C'est l'expérience qui manque, mais quand tu vois la façon de jouer, le style Lillois je reste inimement persuadé qu'ils ont leur place en 8e de C1, ce n'est qu'une question de temps. Pourquoi pas cette année ? Soyons optimistes que diable !
:classe:Alors là, j'avoue ne pas trop comprendre :oo:
http://www.lequipe.fr/Football/20061204_093158Dev.htmlSi on se met à faire comme à l'OM ou au PSG... :thumbdown2:Citation «On a commencé ensemble, on continue ensemble». Tenus vendredi, ces propos d'Emmanuel Cueff célébraient la prolongation pour cinq années du contrat liant le Stade Rennais à son équipementier. Leur saveur est pourtant toute autre ce lundi avec l'annonce du remplacement imminent du président du club breton par Frédéric de Saint-Sernin, collaborateur de Jacques Chirac à la présidence de la République. Cette décision jette également un voile sur l'avenir de l'entraîneur Pierre Dréossi.
Entré au conseil d'administration du Stade en 1998, puis nommé président le 23 mai 2002, Emmanuel Cueff devrait être démis lundi midi, en raison notamment, semble-t-il, de résultats sportifs mitigés. «Prise jeudi, cette décision sera entérinée (...) lors d'une réunion extraordinaire du conseil (...) au siège du groupe Artemis, la holding financière de la famille de Pinault à laquelle appartient en totalité le club», écrit L'Equipe. Dans ce contexte, le court texte en page d'accueil du site du Stade Rennais sonne comme un hommage avant l'heure : «Emmanuel Cueff peut être fier de ses joueurs qui ont remporté avec panache ce 31e derby face à Nantes (2-0)».
Si le profil de son successeur, passionné de football et ancien joueur, ne suscite pas la critique, le départ de M. Cueff ne fait apparemment pas l'unanimité à Rennes. A la fin du derby, celui-ci s'est présenté sur la pelouse entre John Utaka et Bruno Cheyrou. «(Dimanche), dans l'entourage de la présidence, certains avouaient "ne pas comprendre cette décision. On est déçus. Il y avait un vrai projet, un club humainement pacifié et sportivement sur de bons rails"», relate Ouest France ce lundi. Par ricochets, la situation de Pierre Dréossi se trouve en effet questionnée. Il devrait être reçu dès lundi après-midi par l'actionnaire et... Frédéric de Saint-Sernin.
L'Europe en sait déjà beaucoup trop avant le coup d'envoi de la sixième journée. Onze équipes déjà qualifiées, aucune surprise, c'est un argument offert aux opposants des phases de poule qui rythment la C1 depuis quinze saisons. Heureusement, Barcelone est là pour faire le spectacle et exciter le continent. Merveilleux l'an passé, le tenant du titre va disputer, à cause d'une première phase jusqu'ici poussive (8 points), un de ces matches qui font l'intensité des coupes d'Europe, un seizième de finale avant la saison, une soirée de gala déjà propice aux superlatifs. Barcelone - Werder Brême «sera une finale, le moment le plus important pour nous cette saison», selon Ronaldinho, que Rijkaard, pas fou, a préservé ce week-end en Championnat. «Nous nous battrons comme si notre vie en dépendait dès le coup d'envoi», promet Iniesta. L'autre camp se sent «dans une configuration parfaite pour créer une surprise de taille», paroles du directeur sportif Klaud Allofs. «Une désillusion et un très grand échec», du point de vue d'Edmilson. Chelsea peut être accompagné par le Werder et le Barça reversé en Coupe de l'UEFA. Comme en 2000-2001, à l'époque des vaches maigres, période Ferrer. Ce serait un séisme.
Les données sont simples : pour ne pas devenir le premier tenant du titre de la Ligue des champions "moderne" à être éliminé dès la phase de poules, ou en tout cas avant les huitièmes de finale (voir ci-contre), Barcelone doit battre le Werder Brême. Il n'a aucune autre issue et connaît le prix de son avenir : il devra réaliser son premier match plein de la saison. Sans Messi, ni Eto'o, toujours. La victoire, jusqu'ici, il ne l'a remportée que devant le Levski Sofia (5-0, 2-0). Contre Chelsea (0-1, 2-2) et à Brême (1-1), il n'a jamais joué avec le volume et la constance de la saison dernière. Leader en Liga, le Barça doit inventer autre chose. Car le Werder arrive lancé : aucune défaite en quatre matches de C1, trois victoires sans but encaissé série en cours. Dans son histoire, le club allemand n'a jamais échoué en phase de poules. Battu au Camp Nou il y a un an (3-1), le leader de la Bundesliga espère traduire sur le champ ce que tout le monde dit : ce n'est plus la même équipe. Elle attaque avec autant de générosité, mais mieux (49 buts en 20 matches avec Klose et Diego au top) et elle a appris à défendre.
Frings n'imagine pas un 0-0, Barcelone non plus
De Munich, l'ancien Barcelonais Marc Van Bommel donne du crédit à la conviction d'un Iniesta, lequel assure : «ça ne vient à l'esprit de personne (dans le groupe barcelonais) d'être éliminé». «Les joueurs de Brême n'ont aucune chance parce que le Barça est beaucoup plus fort» appuie le Néerlandais. «Je sais combien c'est dur quand on doit gagner à tout prix et je ne sais pas comment va réagir Barcelone à cette pression», tempère l'entraîneur du Bayern Félix Magath. Tout le monde a un avis. Tout le monde, surtout, veut voir ça. Pour évacuer le poids considérable des attentes, les deux équipes ont parlé de jeu. Elle ne renieront pas leur tempérament offensif, promettent-elles. «Nous y allons pour gagner et vu le style des deux équipes, je n'imagine pas un 0-0 » dit Frings. Barcelone non plus. Pour d'autres raisons.
:classe: :classe:Arrête Marseille alors.... :whistling2:
:classe:Non, s'tait nul s'tout, radhasse a pas d'humour et connait rien au foot :kaola:
:D
:classe: