L'histoire est plutôt curieuse : elle se tisse autour d'un personnage qui possède un nom quasi-similaire à un roi semi-légendaire du 8ème siècle. Mais en dehors de cela, on propose un récit autour d'un homme qui se lance dans un défi qui ne nous est pas inconnu :
Donc voilà, Ragnar, un guerrier tenant une ferme (et une femme qui en a sous le coude) en a marre de lutiner les filles de l'est et ramasser l'or des russes. L'Est, ça le gonfle. Toujours le même trajet avec correspondances. Bateau-sodo-rototo. Il veut aller à l'Ouest. Il possède une boussole solaire et un bout de miroir qui vont lui permettre de maintenir son cap vers l'Amérique. Mais son chef de clan refuse : trop dangereux, trop délirant, trop coûteux. Puis merde, il est le chef, il veut aller à l'Est pour le pillage estival (guest-star DJ Odin) et si vous êtes pas contents, c'est la même chose !
Mais Ragnar est têtu. Avec l'aide de son frère et de Floki, un espèce de Looping sauce scandinave, il prépare ce voyage pour lequel il lui faudra la foi et des hommes. Encore faut-il qu'il puisse faire son kéké sans que son lord en sache quelque chose...
Ce pilote est pas mal du tout. Bon, on ne comprend pas trop la raison quant à l'usage du mot "truc" alors qu'il est évident qu'on a affaire à un rite de passage enfant/adulte. Côté action, on a déjà un petit aperçu sexblood&beer comme ce fût le cas des Tudor, Spartacus et autres GoT. Attention à ne pas fourrer ça dans le même sac. Cette série, même tournée avec des moyens (traitement de l'image, décors, "le quotidien Viking pour les nuls"), n'est pas du même acabit que GoT et ne devrait pas en avoir la prétention (leur accroche ? "The Storm is coming"...). Mais l'idée de suivre un bateau en pleine mer vers des terres inconnues et éventuellement voir ces hommes face à d'autres, tomber sur des trésors légendaires, etc... eh ben ça me botte énormément !
Bien entendu, on n'aura peut-être pas tout cela. Mais faire tenir une série (ou du moins sa moitié) sur une équipe en pleine mer vers l'infini et l'au-delà, ça mérite qu'on s'y intéresse.
Cette série a été conçue par Michael Hirst (Borgias, Tudor) pour la chaîne Historia. Paye ta crédibilité !
Pas fastoche ceci étant. Dans l'ordre, j'ai trouvé :
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- Les Beatles - Les 3 petits cochons - King Kong - Gulliver - Jaw - Orange Mécanique - Titanic - Stairway to heaven - Némo - Yellow Submarine - Boucle d'or et les 3 ours - Spiderman - Paint it black - Jurassic Park - White strips
Page 2 = Spoiler (click to show/hide)
- Le Couleur pourpre - Matrix - Peter Pan - Le Petit Chaperon Rouge - Moby Dick - Jackson Five - Purple Rain - Les blancs ne savent pas sauter - 300 - The Green Line - Robin Hood ? - Pinocchio - 2001, A Space Odyssey - ? (Via Google, j'ai trouvé un film anglais, Red Road) - The Red Line
Page 3 = Spoiler (click to show/hide)
- Ali Baba et les 40 voleurs - Simply red - Le petit Poucet - New Kids on The Block - Blanche-Neige et les 7 nains - Black Hole Sun - Le Grand Bleu - Black&White - Alice in Wonderland - ? - Rolling Stones - Le Lièvre et la Tortue - Tron - Inception - Braveheart
Page 4 = Spoiler (click to show/hide)
- Men In Black - UP - Nevermind - Lord of the Rings - ? - Bob Marley and the Wailers - Reservoir Dogs - Red White&Blue ? - ? - Je trouve plus...
Ouais bon à la fin, on se perd vite mais c'est assez dingue d'identifier tant de choses avec si peu de moyens !!
EDIT : J'ai trouvé pour la brique jaune dans l'eau ainsi que la petit rouge en page 1, j'ai modifié celui de la page 3 (qui n'est pas LOTR) et j'en ai trouvé un autre en page 4.
Il s'agit de LA série que les amateurs de frissons et de suspense attendaient en ce début d'année ! Le Thriller promettant une bonne nourriture avec de la sauce Cravenienne et des épices Fincheresques !
Pitch assez simple :
Quote
Joe Carroll, un prof de littérature romantique devenu serial killer diabolique, utilise le web pour créer une secte de tueurs en séries, tous reliés les uns aux autres alors qu'ils sont dispersés aux quatre coins des États-Unis. L'ancien agent du FBI Ryan Hardy, qui l'a traqué et capturé par le passé puis a écrit un livre sur lui, se voit contraint de reprendre du service car il connaît ce meurtrier mieux que quiconque...
Bon alors, ce repas ?
Le goût est savoureux mais la digestion compliquée.
L'histoire est bonne. Les idées pas moches. Le casting assez chouette. Le gore très gore. Mais la réalisation (aucune image ni réplique percutante), la tension (Spoiler (click to show/hide)
oh, un endroit sombre ! Oh, du sang, tiens et si je suivais cette piste tout seul, sans appui sérieux et avec une lampe torche... oh, un mort !
), les dialogues (eh oh, parlez moins vite ! 'tain, heureusement que dans GoT, ils n'ont pas un débit pareil, bonjour le bordel pour suivre !), la musique (oooh bordel, cette resucée de Manson...), le cadrage ("Mmm, j'ai un regard de vilain méchant, hin hin hin ! Et avec ma voix ténébreuse, c'est encore mieux !"), la tension qui monte comme un flèche et descend comme un flan, les flash-backs en rafale... tout ça c'est assez mauvais ! J'ai rarement eu autant de facilité à anticiper plusieurs choses... bon, pas tout bien sûr comme Spoiler (click to show/hide)
le couple "gay" (je me suis seulement dit : "hop, ils vont crever sous le couteau de Joe") ou encore la nounou (déjà, j'ai cru que c'était un membre de la famille alors forcément...).
Mais, mais mais... malgré tout, ce premier épisode m'a tout de même donné envie de voir la suite, ne serait-ce que pour son potentiel scénaristique à dépasser la simple traque d'un serial-killer pour aller vers une ruche... Alors oui, du cradingue sanguinolent, on va en avoir. De la surprise aussi. J'espère juste un meilleur rendu dans la tension que mérite cette série et un meilleur montage. Cette série se doit d'être anxiogène alors messieurs les réalisateurs, activez-vous l'oignon !
Je vous fais le pitch (car ceux dénichés sont bancals ou alors sortent des infos non vues dans le premier épisode) :
On suit deux histoires en parallèle qui se déroulent de nos jours à Londres. Le première avec la bande de forumeurs (on pourrait dire geek mais ça ne semble pas être le cas de tous), la seconde avec un fonctionnaire du ministère de la Santé. L'ensemble se joue sur fond de crise alimentaire mondiale avec une forte diminution des matières premières et une flambée des prix (causant entre autres des émeutes à Sydney).
Les "geeks" : On a le branleur informaticien Ian, l'ex-doctorante en médecine Becky, le parano Wilson qui voit des complots partout, Grant le morveux typique de l'Angleterre populo et Bejan le bourgeois qui possède son ordi Appeul et boit du vin en surfant sur la toile (et non sur un PC avec des chips et du coca, ce qui n'en fait pas un geek ).
Tous ont pour seul point commun d'être fans d'un comic book publié en 1985, Utopia. Son auteur, Mark Dane, était un genre de généticien qui est devenu psycho et se suicide dans un hôpital psychiatrique à Sherley (Il en existe réellement deux dans cette ville depuis les années 1920). L'histoire proposée dans ce graphic novel est un scientifique qui passe un pacte avec le diable (ce dernier prend des formes hybrides animal/humain) pour obtenir l'omniscience. Mais derrière cela, on observe des schémas génétiques ou des propos qui ne pouvaient pas être connus en 1985 (ex : l'image génétique d'une maladie après sa mutation en 1989).
Un jour, Bejan explique sur le chat du site officiel du comic qu'il possède la seconde partie manuscrite du comic, jamais publiée. Il l'a déniché dans une comicstore (mouais, un peu gros mais pourquoi pas...). Il propose aux autres de le leur montrer. Mais il n'en aura jamais l'occasion et à partir de là, c'est coup fourré sur coup fourré de la part de deux types qui ne reculent devant rien pour récupérer ce manuscrit et éliminer les gens qui l'ont eu ou en ont eu connaissance (un rocker 50's qui a piqué la Dolorean du Doc et un type au regard perverso-flippé).
La seconde histoire tourne autour de Michael le fonctionnaire qui a engrossé une prostipute. Le mac lui donne alors une mission : remplir les missions de ses amis sinon il ruine sa vie. Il en accepte une qui sera de mettre en avant la fabrication d'un vaccin contre le grippe russe alors que la priorité du ministère est de s'occuper de la rubéole. Il réussi la mission et se voit "féliciter" par le successeur du signataire du mauvais contrat qui a causé sa démission et plongé l'Angleterre dans un mini-scandale.
C'est clair pour tout le monde jusqu'ici ?
Parce qu'autant vous dire qu'on va plonger dans une suite de complots assez tordus ! Entre les accusations portées sur Ian, Becky et Bejan (son dossier médical) et l'histoire de Dane qui forme une première piste sur la création de son comic book, on va être servi ! Je passe sur la fameuse question posée en boucle par le flippant donneur de bonbon avec son blouson jaune (mais en réalité vert foncé) :
"Where... is... Jessica... Hyde ?". On le saura bientôt à mon avis.
J'ai jeté un oeil rapide sur le site officiel : ce dernier balance des infos sur divers sujets en Angleterre mais aussi aux États-Unis (assassinat de Gandhi et Kennedy, vidéosurveillance, test d'armes chimiques, virus, complots autour de Nixon, etc...). Reste à dénicher les points communs entre ces événements et le bouquin.
Concernant le nom de Mark Dane, hasard ou non, ça pourrait avoir été créé à partir de ça.
Pour finir, je reprendrais les derniers mots de Wilson : No hospital. No police. They’ll kill me. They can find us anywhere !
Eh ouais, cette série va sans doute nous tuer quelques neurones !
Dernier point : cette série/saison ne comptera que 6 épisodes !
Banshee, une petite ville des Etats-Unis en territoire Amish, en Pennsylvannie, est quelque peu perturbée par un nouvel arrivant énigmatique, expert en arts martiaux, qui se fait passer pour le remplaçant du shérif récemment assassiné. Il a bien l'intention de faire régner la loi, mais à sa manière, concoctant des plans qui ne servent que son intérêt...
Premier épisode dispo, le suivant sort ce week-end.
01 sympathique. On sent qu'il se trame pas mal de choses autour de Lucas, entre ses ennemis d'il y a 15 ans et la mafia locale. Je pense qu'on va pas s'ennuyer !
Comme plus de la moitié des PnRiens vont le voir, autant lui consacrer un sujet à part entière.
Etat du Vermont, années 50. Babydoll et sa petit soeur perdent leur mère. Leur ignoble beau-père apprend par la suite que feu sa compagne lègue tous ses biens à ses filles. Il décide donc de les supprimer mais son plan est mis à mal par babydoll qui tente de protéger sa soeur mais la tue par accident. Elle est aussitôt envoyée dans un asile psychiatrique où elle fera connaissance d’autres filles toutes sexy les unes que les autres (Sweet Pea, Rocket, Blondie et Amber) avec lesquelles elle tentera de sortir de ce guépier. Mais il leur faudra tromper la vigilance des maîtres des lieux que sont Blue, un sous-mafieux, et Miss Gorski, une sorte de virago polonaise qui s’occupe des filles pour des spectacles plutôt burlesques à l’attention d’un certain auditoire. Au cours d’une répétition, Babydoll entre en contact avec un mystérieux personnage qui lui indique la démarche à suivre pour concrétiser leur évasion…
Et c’est parti pour un festival de délires protéiformes ! Si le scénario connaît des hauts et des bas, l’aspect visuel est totalement maîtrisé. On trouve tous les hommages possibles à la culture geek, friande d’anachronismes comme un mecha high tech en pleine Première Guerre Mondiale. Steampunk, cyborg, mecha, gunfights, video game, school girl, rôlisme, fantasy, manga, etc… pratiquement tout y est. Une sorte de vade-mecum glissé dans la peau d’un immense video game new generation (ça parle peu, ça bastonne plein pot) où notre sensibilité ne ressort pas indemne.
Physiquement, mon perso préféré est Blondie. Sweet Pea impose avec son statut de grande soeur assez juteuse. Rocket me gonfle pas mal à l’ouvrir sans cesse. Amber m’indiffère malgré ses prestations aériennes. Babydoll est simplement un nouvel avatar d’Alice in Wonderland avec son flingue customisé comme un cellulaire. Cute girl but mute girl. Les lapins et la fumette sont en moins même si on suppute que Zack a dû prendre quelque substances pour sortir tout ce fatras déjanté...
Dansez dans le froid et la neige sur le port du Vieux-Montréal, un concept intéressant avec ice-bar, vodka, One Piece (long manteau) et skidoo (scooter des neiges) en fond de déco !
IGLOOFEST 2010 : DU 14 AU 30 JANVIER
¤ Jeudi 14 janvier: Mini (Ca), David Carretta (Fr), Jesse Rose (Uk)
Si Ayou passe dans le coin, ça devrait lui plaire : On peut désormais se faire un PVT sur Singapore !
Le Work Holiday Program (WHP) est une merveilleuse occasion pour les étudiants et les jeunes diplômés de lancer leur carrière au centre de l’Asie tout en découvrant tout ce que Singapour a à offrir !
Singapour est considérée depuis longtemps comme la porte d’entrée vers l’Asie et comme un endroit extraordinaire pour les professionnels et étudiants talentueux souhaitant donner une nouvelle impulsion à leur carrière.
Singapour offre une myriade d’opportunités pour les jeunes adultes. L’île peut s’enorgueillir d’un climat tropical tout au long de l’année, d’une architecture magnifique ainsi que d’une histoire culinaire riche. Sa population de 4.68 millions d’habitants est également l’une des plus cosmopolites au monde, offrant un mélange unique de traditions culturelles. La situation géographique de Singapour est également idéale pour ceux désirant explorer le monde, avec des destinations de vacances aussi populaires et proches que la Thaïlande, l’Australie et la Chine, à des tarifs très abordables par avion. La cosmopolite et mondialement connue ville de Singapour abrite certains des plus grands groupes du monde.
Singapour est depuis longtemps reconnue pour ses services d’accueil de qualité et est également connue pour attirer le commerce mondial. Les participants au programme WHP pourront rechercher un poste dans n’importe quelle branche d’activité qu’offre Singapour dont les Services Financiers, le secteur biomédical, l’Ingénierie, les technologies de l’information et les médias numériques. L’anglais est la langue officielle des affaires ce qui en fait un endroit très confortable pour les étudiants et les jeunes diplômés venus des Etats Unis, du Royaume Uni, d’Australie et de la Nouvelle-Zélande.
Les participants au WHP pourront également améliorer leurs compétences en langues étrangères, le mandarin, le malais et le tamil étant parlés largement à Singapour. Les heureux candidats pourront rechercher un emploi à Singapour pour une période maximum de six mois et n’ont pas à obtenir un emploi avant leur départ pour Singapour. Généralement, les étudiants et les diplômés qui ont obtenu leurs diplômes à temps plein par des établissements accrédités seront admissibles. Les candidats devront avoir entre 17 et 30 ans. Il n’y a aucun salaire minimum exigé pour le programme, toutefois les candidats devront prouver qu’ils ont assez de ressources pour effectuer le programme.
6 mois, c'est déjà ça (moi je peux pas, j'ai plus l'âge requis).
* « Les trois singes » de Nuri Bilge Ceylan * « Le Silence de Lorna » de Jean-Pierre et Luc Dardenne (Palme d'Or en 1999 et 2005 avec "Rosetta" et "L'enfant") * « Un conte de Noël » de Arnaud Desplechin * « Changeling » de Clint Eastwood avec Angelina Jolie * « Adoration » de Atom Egoyan * « Waltz with Bashir » de Ari Folman * « La frontière de l'aube » de Philippe Garre * « Gomorra » de Matteo Garrone * « Synecdoche, New York » de Charlie Kaufman * « My Magic » de Eric Khoo * « Che » de Steven Soderbergh (Palme d'or 1989 avec Sexe, Mensonges et Vidéo) avec Benicio Del Toro * « La Mujer sin Cabeza » de Lucrecia Martel * « Serbis » de Brillante Mendoza * « Delta Kornel » de Mundruczo * « Linha » de Passe de Walter Salles * « Il Divo » de Paolo Sorrentino * « Leonera » de Pablo Trapero * « The Palermo Shooting » de Wim Wenders (Palme d'Or 1984 avec Paris Texas) * « 24 City » de Jia Zhangke
Hors compétition : Indy IV, le dernier Kusturica sur la vie de Maradona et le dernier Allen (Vicky Cristina Barcelona)
Président : Sean Penn
Jury : Sergio Castellitto, Natalie Portman, Alfonso Cuaron, Apichatpong Weerasethakul, Alexandra Maria Lara et Rachid Bouhareb