Potes'n'Roll

1994 a été l'année de tous les "premiers". Nelson Mandela devint le premier président noir de l'Afrique du Sud ; le tunnel de la Manche, longtemps attendu, fut ouvert au public ; enfin, les premiers épisodes d'une série télévisée appelée Friends furent acclamés aux États-Unis.

C'est aussi l'année où Sony, le géant de l'électroménager, aura tenté courageusement de se faire un nom sur le marché très concurrentiel des jeux vidéo.

Astucieusement nommé PlayStation, son système 32 bits permettant de lire des CD fut lancé au Japon en décembre. La console a du s'imposer face aux "deux géants" du marché, autrement dit, la Saturn de Sega et l'Ultra 64 de Nintendo (nom provisoire de la Nintendo 64 avant sa sortie).
Cependant, grâce à sa belle coque grise

et à sa manette ergonomique (parfaitement adaptée à de populaires jeux d'arcade Namco tels que Ridge Racer), la console a su attirer l'attention des joueurs et a permis à Sony Computer Entertainment de devenir un concurrent sérieux pour les vétérans.

Pendant qu'un super ordinateur battait Garry Kasparov aux échecs, une console de jeu un peu moins puissante mettait la pâtée à ses concurrents partout dans le monde,

En octobre, les exportations de produits PlayStation atteignirent la barre des 9 millions. Avec l'arrivée de suites énormes telles que Tekken 2, Ridge Racer Revolution et Wipeout 2097, les choses n'allaient pas ralentir de sitôt.

Titres importants : Aquanaut's Holiday, Krazy Ivan, Loaded, International Track and Field, Tobal N°1, Formula 1, Street Fighter Alpha, Zero Divide

Cette année là, les astronomes annonçaient que le taux d'expansion de l'univers augmentait. Ils oubliaient pourtant de préciser que celui du matériel et des jeux PlayStation suivait la même progression !

En avril, sortait la nouvelle manette PlayStation : la manette analogique, ou DualShock pour les intimes. Les deux joysticks analogiques assuraient un contrôle plus précis, tandis que la fonction de vibration intégrée permettait aux joueurs de ressentir les effets de l'action se déroulant à l'écran.

Les ventes de consoles PlayStation 2 allant bon train, la question était de savoir si les jeux proposés pouvaient suffire à maintenir la cadence.

Grâce à de nombreux titres développés en interne ou par des sociétés tierces, tels que Burnout, Devil May Cry, Grand Theft Auto 3, Gran Turismo 3: A–spec, Onimusha: Warlords et Rez, c'était bien parti pour continuer.

À l'époque, SCEE était déjà déterminé à prouver que les meilleurs jeux paraissaient sur PlayStation 2. Ainsi, la société conclut cette année-là des accords d'exclusivité avec trois importantes sociétés. Entre avril et mai, Disney Interactive, Square et Sega signèrent un accord selon lequel SCEE éditerait les titres les plus attendus du trio, dont Virtua Fighter 4, Final Fantasy X et Kingdom Hearts.

C'est aussi l'année où Sony, le géant de l'électroménager, aura tenté courageusement de se faire un nom sur le marché très concurrentiel des jeux vidéo.

Astucieusement nommé PlayStation, son système 32 bits permettant de lire des CD fut lancé au Japon en décembre. La console a du s'imposer face aux "deux géants" du marché, autrement dit, la Saturn de Sega et l'Ultra 64 de Nintendo (nom provisoire de la Nintendo 64 avant sa sortie).

et à sa manette ergonomique (parfaitement adaptée à de populaires jeux d'arcade Namco tels que Ridge Racer), la console a su attirer l'attention des joueurs et a permis à Sony Computer Entertainment de devenir un concurrent sérieux pour les vétérans.

En avril, sortait la nouvelle manette PlayStation : la manette analogique, ou DualShock pour les intimes. Les deux joysticks analogiques assuraient un contrôle plus précis, tandis que la fonction de vibration intégrée permettait aux joueurs de ressentir les effets de l'action se déroulant à l'écran.

999 du calme, pour moi ce site c'est du second degré. Soit c'est de la réplique à moutons (en moins rentre dedans), soit c'est carrément de la parodie de l'attitude de Playstation-fanboys. En tout cas, à ne pas prendre au sérieux, je me suis plutôt marré en le lisant.

J'avoue que ce passage m'a plié de rire..."sa belle coque grise". Ca devait être un hyper bel argument pour les moutons et leurs laine, ou encore les barakis de service avec laquelle leur console est "assortit" avec leurs air max.

Elle a surtout attirer le "grand public" pas les gamers en eux-mêmes. C'est surtout à cause de ça qu'on a plus de jeux de merde et "commerciaux" sur le marché qu'il y a 10 ans...
Merci Sony.

Quote

Elle a surtout attirer le "grand public" pas les gamers en eux-mêmes. C'est surtout à cause de ça qu'on a plus de jeux de merde et "commerciaux" sur le marché qu'il y a 10 ans...
Merci Sony.

Faut voir les faits... ils ont eu les bons jeux au bon moments.
Entre Toshinden, Tekken et Virtua Fighter, entre Ridge Racer et Daytona, avec Tomb Raider dans la poche aussi

... et la Nintendo 64 qui arrivée bien trop tard de même que les bombes Saturn... ils ont eu l'avantage. Final Fantasy VII a porté l'estocade et là c'est de la faute à Nintendo.

En gros le succès de Sony est du en grande partie aux erreurs de Nintendo. Ils en ont profité et voila le travail. On ne va pas leur repprocher d'être malins.

On verra ce qu'il en sera pour les consoles next-gen. Playstation s'est fait une place et a désormais un public pré-aquis. Microsoft doit conquérir, Nintendo doit re-conquérir.

Comme je le dis au dessus il est surtout dû au fric. Et c'est surtout ça que je reproche à Sony, ne rien faire soit-même, payer des studios pour dévelloper uniquement sur leur console et se taper tout le mérite après. Financièrement parlant, Nintendo et Sega ne pouvaient pas rivaliser avec Sony. A la belle époque où le marché des consoles se partagait entre Sega et Nintendo, la grande majorité des jeux dévelloper par des éditeurs tiers sortaient sur les 2 supports, la différence se faisait uniquement sur les titres dévelloper par les constructeurs eux-même .S

Par contre, on ne va pas me faire croire que c'est Square Enix qui est allé toquer à la porte de Sony. Je ne vois vraiment pas l'intérêt pour des dévloppeurs de jeux à ne dévelloper que sur une console (et perdre par conséquent les 2 autres marchés concurents), c'est bien Sony qui payait ces studios de dévellopement pour faire des "exclusivité" Playstation.

Ah non... Nintendo était et est toujours le constructeur qui se fait le plus de pognon sur le marché des consoles.

Ce qui a poussé les éditeurs à fuir ce sont les royalités que Nintendo demandait pour qu'ils aient le label "licencied by nintendo".

Concernant les titres exclusifs... tous les Squaresoft jusqu'alors sortaient sur consoles Nintendo si je raconte pas de bêtises, des Final Fantasy aux Seiken Densetsu. C'est un peu ce qui a creusé l''écart avec la Megadrive qui n'avait que Thor et Soleil comme RPG de qualité bien à eux là ou en face y'avait Zelda, Final Fantasy, Illusion of Time, Seiken Densetsu etc...

Donc le coup des licences exclusives n'a pas été inventé par Sony et a toujours existé.

la grande majorité des jeux dévelloper par des éditeurs tiers sortaient sur les 2 supports, la différence se faisait uniquement sur les titres dévelloper par les constructeurs eux-même

Ils ont claqué la porte à Nintendo, ça c'est sur. Alors sont ils allés pour se venger chez Sony qui en avait fait de même ou est ce Sony qui est venu les voir, c'est une autre histoire.

Maintenant Squaresoft a toujours continué à développer sur portable Nintendo malgré tout.

"Etait" oui, mais "est" certainement pas.

Pas du tout, les "royalités" que se payer Nintendo à l'époque sur le support cartouche (plus cher à la fabrication que le CD) sur SNes et surtout sur N64 étaient visible sur le prix final affiché en magasin. C'était juste un "surplus" que Ninntendo fesait payer au consomateur, les éditeurs de jeu eux gardaient les même bénéfices.

Tu en connaissais d'autre toi avant la PSP des concurents sur le marché des consoles portables? Je vois vraiment mal Nintendo "snober" une liscence moi...

Mmmm... Nintendo reste des trois, et j'ai lu ça y'a quelques mois, celui qui fait le plus de bénéfices. Microsoft a perdu de l'argent, Sony... ça leur permet de survivre (vu qu'ils banquerotent dans d'autres secteurs).

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Tu en connaissais d'autre toi avant la PSP des concurents sur le marché des consoles portables? Je vois vraiment mal Nintendo "snober" une liscence moi...

Là n'est pas la question... je fais juste remarquer que Square n'a pas boudé Nintendo à 100%.