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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 7 Novembre à 07:38 »
Merci Yann, tu attises ma curiosité avec ton "Brothers" et ton "Messenger" (seulement 4$ en ce moment en plus), je vais voir de quoi il retourne!
En attendant, je vous partage aussi une pépite :
South of the Circle
Dans l’ombre glaciale de la Guerre froide, “South of the Circle” se dresse comme un bastion roboratif contre le péril rouge. Ce walking simulator enneigé, loin d’être une simple promenade, nous plonge dans une intrigue d'espionnage captivante où chaque pas résonne comme un écho de la lutte idéologique entre l'Est et l’Ouest. Le gameplay, bien que minimaliste, est une véritable odyssée narrative, en ce sens où l'on a vraiment l'impression de lire un livre en y jouant, plus encore que certaines visual novel disponibles à foison sur le PS Store. On incarne Peter, un universitaire pris dans les tourments d’une mission en Antarctique, où chaque décision semble peser sur l’équilibre mondial. Les choix moraux auxquels il est confronté sont cruciaux : défendre la co-signature de son étude avec sa compagne Clara, ou céder à la pression institutionnelle et risquer de perdre son amour. Ce dilemme met en lumière les thèmes du féminisme et de l'émancipation, des sujets brûlants même dans le froid polaire, pour lesquels il faut savoir sortir de sa zone de confort et ne pas simplement exprimer un refus ou une désapprobation, croyant que "ça fera le job". La direction artistique, quant à elle, est un chef-d’œuvre de sobriété et d’élégance. Les paysages enneigés, d’une beauté austère, évoquent la froideur des relations diplomatiques de l’époque. Les personnages, dessinés avec une simplicité désarmante, ajoutent une profondeur émotionnelle qui contraste avec la rigueur du contexte historique. En somme, “South of the Circle” est une expérience ludique et narrative qui, sous des airs de simplicité, cache une richesse et une profondeur digne des plus grands récits de la guerre froide, le tout sur un petit jeu qui vous occupera une soirée tout au plus.
En attendant, je vous partage aussi une pépite :
South of the Circle
Dans l’ombre glaciale de la Guerre froide, “South of the Circle” se dresse comme un bastion roboratif contre le péril rouge. Ce walking simulator enneigé, loin d’être une simple promenade, nous plonge dans une intrigue d'espionnage captivante où chaque pas résonne comme un écho de la lutte idéologique entre l'Est et l’Ouest. Le gameplay, bien que minimaliste, est une véritable odyssée narrative, en ce sens où l'on a vraiment l'impression de lire un livre en y jouant, plus encore que certaines visual novel disponibles à foison sur le PS Store. On incarne Peter, un universitaire pris dans les tourments d’une mission en Antarctique, où chaque décision semble peser sur l’équilibre mondial. Les choix moraux auxquels il est confronté sont cruciaux : défendre la co-signature de son étude avec sa compagne Clara, ou céder à la pression institutionnelle et risquer de perdre son amour. Ce dilemme met en lumière les thèmes du féminisme et de l'émancipation, des sujets brûlants même dans le froid polaire, pour lesquels il faut savoir sortir de sa zone de confort et ne pas simplement exprimer un refus ou une désapprobation, croyant que "ça fera le job". La direction artistique, quant à elle, est un chef-d’œuvre de sobriété et d’élégance. Les paysages enneigés, d’une beauté austère, évoquent la froideur des relations diplomatiques de l’époque. Les personnages, dessinés avec une simplicité désarmante, ajoutent une profondeur émotionnelle qui contraste avec la rigueur du contexte historique. En somme, “South of the Circle” est une expérience ludique et narrative qui, sous des airs de simplicité, cache une richesse et une profondeur digne des plus grands récits de la guerre froide, le tout sur un petit jeu qui vous occupera une soirée tout au plus.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 6 Novembre à 11:18 »J'avais envie de refaire Okami, je me laisserais bien tenté par celui là.
Somerville
Ce jeu a été développé par Jumpship, et produit par Chris Olsen a qui on doit l'excellent Inside (mais aussi Limbo), de qui il se rapproche par certains aspects. C'est un jeu d'aventure que l'on pourrait qualifier de "cinematic 3D platformer" si l'expression existait. On incarne un père de famille séparé des siens lors d'une invasion extra-terrestre, dans une ambiance "Guerre des Mondes" fort réussie, et des décors et graphismes magnifiques. Point de combat, il s'agit de se déplacer dans les décors et résoudre des puzzles en utilisant (ou non) un pouvoir que le personnage acquiert lors des premiers chapitres. Le tout sans dialogues (comme Inside). On a parfois quelques bugs de déplacements ou de collisions, mais rien de bien grave (c'est moins fignolé qu'Inside). Les lumières, la direction artistique rappelle aussi un peu Another World. J'ai mis 4 heures en tout, la fin est peut-être un peu longuette... Bref, un deuxième excellent "petit" jeu.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 3 Novembre à 11:40 »
Neva
Le nouveau jeu des créateurs de Gris, à savoir les espagnols de Nomada Studio. On retrouve le même genre de direction artistique, un peu moins sur les crayonnés et un peu plus sur les aplats de couleur cependant. C’est évidemment hyper joli et on peut passer son temps à screenshoter :w00t2:.
Le gameplay est un peu plus etoffé que Gris puisque Neva propose des combats, assez bien dosé (c’est pas le too much for nothing de Trek to Yomi) : une frappe, un dash, une esquive, 3 PV et 1 PV regagné tous les 6 coups bien placés. C’est tout. Ce n’est guère compliqué et au pire si on veut simplement profiter de l’histoire on peut activer une option très simplificatrice.
Niveau inspiration visuelle, ce n’est que peu original : essentiellement Mononoke Hime (les animaux géants, les décors), et le kami/yokai Kaonashi de Chihiro. J’ai du mettre une demi-douzaine d’heure pour tout faire. Un très bon jeu automnal je trouve!
Le nouveau jeu des créateurs de Gris, à savoir les espagnols de Nomada Studio. On retrouve le même genre de direction artistique, un peu moins sur les crayonnés et un peu plus sur les aplats de couleur cependant. C’est évidemment hyper joli et on peut passer son temps à screenshoter :w00t2:.
Le gameplay est un peu plus etoffé que Gris puisque Neva propose des combats, assez bien dosé (c’est pas le too much for nothing de Trek to Yomi) : une frappe, un dash, une esquive, 3 PV et 1 PV regagné tous les 6 coups bien placés. C’est tout. Ce n’est guère compliqué et au pire si on veut simplement profiter de l’histoire on peut activer une option très simplificatrice.
Niveau inspiration visuelle, ce n’est que peu original : essentiellement Mononoke Hime (les animaux géants, les décors), et le kami/yokai Kaonashi de Chihiro. J’ai du mettre une demi-douzaine d’heure pour tout faire. Un très bon jeu automnal je trouve!
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 7 Octobre à 11:53 »
Deguchi 8 – Exit 8
Jeu assez court, très original où l’on doit parcourir en first person un couloir de sortie du métro de Tokyo (qui ressemble à la station de Kiyosumi-Shirakawa sur la Hanzomon-sen pour les connaisseurs) tout blanc, impersonnel. Des panneaux indicateurs, des posters, trois couloirs perpendiculaires à parcourir invariablement à la recherche de cette fameuse « sortie numéro 8 », en se dépêchant (bouton R2) pour aller, on l’imagine aisément, vite dépiler ses emails nocturnes afin d'être frais et dispo sur les coups de 9h pour une nouvelle journée passée au service du capitalisme nippon à cravacher pour augmenter le PIB de la patrie.
On croise également un autre de ces salarymen, pantalon noir & chemise blanche, curieusement occidental… et… je n’en dis pas plus. C’est une sorte de jeu des 7 erreurs en version quelque peu claustrophobique. On met 1h ou 2 pour le faire. Un titre vraiment original mais qui pourrait être une séquence d’un jeu plus ambitieux. Pour Yann Solo, une version VR semble exister!
Planet of Lana
Un cinematic platformer qui n’égale pas Inside (même s’ils sont très différents), mais qui vaut le détour par son polish très Ghibli chatoyant qui vous fera prendre screenshots sur screenshots parfois. Le gameplay est assez classique, avec des mécaniques toutes simples puisqu’on progresse à deux avec un animal de compagnie qui peut réaliser un certain nombre d’actions. L’histoire est cependant très peu originale : on a affaire à une sorte de War of the Worlds meets Miyazaki (et encore, plutôt Gorô qu’Hayao), où des machines matrixiennes viennent capturer des humains en sarouel mangeurs de houmos intersectionnel perdus sur leurs ilôts pour les mettre au service d’un capitalisme productiviste roboratif option logement social unicellulaire orbital en alvéoles de béton qui auraient très bien pu s’inscrire dans le décorum des places Youri Gagarine des municipalités de la ceinture rouge parisienne de 1975. Certaines séquences sont sensationnelles manette en main, misant sur un effet d’échelle entre le personnage petit, et le décor immense où évoluent parfois d’improbables pieuvres mécaniques gigantesques. Je pense 5-6 heures pour en venir à bout (et on peut tout faire en un seul playthrough en termes de trophées). C’est bien mieux que Hoa, dont j’avais parlé il y a quelques mois (années) par exemple. Mais en termes de cinematic platformer pur, je reste sur Inside en référence du genre.
The Forgotten City
Dans ce sympathique jeu d’enquête se déroulant en Rome antique, construit comme un mod de Skyrim, on incarne un esclave/guerrier/voleur (on choisit sa classe au début, ce qui impacte les aptitudes initiales) devant mener une enquête dans une ville régie par un magistrat et sous la malédiction d’un dieu transformant tous les habitants en statue dorée et détruisant la ville dès que l’un d’eux brise la ‘Golden rule’. Bien sûr, il est impossible de résoudre toute l’enquête en une seule fois et donc, dès que cette Golden rule est brisée, tout s’effondre, on se fait pourchasser et il faut courir vers le vortex temporel par lequel nous sommes arrivés pour réinitialiser la partie. Enfin, pas complètement puisqu’on conserve certains savoirs, et objets, permettant d’aller plus vite le coup suivant. Il faut donc parler avec plusieurs personnages peuplant la ville, tous bien écrits, et aux dialogues bien joués. Bien sûr, il n’évite pas certains poncifs (le soldat gay ne s’acceptant pas, etc.), mais les réponses à choix multiples permettent d’apporter de la richesse d’interaction, et donc, maintenir cette volonté à chaque boucle de vouloir aller plus loin en faisant autrement à chaque fois. C’est très bavard mais quali, surtout à la fin face « au boss » final, et pas mal philosophique. Comptez une 15 aine d’heures pour tout faire/tout voir.
Trek to Yomi
Forcément, avec un branding aussi spécifique, ce titre ne pouvait que me taper dans l’oeil. C’est un beat them up / slasher entrecoupé de très légère exploration qui a pour caractéristique unique son esthétique de films de sabre japonais des années 50, avec donc la pellicule en 16/9 craquelée, du noir et blanc magnifique (mais qui cache on s’en rend compte in fine sur certains gros plans des visuels 3D très datés) et des mouvements félins d’acteurs exécutant quelques jolis mouvements simples au katana. La caméra n’est pas (ou alors très peu dans les tableaux où l’on doit explorer un peu) ajustable et donc on progresse dans une succession de plans de cinéma que vraiment Kurosawa n’aurait pas reniés. On incarne Hiroki, jeune deshi du sensei Sanjuro dans une ville du Japon médiéval assiégée par des bandits… exactement comme dans un film de Kurosawa. Après quelques péripéties, on se retrouve à plonger aux enfers (Yomi) à la moitié du jeu, pour tenter d’en revenir et exercer une vengeance. Le gameplay est cependant très moyen, en ce qu’on apprend plusieurs coups, mais on ne se sert véritablement que de quelques-uns. Il y a plusieurs niveaux de difficulté, obligeant à plusieurs playthroughs. J’ai commencé en mode Rônin (difficile), et ce le fut assez sur certaines séquences odieuses avec plusieurs vagues d’ennemis entre deux checkpoints… Une fois ceci accompli, on débloque le mode Kensei, qui est un mode one hit, pour soi mais aussi les ennemis (sauf les boss), ce qui fait qu’il est en fait plus facile que l’incrément inférieur de difficulté. On sent que le jeu veut en faire un peu trop (trop de coups, trop de type de projectiles), et aurait gagné à rester sur la simplicité. Bref, ce n’est pas un titre parfait loin de là. Au total il m’a fallut 19h pour compléter à 100% et faire tous les trophées. Vraiment le premier walkthrough en Ronin est assez punitif quand même, je me suis surpris à vraiment prendre le pli du parry, étudier les pattern de tous les types d’ennemis… Mais quel voyage esthétique tout de même, avec des doublages japonais très bons, bien qu’un peu trop moderne dans le parler parfois qui génère un certain décalage ou effet "uncanny valley", mais c’est uniquement au tout début. Les fins sont un peu expéditives, mais bon on ne va pas s’en plaindre vraiment, l’essentiel des objectifs était atteint bien avant avec ces superbes plans composés.
Jeu assez court, très original où l’on doit parcourir en first person un couloir de sortie du métro de Tokyo (qui ressemble à la station de Kiyosumi-Shirakawa sur la Hanzomon-sen pour les connaisseurs) tout blanc, impersonnel. Des panneaux indicateurs, des posters, trois couloirs perpendiculaires à parcourir invariablement à la recherche de cette fameuse « sortie numéro 8 », en se dépêchant (bouton R2) pour aller, on l’imagine aisément, vite dépiler ses emails nocturnes afin d'être frais et dispo sur les coups de 9h pour une nouvelle journée passée au service du capitalisme nippon à cravacher pour augmenter le PIB de la patrie.
On croise également un autre de ces salarymen, pantalon noir & chemise blanche, curieusement occidental… et… je n’en dis pas plus. C’est une sorte de jeu des 7 erreurs en version quelque peu claustrophobique. On met 1h ou 2 pour le faire. Un titre vraiment original mais qui pourrait être une séquence d’un jeu plus ambitieux. Pour Yann Solo, une version VR semble exister!
Planet of Lana
Un cinematic platformer qui n’égale pas Inside (même s’ils sont très différents), mais qui vaut le détour par son polish très Ghibli chatoyant qui vous fera prendre screenshots sur screenshots parfois. Le gameplay est assez classique, avec des mécaniques toutes simples puisqu’on progresse à deux avec un animal de compagnie qui peut réaliser un certain nombre d’actions. L’histoire est cependant très peu originale : on a affaire à une sorte de War of the Worlds meets Miyazaki (et encore, plutôt Gorô qu’Hayao), où des machines matrixiennes viennent capturer des humains en sarouel mangeurs de houmos intersectionnel perdus sur leurs ilôts pour les mettre au service d’un capitalisme productiviste roboratif option logement social unicellulaire orbital en alvéoles de béton qui auraient très bien pu s’inscrire dans le décorum des places Youri Gagarine des municipalités de la ceinture rouge parisienne de 1975. Certaines séquences sont sensationnelles manette en main, misant sur un effet d’échelle entre le personnage petit, et le décor immense où évoluent parfois d’improbables pieuvres mécaniques gigantesques. Je pense 5-6 heures pour en venir à bout (et on peut tout faire en un seul playthrough en termes de trophées). C’est bien mieux que Hoa, dont j’avais parlé il y a quelques mois (années) par exemple. Mais en termes de cinematic platformer pur, je reste sur Inside en référence du genre.
The Forgotten City
Dans ce sympathique jeu d’enquête se déroulant en Rome antique, construit comme un mod de Skyrim, on incarne un esclave/guerrier/voleur (on choisit sa classe au début, ce qui impacte les aptitudes initiales) devant mener une enquête dans une ville régie par un magistrat et sous la malédiction d’un dieu transformant tous les habitants en statue dorée et détruisant la ville dès que l’un d’eux brise la ‘Golden rule’. Bien sûr, il est impossible de résoudre toute l’enquête en une seule fois et donc, dès que cette Golden rule est brisée, tout s’effondre, on se fait pourchasser et il faut courir vers le vortex temporel par lequel nous sommes arrivés pour réinitialiser la partie. Enfin, pas complètement puisqu’on conserve certains savoirs, et objets, permettant d’aller plus vite le coup suivant. Il faut donc parler avec plusieurs personnages peuplant la ville, tous bien écrits, et aux dialogues bien joués. Bien sûr, il n’évite pas certains poncifs (le soldat gay ne s’acceptant pas, etc.), mais les réponses à choix multiples permettent d’apporter de la richesse d’interaction, et donc, maintenir cette volonté à chaque boucle de vouloir aller plus loin en faisant autrement à chaque fois. C’est très bavard mais quali, surtout à la fin face « au boss » final, et pas mal philosophique. Comptez une 15 aine d’heures pour tout faire/tout voir.
Trek to Yomi
Forcément, avec un branding aussi spécifique, ce titre ne pouvait que me taper dans l’oeil. C’est un beat them up / slasher entrecoupé de très légère exploration qui a pour caractéristique unique son esthétique de films de sabre japonais des années 50, avec donc la pellicule en 16/9 craquelée, du noir et blanc magnifique (mais qui cache on s’en rend compte in fine sur certains gros plans des visuels 3D très datés) et des mouvements félins d’acteurs exécutant quelques jolis mouvements simples au katana. La caméra n’est pas (ou alors très peu dans les tableaux où l’on doit explorer un peu) ajustable et donc on progresse dans une succession de plans de cinéma que vraiment Kurosawa n’aurait pas reniés. On incarne Hiroki, jeune deshi du sensei Sanjuro dans une ville du Japon médiéval assiégée par des bandits… exactement comme dans un film de Kurosawa. Après quelques péripéties, on se retrouve à plonger aux enfers (Yomi) à la moitié du jeu, pour tenter d’en revenir et exercer une vengeance. Le gameplay est cependant très moyen, en ce qu’on apprend plusieurs coups, mais on ne se sert véritablement que de quelques-uns. Il y a plusieurs niveaux de difficulté, obligeant à plusieurs playthroughs. J’ai commencé en mode Rônin (difficile), et ce le fut assez sur certaines séquences odieuses avec plusieurs vagues d’ennemis entre deux checkpoints… Une fois ceci accompli, on débloque le mode Kensei, qui est un mode one hit, pour soi mais aussi les ennemis (sauf les boss), ce qui fait qu’il est en fait plus facile que l’incrément inférieur de difficulté. On sent que le jeu veut en faire un peu trop (trop de coups, trop de type de projectiles), et aurait gagné à rester sur la simplicité. Bref, ce n’est pas un titre parfait loin de là. Au total il m’a fallut 19h pour compléter à 100% et faire tous les trophées. Vraiment le premier walkthrough en Ronin est assez punitif quand même, je me suis surpris à vraiment prendre le pli du parry, étudier les pattern de tous les types d’ennemis… Mais quel voyage esthétique tout de même, avec des doublages japonais très bons, bien qu’un peu trop moderne dans le parler parfois qui génère un certain décalage ou effet "uncanny valley", mais c’est uniquement au tout début. Les fins sont un peu expéditives, mais bon on ne va pas s’en plaindre vraiment, l’essentiel des objectifs était atteint bien avant avec ces superbes plans composés.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 7 Octobre à 11:04 »
Un jeu d'enigmes où on joue un petit pêcheur dans son phare, qui a une maquette du phare en question dans sa chambre... sauf que la maquette et le phare sont une seule et même entité façon TARDIS. En gros, tu te vois toi-même dans la maquette, et si tu prends une allumette et la donne au mec dans la maquette, tu vas voir un pêcheur géant en dehors de ta piaule te donner une allumette, qui pour toi pourra servir de poutre pour réparer un truc. Un concept sympa, raconté façon histoire pour enfants.
PS : Pour des intéressés éventuels, j'ai aussi Doom (1993, pas 2016) et Duck Hunt en VR. C'est + pour la curiosité parce qu'on se lasse vite, mais c'est rigolo !
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 27 Septembre à 08:52 »
Oui c’est clair que le « Shity of ze woluvusu » prononcé à l’écran titre avec le bon accent japonais ça le fait grave :w00t2:
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 26 Septembre à 12:51 »Tiens, je me rends compte que j'ai pas écrit mon avis surWokeGod of War.
Je viens d'apprendre qu'ils ont développé un DLC gratuit qui ajoute quelques éléments à l'histoire, donc je m'y pencherai.
Pour ma part j'attends les soldes sur le PS Store.
T'as essayé Street Fighter 6 ? J'avoue qu'il a énormément de gueule et l'ajout de Terry Bogard est complètement fou.
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Jeux vidéo / Re : Vos derniers jeux testés !
« le 14 Septembre à 15:27 »
Je plussoie sur Edith, vraiment un jeu intéressant, on en avait parlé quelques pages plus haut.
Je n’ai jamais entendu parler des autres jeux dont tu parles, je vais regarder ça.
De mon côté cet été j’ai enfin pu commencer et finir (platiné, même), The Last Gouardian comme ils disent dans les médias français. 8 ans après…
Bon c’est très joli, quoique les environnements sont un peu plus sinistres que dans Shadow of Colossus. On retrouve un univers typiquement moebiusien, faits de citadelles aux accents sumériens, avec des flèches verticales impossibles, défiant toute entreprise de construction par une civilisation humaine. Pas hyper original, mais joli c’est certain.
Le jeu en lui-même est un peu répétitif, et on se perd parfois. On s’attache effectivement pas mal à cette bête étrange, comme on s’attachait à la bourrique de Shadow of Colossus. J’ai bien aimé, malgré un effet de surprise moindre, et on retrouve bien la “patte” Ueda. Les musiques m’ont aussi moins transporté. Graphiquement et au niveau des lumières et éclairages, c’est très qualitatif, rien à dire. Je ne pense pas que le jeu me laisse un souvenir aussi fort que les précédents, mais on verra. Pour les trophées, rien de bien intéressant, voir même des choses odieuses comme écouter tous les indices. Le speedrun en moins de 5h est très faisable par contre.
Je chroniquerai aussi les jeux que j’ai fait sur les 24 derniers mois, j’ai un peu mis en pause à cause du travail : ainsi depuis juillet 22, j’ai “seulement” fait Art of Rally, the Witness, Sifu, Neversong, tmnt Shredder’s revenge. Et encore, je n’ai pas encore platiné Sifu ni The Witness… diantre!
Mais depuis cet été j’ai recréé un petit backlog avec Planet ot Lana, Exit 8, Somerville, Trek to Yomi et Oxenfree ii. Cocoon me fait aussi de l’oeil.
Il me reste aussi à faire les derniers blockbusters de la PS4 : GOW Ragnarok, Horizon Forbidden West, Ghost of Tsushima… il va falloir être fort en négo.
Je n’ai jamais entendu parler des autres jeux dont tu parles, je vais regarder ça.
De mon côté cet été j’ai enfin pu commencer et finir (platiné, même), The Last Gouardian comme ils disent dans les médias français. 8 ans après…
Bon c’est très joli, quoique les environnements sont un peu plus sinistres que dans Shadow of Colossus. On retrouve un univers typiquement moebiusien, faits de citadelles aux accents sumériens, avec des flèches verticales impossibles, défiant toute entreprise de construction par une civilisation humaine. Pas hyper original, mais joli c’est certain.
Le jeu en lui-même est un peu répétitif, et on se perd parfois. On s’attache effectivement pas mal à cette bête étrange, comme on s’attachait à la bourrique de Shadow of Colossus. J’ai bien aimé, malgré un effet de surprise moindre, et on retrouve bien la “patte” Ueda. Les musiques m’ont aussi moins transporté. Graphiquement et au niveau des lumières et éclairages, c’est très qualitatif, rien à dire. Je ne pense pas que le jeu me laisse un souvenir aussi fort que les précédents, mais on verra. Pour les trophées, rien de bien intéressant, voir même des choses odieuses comme écouter tous les indices. Le speedrun en moins de 5h est très faisable par contre.
Je chroniquerai aussi les jeux que j’ai fait sur les 24 derniers mois, j’ai un peu mis en pause à cause du travail : ainsi depuis juillet 22, j’ai “seulement” fait Art of Rally, the Witness, Sifu, Neversong, tmnt Shredder’s revenge. Et encore, je n’ai pas encore platiné Sifu ni The Witness… diantre!
Mais depuis cet été j’ai recréé un petit backlog avec Planet ot Lana, Exit 8, Somerville, Trek to Yomi et Oxenfree ii. Cocoon me fait aussi de l’oeil.
Il me reste aussi à faire les derniers blockbusters de la PS4 : GOW Ragnarok, Horizon Forbidden West, Ghost of Tsushima… il va falloir être fort en négo.
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Le Comptoir / Re : Flood !
« le 11 Septembre à 14:15 »
(Re)bienvenue sur le fofo Yann Solo!! :)
Au fait, tu aimesMélenchon Saint Seiya ? :unsure:
Au fait, tu aimes
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Politique / Re : Emmanuel Macron Président de la République
« le 5 Septembre à 15:11 »
Réponse : buter Voynet :hinhin:
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Politique / Re : Faits divers et compagnie
« le 5 Septembre à 08:40 »
Nicolas Hulot, Alexandre Benalla ou Marlène Schiappa sont libres pourtant…
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Politique / Re : Emmanuel Macron Président de la République
« le 26 Août à 18:48 »D’ailleurs, quel serait l’équivalent macronien du QAnon Shaman ? :mouais:Citation de tinou le 26 Août à 18:15 J’imagine en effet tout à fait le macroniste moyen saisir son M16 et prendre d’assaut l’Assemblée nationale ou l’Elysée, le pull noué par les manches sur les épaules, en chemise bleu oxford, chino beige et mocassins. :)Citation de FinalBahamut le 26 Août à 14:24 On est un peu sur une forme de violence démocratique. Peut-être pas la même que celle de Trump qui refuse le résultat et prend d'assaut le Capitole. Pour l'instant...
En covoiturage organisé sur Klaxit, including arrêt à l’épicerie du Bon Marché pour “les san’ouiches” il va sans dire :D
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Politique / Re : Emmanuel Macron Président de la République
« le 26 Août à 18:15 »On est un peu sur une forme de violence démocratique. Peut-être pas la même que celle de Trump qui refuse le résultat et prend d'assaut le Capitole. Pour l'instant...
En covoiturage organisé sur Klaxit, including arrêt à l’épicerie du Bon Marché pour “les san’ouiches” il va sans dire :D
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Politique / Re : Faits divers et compagnie
« le 2 Août à 14:00 »
Vivement le salon Adolf Hitl’hair !
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Sport / Re : Le café des sports
« le 1er Août à 22:32 »
(Désolé, mais vous n'avez pas l'autorisation d'accéder à la galerie)
:roule:
:roule: