de lui. John FORD est LE réalisateur de film de cowboys et indiens (avec Howard Hawks, accessoirement). On lui doit tous les plus grands succès, tous les films cultes. Rendez-vous compte : 145 films réalisés, dont la quasi-totalité des westerns. "La  Chevauchée Fantastique", "La poursuite infernale", "Rio Grande" mais aussi "Les raisins de la colère", "Qu'elle était verte ma vallée"... Bon je ne dis pas tout ce qu'il a réalisé, mais cet homme a vraiment apporté un plus au cinéma.



Allez un dernier pour la route. Ah oui, ces yeux-là en ont fait craqué, des femmes... Un tel regard, il y en a pas deux dans l'histoires du cinéma. Il s'agit bien sûr des yeux de Henry Fonda ! Une petite polémique pourrait s'instaurer à propos du fait que je mette Fonda dans le western classique, car ses rôles dans "Il Etait une Fois dans l'Ouest" et "Mon nom est personne" en ont fait un monument, mais ce serait sans compter sur ses personnages dans les films (de John Ford et autres) "La Poursuite Infernale" (Wyatt Earp power), "Le massacre de Fort Apache", "La conquête de l'Ouest"... Fonda est un peu le complémentaire de Wayne, le gros bougon solitaire : là, il s'agit de l'officier de l'armée, du sheriff. Il a une sorte de capital sympathie en plus dans ses rôles (bien que les personnages de Wayne soient très attachants aussi, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit).


La liste des figures emblématiques du Western classique est longue... très longue. Je ne peux que vous enjoindre d'en faire profiter les autres, mais pour ma part, je m'arrêterai là faute de temps. On pourrait passer des heures rien qu'à recenser les grandes figures et les grands rôles. Plus intéressant maintenant serait de parler de quelques films cultes, qui sont la base du Western :



"La Chevauchée Fantastique", titre original "Stagecoach" (la diligence), de John Ford, réalisé en 1939, avec John Wayne et Claire Trevor.
Ce film est le premier succès des westerns. Tout est dedans. C'est comme si Ford avait pris un patron, et écrit à la suite "bon, pour faire un western, il faut une diligence, un sheriff, un hors-la-loi, une prostituée, un révérend, un alcoolique, des indiens et la cavalerie. Après vous secouez et voilà." Sans déconner, ce film EST le western. C'est plus qu'un stéréotype : même sans le voir vous l'avez déjà vu et vous ferez suer en le visionnant... C'est pourtant un immanquable. L'histoire est d'une simplicité biblique, avec une diligence qui veut rejoindre une ville et est attaquée par des indiens, mais sauvé par les tuniques bleues in extremis. Ce qui en fait sa force, ce sont sa réalisation bien sûr, son avant-gardisme (après tout, c'est ce film qui lança le succès des westerns), et ses personnages.
Vous avez tous lu au moins un Lucky Luke ? Bon alors vous connaissez les personnages de Stagecoach. Il y a le chauffeur qui crie le nom de toutes les villes que traverse la diligence, le médecin saoulard assoiffé constamment, la prostituée chasée comme la peste, Rigno Kid (Wayne) le méchant au coeur d'or, le marshall qui tente tant bien que mal de faire régner l'ordre, le banquier véreux...
Rien n'est original dans ce film, et pourtant tout l'est, il faut juste le regarder comme la pierre fondatrice de tous les films qui suivront ! Surtout ne manquer pas l'occasion de le voir. C'est une référence obligatoire, tant visuelle que scénaristique.



"Rio Bravo", de Howard Hawks, 1959, avec John Wayne, Dean Martin, Ricky Nelson.
Longtemps, très longtemps après Ford (20 ans tout juste), Hawks offre au monde ce qui est considéré par beaucoup dont par moi-même le meilleur western existant. Pourtant, on ne trouve pas d'indiens, dans ce films, mais tout est magnifique. La réalisation, les dialogues, les personnages dont celui d'une femme qui dénote totalement dans cette univers mysogine qu'est le western, les lumières... Il s'agit sans doute de l'aboutissement suprême du western.
Le sheriff Chance (Wayne) vient d'arrêter l'un des trois frères du trio de hors-la-loi qui règne sur la région. En tant qu'idéaliste persuadé de pouvoir sauver le monde, Chance décide de livrer le brigand à la justice le lendemain. Commence alors un huis-clos total de Chance dans sa prison, uniquement assisté d'un vieux débris croulant, d'un adjoint alcoolique en diable (Dean Martin, pariculièrement brillant) et d'un jeune premier en quête d'émotions fortes (Nelson). De nombreuses scènes de ce film sont devenues cultes. Il faut dire que tout est soigné au petites oignons, à en faire pâlir d'envie Ford.
Wayne signe là un rôle décalé dans sa carrière de Loup solitaire, puisque le personnage de Chance présente de nombreuses lignes de textes. Pas d'indiens dans ce film, pas de chevauchée débridée, pas de diligence... Mais parbleu, quel western ! C'est un must have ! On en rêve longtemps après.



"Les Sept Mercenaires", titre original "the magnificent seven" de John Sturges, 1961, avec Yul Brynner, Eli Wallach.
Comment aborder les Westerns ici sans parler des "7 mercenaires" ? Ce film n'est autre que l'adaptation parfaitement réussi du chef d'oeuvre "les 7 samouraïs".
Je ne m'apesantirai pas pour vous laisser apprécier l'histoire, mais sachez seulement que l'adaptation est très très bien faite, tout est transposé au far-west, il n'y a pas d'incohérence, et les personnages sont très bien respectés. Pour avoir vu les 2, je vous le garantis !
Ce film est, en tout cas, westernement parlant, un régal pur et simple, avec une histoire beaucoup plus légère que Rio Bravo.




Posté: 02 Août 2006, 12:15:27

Les Westerns Spaghetti

Les westerns spaghetti tiennent leur nom du fait que ce sont les italiens qui sont passés maîtres dans cet art. historiquement plus jeune que les western classiques sur lesquels ils s'appuient, les spaghetti sont en fait une "variation autour d'un thème". Alors que le genre Western commençait à s'essouffler, da par son manque d'originalité dans les scénarios entre autres, un nouveau type de film est apparu, bien décidé à chambouler tous les codes établis jusqu'alors et donner un petit coup de jeune à tout ça.
Déjà, fini les scénarios "panpan woulouwoulou tarataritata" (comprendre : fusillade avec les indiens et cavalerie) ; les histoires se passent là majoritairement lors ou après la guerre de cessession, soit après les histoires des westerns classiques. Plus d'indiens dans ces histoires, ou presque, mais juste des hors-la-loi, des chasseurs de prime, des sheriffs et des évadés. On ne retrouve que des cowboys, la cavalerie n'apparaît même plus que sporadiquement, et il s'agit souvent d'histoire de vengeance, de trahison, d'attaque à main armé et d'arrestation. Paradoxalement, si le nombre de personnages diminue (on trouve désormais toujours les mêmes d'un film à l'autre, le gentil, le méchant, le truand pour faire simple), les complexités des scénarios et les trames globales se densifient. Chaque personnage à sa part d'ombre, de passé inconnu, de secrets gardés, et de motivations propres.
Au final, ça ne change pas grand chose, tout fini toujours par un duel, mais l'atmosphère est totalement différente. L'humour trouve beaucoup plus sa place ; après tout, le spaghetti est avant tout un détournement de western. Les dialogues sont plus travaillés, avec de nombreuses répliques grinçantes qui sont restées dans le langage courant ("le monde se divise en deux catégories..."). Tous ces ajouts et déformations font que ces deux styles pourtant si proches sont totalement différent, et regarder l'un ou l'autre type de film n'a rien à voir.

Tout comme pour le premier type de film, commençons par quelques unes des plus grandes figures du Spaghetti. Je passerai vite sur cette partie, comme sur les films les plus connus, tant leur succès et renommées sont mondiaux.



Clint Eastwood est l'acteur qui porte le mieux, à mon sens, l'image du western spaghetti. Celui qui a commencé dans le feuilleton télévisé cowboyesque Rawhyde a eu droit d'endosser quelques uns des plus grands rôles du spaghetti, dont l'inénarrable "blondin" de "Le Bon, La Brute et le Truand". Tout le monde le connait, c'est juste pour recadrer les choses, maintenant on passe.



Le succès de Eastwood aurait sans doute été moindre sans Lee Van Cliff. Cet homme au regard perçant, à l'allure travaillée du dégueulasse, de la sale gueule, du renard à qui personne ne tournerait le dos était fait pour jouer dans les spaghetti. Ses duos avec Eastwood ont marqué l'histoire du cinéma, sous la direction de Sergio Leone. Tantôt ami (à tout le moins allié), tantôt ennemi, Lee Van Cliff a su imposer son physique et son charisme inégallable dans cet univers. A tel point d'ailleurs que tout un album de Lucky Luke lui est dédié ("Chasseur de primes").



Dernier mais non des moindres parmi les acteurs du spaghetti, Terence Hill a porté à bout de bras le spaghetti jusqu'à ses dernières heures. Celui qui a eu le double honneur de jouer avec Henry Fonda ("Mon nom est personne") mais aussi d'incarner le plus célèbre cowboy de l'Ouest ("Lucky Luke", très médiocre, soit dit en passant) a encore fait évolué le style en y ajoutant une touche d'humour encore plus importante, afin de redynamiser encore plus le genre.
Evidemment, Hill est loin d'être le représentant idéal du Western et n'a jamais eu (ni prétendu avoir, cela dit) la carrure ou la classe d'un Wayne ou plus proche, d'un Eastwood ou Van Cliff. Loin s'en faut, Hill en joue, et fait de ses personnages des espèces de loosers, très loin du super-héros incarné par Wayne.
Dans les années 1970, Hill se trouve un compagnon de jeu en la personne de Bud Spencer. L'idée étant toujours de redynamiser et populariser le genre, ils tentent d'instaurer un aspect grand-guignolesque, selon les bonnes vielles méthodes de Laurel et Hardy. Malheureusement, rien n'y fait, et le spaghetti finit, inexorablement, tout comme son prédécesseur qu'il avait pourtant sauvé temporairement, par s'éteindre.



Le connaissez-vous ? Etant donné ce que j'ai déjà écrit et la tournure de l'article, il s'agit bien entendu du titanesque Sergio Leone. Si vous ne connaissez pas ce nom, je ne peux rien faire pour vous, désolé. Vous avez dû vivre sur Pluton ces dernières décennies. Mort en 1989, à l'âge de 60 ans, après un demi-échec vécu avec "Il Etait Une Fois en Amérique" (qui par la suite aura tout de même le succès que l'on connait) symbolise le spaghetti à lui tout seul, et peut-être même le Western entier, tant ses films sont des chefs-d'oeuvres du genre. Auteur de 15 films dont certains parmis les plus appréciés, et réalisateur de 12 parmi les 15, Leone a privilégié la qualité à la quantité, et grand bien lui fasse. Enfin, lui fît. Sans lui, la télévision et le cinéma auraient été privés de nombre de leurs heures les plus glorieuses...



Et lui, vous avez une idée ? Bah oui, c'est Ennio, le Grand Morricone, au moins aussi gigantesque que Leone, sans qui il ne serait peut-être pas célèbre, et réciproquement, sait-on jamais... Bon là on dévie, mais il fait quand même partie intégrante du spaghetti, le bougre !

Posté: 02 Août 2006, 14:01:22



"Les Deux Cavaliers", titre original "Two Rode Together" de John Ford, 1961, avec James Stewart, Richard Widmark.

Comme vous pouvez en juger par l'affiche, il s'agit d'un western "classique", tourné par Ford. L'histoire est celle du Lieutenant Jim Gary (Widmark) qui accompagne le sheriff Guthrie Mc Cabe (Stewart) sur le territoire indien, afin de négocier le rachat des prisonniers blancs enlevés ces 10 dernières années. Une horde de colons est venue trouver l'armée pour réclamer leur membre de la famille, et bon an, mal an, les 2 hommes partent avec une liste de course longue comme le bras. En effet, les indiens et l'armée ont signé un traité de paix, et une intrusion de tuniques bleues sur le sol comanche (car ce sont des comanches dans ce film) déclencherait une guerre.
Les 2 cavaliers se connaissent depuis longtemps mais ont embrassé deux carrières bien distinctes, entre le loyal militaire fidèle et droit et le truand qui cherche fortune où il peut, élevé à la rude. Evidemment, McCabe connait le chef indien, sait parler comanche, etc. je vous passe les détails habituels de l'histoire, d'autant que les surprises que réservent ce "troc" d'un genre spécial sont le principal centre d'intérêt du film.



En effet, si je peux me permettre, ce film est mi figue mi raisin. Tout d'abord, Stewart est peut-être un grand acteur (je ne le connais pas assez pour juger), il ne fait pas un très bon cowboy solitaire au coeur dur. Du coup c'est gênant car il est tout de même le personnage principal. L'histoire de base est, quoique convenue, assez intéressante car ici, les sauveteurs ont la particularité de ne pas savoir qui ils ont sauvé. Le problème, c'est qu'au final, on retombe un peu bancal. Le héros a son happy end, qui sonne lamentablement faux, et le potentiel des indien est très sous-exploité.
Bref la trame du film a été traité trop vite, et c'est dommageable car on sent derrière ce film une histoire plus profonde. Pour une fois, John Ford n'a pas franchement réussi son coup. On a plutôt l'impression d'un moteur ne voulant pas démarrer, aux cahots prometteurs et impressionnants, mais qui s'éteint et retombe de suite... Dommage.
A voir pour la culture, plus qu'autre chose.

Posté: 02 Août 2006, 15:36:21



"La prisonnière du Désert", titre original "The Searchers" de John Ford, 1956, avec John Wayne, Natalie Wood.

Alors là, attention. Pour les amateurs de western, ce film de John Ford est très très très intéressant, passionnant, bref réussi. Il s'agit d'un très grand western, et ce pour plusieurs points.

Tout d'abord, John Wayne y joue un de ses rôles les plus sombres et durs, si ce n'est LE rôle le plus ténébreux. Son personnage, Ethan Edwards, a fait la guerre de sécession avec les sudistes puis a tout plaqué une fois la guerre finie, c'est-à-dire perdue pour lui, pour vivre l'aventure. Loup solitaire, empli de haine envers le genre humain en général et les indiens en particulier, il sait tout ce qu'un cowboy doit savoir : parler indien, soigner son cheval, tirer avec son pétard, etc.
Au cours d'une de ses aventures, il a réussi à capturer un tout jeune indien sang-mêlé, Martin Pawley (Jeffrey Hunter), qu'il a remis à son frère Aaron. Celui-ci est un exploitant du texas, avec une femme et deux filles (Lucy et Debbie) et donc Marty. Cette famille représente la seule attache d'Ethan au genre humain, mais cela ne l'empêche pas de leur parler comme à des chiens. Seule peut-être la petite Debbie (Natalie Wood) arrive à le faire un peu sourire.
Bref, pour ne pas passer des heures dessus, Wayne incarne dans ce film un anti-héros : autant il a les super-pouvoirs du cowboy solitaire, autant il n'incarne aucunement les valeurs habituelles d'altruisme, de générosité et d'affection manquante.



D'autre part, un autre point particulièrement intéressant réside dans l'histoire, qui pourtant commence relativement banalement : la famille d'Aaron est attaquée par des indiens, et les deux parents sont trouvés morts. Les deux filles sont portées disparues. Ethan, qui n'a que ça à foutre de toutes manières, part à leur recherche, accompagné de Martin, qui se considère plus que tout comme un Edwards malgré les renvois d'Ethan, et du fiancé de Lucy. Rapidement, ils retrouvent le corps de cette dernière, mais pas Debbie. Totalement coupés du monde "réel", Martin et Ethan continueront de chercher (d'où le titre anglais) la jeune fille durant 5 années ! D'un point de vue narratif, Ford gère très bien les choses, en jouant sur les différents points de vue.
L'histoire s'écoule ainsi, gon gré mal gré, durant 2 heures de films, à supporter la mauvaise humeur de Wayne, qui ne se déride jamais, et à visualiser les magnifiques paysages traversés par les 2 cavaliers. Des scènes tournées par toutes saisons rendent les décors magnifiques (film tourné à Monument Valley entre autres, dans le Colorado et dans l'Utah). Les cavaliers ne cessent de perdre la trace des indiens, et de la retrouver, en vivant des dizaines d'aventures.

Au final, les aventures des 2 cavaliers, même une fois l'objectif atteint, ne s'arrêtent pas, et continuent en un épilogue qui rend les personnages encore plus réels, et on permet d'élucider encore quelques zones d'ombres toujours présentes dans l'histoire des héros, malgré ces 2 heures de film.

Un très bon western, mais qui ne croule pas (mais alors pas du tout) sous le joug de l'action et des dialogues, donc sensibles à la monotonie s'abstenir !
37
Jeux / [Jeu] Vis ma vie de Jacques Lanzmann
« le 26 Juin 2006 à 16:23 »
Liste de ce qui a été donné jusqu'à maintenant
(liste réalisée par Kamen  :classe: )

A
A-Ha : Take On Me
AC/DC : High Voltage ; Rock’n Roll Damnation
Alphaville : Big In Japan
Animals (The) : Don’t let me be misunderstood
Archive : Fuck U

B
Beatles : A Day In The Life (deux fois)
Bjork : Bachelorette
Blink 182 : What’s My Age Again
Bloc Party : Banquet
Blur : Girls and Boys
Boney M : Ma Baker
Bouche (La) : Be My Lover
Bowie David : Ashes to Ashes
Brown James : I Feel Good
Buckley Jeff : Grace
Bumblefoot : Drunk
Bush Kate : Babooshka

C
Cara Irene : Fame
Cardigans (The) : Lovefool
Cell Block Tango (from Chicago)
Chemical Brothers : Setting Sun
Clapton Eric : Behind The Mask ; Tears in Heaven
Clash (The) : Police and Thieves
Coldplay : The Scientist
Collins Phil : Another Day in Paradise
Communards (The) : Don’t Leave Me This Way
Cooper Alice : Feed My Frankenstein
Cranberries (The) : Hollywood ; Ode To My Family
Cure (The) : Boys don’t cry (deux fois)

D
Deftones : Change
Depeche Mode : A Question Of Lust
Destiny’s Child : Bills Bills Bills
Dido : White Flag
Dies Irae
Dire Straits : Brothers In Arms ; Sultans of Swing
Doors (The) : Riders On The Storm

E
Eagles : Hotel California
Europe : The Final Countdown
Eurythmics : Here Comes The Rain Again

F
Frankie goes to Hollywood : Relax
Frey Glenn : You Belong To The City
Furtado Nelly : All Good Things Come To An End

G
Garland : Over The Rainbow
Getz Stan : La Fille d’Ipanema
Gorillaz : Feel Cool Inc.
Guns and Roses : Civil War ; Pretty Tied Up

H
Haddaway : What Is Love
Harper Ben : Mama’s Got A Girlfriend Now
Huey Lewis and The News : The Power Of Love

I
INXS : Heaven sent

J
Jackson Michael : Billie Jean ; Dirty Diana ; Wanna Be Startin Something
Jamiroquai : Alright
Jefferson Airplane : The White Rabbit
John Elton : Crocodile Rock ; Your Song
Jones Tom : It’s not Unusual

K
K’s Choice : Not An Addict
Kansas : Dust In The Wind
Kingsbery Peter : Only The Very Best
Korgis (The) : Everybody’s Gotta Learn SometimesE

L
Led Zeppelin : Black Dog ; Stairway to Heaven
Linkin Park : One Step Closer
Little Richard : Tutti Frutti
Lost Prophet : Last Train Home

M
Madonna : American Life ; Frozen ; Like A Prayer ; Like A Virgin ; Rain
Mamas and Papas : California Dreamin
Manson Marilyn : Ka-Boom Ka-Boom ; Tainted Love (aussi Soft Cell)
Marley Bob : Get Up Stand Up
Metallica : Enter Sandman
Michael George : Praying For Time
Miles Robert : Fable
Morissette Alanis : Hand In My Pocket ; I Am A Bitch I Am A Lover
Mozart : La Flute Enchantee (Der Holle Rache)
Muse : Butterflies and Hurricanes ; I Feel Good ; Starlight

N
Nick Cave and The Bad Seeds : Murder Ballad ; Where The Wild Roses Grow
Nightwish : Ghost Love Score
Nirvana : Lithium ; Smells Like Teen Spirit (propose deux fois par Kian) ; The Man Who Sold The World
Noir Desir : Lazy

O
Offspring (The) : Self-esteem
Orff : Carmina Burana (O Fortuna)

P
Papa Roach : Getting Away With Murder
Paul Billy : Me and Mrs Jones
Peaches (The) : Fuck The Pain Away
Placebo : Every you Every Me ; Without You I’m Nothing
Pink Floyd : Another Brick In The Wall ; One Of My Turns ; Welcome To The Machine ; Wish You Were Here
Portishead : Glory Box
Presley Elvis : Love Me Tender
Prince : Thieves In The Temple ; When Doves Cry
Prodigy : Breathe ; Narayan
Pulp : Common People

Q
Queen : Bicycle Race ; Bohemian Rhapsody ; Don’t Stop Me Now ;  I’m Going Slightly Mad ; Innuendo ; The Show Must Go On ; Who Wants To Live Forever? (deux fois)
Queens of Stone Age : Feel Good Hits Of The Summer

R
Radiohead : Creep ; No Surprises
Rage Against the Machine : Know Your Enemy
Rah-Band : Clouds Across The Moon
Rammstein : Liebe ; Mein Teil ; Sonne
Ray Parker Jr : Ghostbusters
Redding Otis : Sitting On The Dock Of A Bay
Red Hot Chili Pepper : Under The Bridge
REM : Losing My Religion
Rice Damien : 9 Crimes
Righteous Brothers : Unchained Melody
Rihanna : Umbrella
Rolling Stones : Satisfaction ; Sympathy For The Devil
Ronettes (The) : Be My Baby
Row Row Fight The Power (Gurren Lagan)

S
Scorpions : Wind Of Change
Sex Pistols : Anarchy In The UK
Silverchair : Anna
Simon and Garfunkel : The Sound of Silence
Sinatra Nancy : Bang Bang
Siouxsie and the Banshees : Face to Face
Sisters of Mercy : Marian
Shakira : Whenever Wherever
Smash : Disarm
Soad : Lonely Day
Spears Britney : Everytime ; Hit Me Baby One More Time ; Toxic
Spice Girls : Wanabee
Springsteen Bruce : Sinaola Cowboy
Stefani Gwen : The Sweet Escape ; What You Waitin’ For?
Sting : Desert Rose ; English Man In New York ; It Is Probably Me (donne deux fois) ; Message In A Bottle
Streets (The) : It’s Too Late
Summer Donna : Could It Be Magic?
Supertramp : Dreamer

T
t.A.t.U. : All The Things She Said
Tears for Fears : Shout ; Woman In Chains
Thorogood George and the Destroyers : Bad To The Bone
Toto : Hold The Line
Turner Tina : Goldeneye
Tyler Bonnie : Holding Out For A Hero

U
U2 : Hold Me, Thrill Me, Kiss Me, Kill Me ; New Year’s Day ; Sunday, Bloody Sunday

V
Verve (The) : Drugs Don’t Work

W
Wainwright Rufus/Buckley Jeff : Hallelujah
Wham : Last Christmas
Wilde Kim : Kids in America
Williams Robbie : Feel

X
X-Japan : Art Of Life

Y

Z
Zombie Rob : Livind-Dead Girl[/spoiler]

Je n'ai pas ete capable de replacer les titres suivants, pour cause d'absence de reponse complete. Merci de m'aider a les remettre a leur place! Self-esteem ; Silverchair ; Under the Bridge ; Satisfaction.
On notera egalement la forte popularite de Madonna (5 titres) et Queen (8, dont un doublon) !


_____________________________________________________________________________________

Allez c'est parti, on va mettre un peu d'animation dans cette partie grâce à un jeu vieux comme une mappemonde : le "devine quelle chanson se cache derrière ces paroles traduites".

La réponse doit être le titre de la chanson (nécessaire et suffisant), l'artiste étant subsidiaire, pas nécessaire, encore moins suffisant.

On commence par une très facile, histoire de vous aider à appréhender le jeu. :joker:


Toutes les feuilles sont brunes,
Et le ciel est gris.
Je suis allé me promener
Par un jour d'hiver.
Je serai bien au chaud
Si j'étais à L.A.
Je rêve de Californie,
par un tel jour d'hiver.



Je préviens tout de suite : on évite de tricher, avec internet, sinon ça gâche tout l'intérêt du jeu... :sweatdrop:

Posté: 26 Juin 2006, 13:19:57

Bon ok, à la demande de quelques uns, on passe et on va changer de registre. :sweatdrop:

D'abord la réponse. Les paroles "normales" sont :

All the leaves are brown
And the sky is grey.
I've been for a walk
On a winter's day.
I'll be safe and warm
If I was in LA.
California Dreamin'
On surch a winter's day.


Et là, du coup, vous avez tous tout de suite reconnu le fameux et néanmoins célèbre California Dreamin' des Mamas & Papas ! :mdr:


Bon allez, deuxième essai, très simple, je pense, encore plus que l'autre, vu les paroles :mdr:

Yo, je vais t'dire c'que je veux, ce que j'veux vraiment, vraiment.
Donc dis-moi c'que tu veux, ce que tu veux vraiment vraiment.
Yo, je vais t'dire c'que je veux, ce que je veux vraiment, vraiment.
Donc dis-moi c'que tu veux, ce que tu veux vraiment vraiment.
Moi je veux, moi je veux, moi je veux, moi je veux, Moi je veux vraiment,
Vraiment vraiment je veux zig-zaguer, ha !


:joker:
38
On continue la série des séries (OOuuuuuh elle est bonne celle-là :joker: ) !

Cette fois, un truc de ouf, un OVNI dans le monde des séries, et en plus, même pas japonais. Un truc tellement de guedin que j'ai hésité à le mettre en catégorie sciences :

Il était une fois... La vie !   :yahou:


Pourquoi je le poste, tout d'abord, car à l'époque où j'écris ça, la chaîne du câble, peut-être satellite, mais assurément FreeBox Gulli diffuse tous les mardis, à partir de 21h, 2 épisodes de la série. Mardi dernier, je suis donc resté skotché devant "La Respiration" et "Le Cerveau".

Et c'est un truc de ouf-malade ! :D Autant gamin j'adorai pasque, faut le dire, la nana métisse à moitié indienne elle est super mignonne :D autant maintenant j'aime toujours autant car en fait, elle est super bien foutue ! :w00t2:

Quoi, comment ça c'est un dessin ?

Bon bref, autant gamin, c'était fun car intéressant, et bien raconté, et super pratique pour apprendre des trucs sans s'emmerder, autant là, maintenant, alors que j'ai quand même fait un petit parcours en études de biologie/géologie, ça me fascine toujours, cette capacité à expliquer les plus grands mystères de la vie aussi simplement...

Alors évidemment, c'est simplifié, ok, on remplace pas une thèse sur les neurotransmetteurs par un épisode de Il Etait Une Fois de 25 minutes :P mais pour les gamins, l'essentiel y est (et même pour les adultes) : Qu'est-ce que c'est ? Comment ça marche ? A quoi ça sert ? Pourquoi ?

Honnêtement, même maintenant j'ai appris des trucs... Bon peut-être des trucs que j'ai sus antan et oubliés :sweatdrop:, mais ça compte quand même :joker:

Pour la petite histoire, on trouve l'Intégrale 6 DVD (26 épisodes) sur amazon pour 49,99 € (purée, il y a pas à chier, le jour où je serai riche, je ne le serai pas longtemps :sweatdrop:)


Conclusion : les choux de bruxelles, c'est pas bon, et oui, c'est le même gars qui a fait les Explorateurs et les Découvreurs :)

(et accessoirement, ça doit être le plus long post que j'ai jamais mis sur ce forum, ou le deuxième :mrgreen:)
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Anime et manga / Transformers, more than meet the eyes !
« le 9 Juin 2006 à 09:41 »
Vu que Meg nosu a tous mis l'eau à la bouche avec son amour revival des transformers, je suis allé surfer un peu en direction de quelques infos.

En fait, je me souviens des Transformers, mais pas de l'histoire ni du DA, quand j'y repense. Du coup je voulais me renseigner pour savoir si c'était un truc nul du style M.A.S.K. réalisé juste pour vendre les figurines, ou bien.

Et là, je tombe sur ça :

Transformers : The Movie

Ha ha ! Ca c'est une surprise qu'elle est bonne, hein ? :punk:

Qu'est-ce qu'on dit Megou ? :D


Bon et sinon, ça fonctionne comment la série DA ? il y a un ordre avec une histoire, ou c'est plusieurs saisons, ou épisodes séparés ?
40
Sciences / Les Grandes Enigmes de la Science, avec Fred et Jammy
« le 25 Janvier 2006 à 17:42 »
Je profite d'avoir le rhume et d'éternuer toutes les demi-heures pour lancer ce sujet sur des choses dont on ignore le pourquoi.

En l'occurence, je sais de source sûre vu que ça marche avec mon moi-même que, lorsqu'une envie d'éternuer approche, fixer une lumière (ampoule, lampadaire, proximité du soleil, etc.) provoque quasi-instantanément la sternutation.

Alors c'est très bien, mais mon côté cartésien me hurle au cortex un gros : "Pourquoiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ?" :)

Donc si une âme charitable ayant une explication VALIDE (j'insiste, s'pas tinou ?) passe par ici, bah je lui en serai gré :mrgreen:

En vous remerciant...
41
Anime et manga / Argento Soma
« le 5 Décembre 2005 à 14:59 »
Pourraient les gens qui connaissent cet anime me communiquer leurs avis divers et variés à son sujet ?

J'ai en effet découvert que depuis quelques semaines il existe en coffret au Virjean, donc je m'interrogationne...


EDIT : dieux, quel français magnifique... :mdr: j'ai fait fort sur ce coup
42
Cinéma / Cinéma et piratage
« le 28 Octobre 2005 à 10:04 »
Eh ouiiiiii, c'est moi qui ouvre ce sujet "polémique" (ou soi-disant)  :classe:

En fait, j'ai lu un truc dans le "20 minutes" ce matin (décidemment, c'est fou les informations sympa qu'on y trouve  :smartass:)

Déjà, précédemment, j'avais lu un article comme quoi, en 2004, les cinémas avaient connus une affluence record des visiteurs, avec un nombre de spectateurs jamais atteint depuis 1984 (si je me souviens bien) et donc plein de sous.

Je dis ça parce qu'on entend partout que "houlàlà, c'est horrible, avec internet les gens ne vont plus au cinéma".

Comme quoi...

Bon, et ce matin dans le journal, donc, voilà ce que je lis :
Citation
Selon l'étude du CNC, les 117 films américains piratés ont représenté 86.7% des entrées cinéma sur la période, contre 56% pour les 66 films français piratés. Moralité, le piratage ne nuit pas aux entrées. (...)
Comme quoi (bis), on nous prend vraiment pour des canards colverts...  :sleeping:

PS : c'est à rapprocher aussi, du fait que les salles de concerts sont de plus en plus visités pour des "petits" groupes depuis le "piratage" des CD... Mais c'est un autre débat.
43
Bonnes adresses / W'art Magazine - ralentit la chute des cheveux
« le 28 Septembre 2005 à 17:41 »


W'Art - Numéro 1



Artikzone… Rappelez-vous le mois de février 2004. Le premier webzine PDF sur l’actualité de la bande dessinée sortait sur la toile au rythme de deux numéros par mois. Prés d’un an et demi après, de nouveaux webzines consacrés au 9e art ont vu le jour.
Artikzone, en plus de son rythme de parution de plus en plus aléatoire, avait un peu perdu de son originalité et se devait de réagir.

Pour cela, nous vous proposons W’Art. Consolidé dans la continuité, notre nouveau webzine gratuit s’ouvre aux mondes graphiques du jeu vidéo, de l’animation, de la musique, mais aussi du merchandising, de l’illustration et j’en passe !

Essayez nous (soyons fous) sur le site de W'Art

http://www.wartmag.com



(Bon ok c'est pas super personnalisé comme teaser, mais je suis pas commercial, moi :D)
44
Bonnes adresses / JdR Saint Seiya sur Table : Athena No Saint
« le 17 Septembre 2005 à 16:19 »
Voilou, avec des copains, on travaille sur ce projet depuis 3 ou 4 ans, je ne sais plus.

Originellement, il est né sur AnimeCDZ (tous les membres se sont connus là-bas) et a grandi dans un sous-forum.

Depuis, le projet a bien évolué, et le jeu est complètement jouable. Les membres arrivent petit à petit, c'est pourquoi il nous a fallu diverger d'Acdz pour mettre en place un forum entièrement dédié à ça.

Le jeu s'appelle humblement "Athéna No Saint" (ANS pour les intimes)

le lien : http://jdr-ans.net

Le site est pas folichon, je vous conseille grandement de passer sur le forum pour les règles / les parties. En effet, bien qu'il s'agisse d'un JDR sur table, de nombreuses parties ont lieu online pour les membres lointains que nous étions :)

A plus tard là-bas peut-être.
45
Musique / Variété (mais bien)
« le 5 Août 2005 à 17:40 »
Bon alors.

Variété au sens premier, à savoir "de tout" :)


J'ai le dernier Björk !!!   :w00t2: :w00t2: :w00t2:

Bon sincérement je ne le conseille pas, à moins d'être véritablement fan de la femme. C'est la BO du prochain film de Matthew Barney, dont j'ai pas retenu le nom. Il est super chaud à écouter, très space et même moi qui suis pourtant de mauvaise foi énorme dans ce que j'aime j'ai du mal à cautionner certaines musiques... Genre il y a un psaume déclamé en japonais qui dure 9:57, avec un mot par seconde environ, enfin non pas un mot mais une syllabe... bref.
Expérimentalement par contre, c'est clair que ça vaut le coup :) on a rarement entendu ça...


Suivant sur la liste : Orange Blossom. Coup de coeur de l'année, mon groupe fétiche du moment. Je fais pas un laïus mais si ça vous intéresse, faudra pas trop me pousser  :wub: C'est de la world arabo - drum n' bass à tendance violon classique asiatique... Tout un art. Très unique et décoiffant à mort.


Là, j'écoute The Dresden Dolls. Une chanteuse à la voix assez déraillée mais bien maîtrisée, un piano, une batterie très pop 80's, le tout sur un rythme complètement bancal avec des chansons à texte. C'est en anglais. C'est excellent. Par contre c'est assez dur de rentrer au début les premières fois. Mais maintenant moi j'en décroche plus.


Voilou. Si vous découvrez des trucs bonnard, ça m'intéresse :)