Ah ouai, j'ai un ami qui a un poster géant d'une belle photo de cet évenement, et c'est très très impressionant !
Re: Faits divers et compagnie
« Réponse #1725, le 5 Avril 2007 à 19:16 »
Reparti libre dans l’après-midi après son audition sans que soit posée la question d’une mise en examen, le conducteur décrit comme « expérimenté » ne serait « a priori pas en cause », nous disent les dernières informations. Evacués vers l’atelier, le matériel et notamment la motrice menante vont maintenant faire l’objet d’un examen approfondi.
Guyane: les deux randonneurs survivent 7 semaines en mangeant deux tortues
CAYENNE, 5 avr 2007 (AFP) - Disparus depuis le 14 février au coeur de la forêt guyanaise, Loïc Pillois et Guilhem Nayral ont été retrouvés jeudi, sept semaines plus tard, après avoir survécu en buvant l'eau des rivières et en mangeant des graines ainsi que la chair de deux tortues.
Le dénouement heureux de cette histoire a été marqué par un cafouillage des gendarmes, qui ont confondu les identités des deux randonneurs, annonçant d'abord que l'homme arrivé à Saül était Guilhem Nayral et non son camarade.
Loïc Pillois, 34 ans, originaire de Margaux (Gironde), est arrivé le premier, à pieds, à Saül, un minuscule bourg au coeur de la Guyane, vers 10H00 du matin (15HOO en métropole).
Aperçu au bout de la piste en latérite de l'aérodrome local, il explique aussitôt que son camarade, Guilhem Nayral, 34 ans également, se trouve à environ six heures de marche au sud, près d'une crique (rivière), la crique "limonade".
De fait, quatre heures plus tard, Guilhem Nayral, originaire de Sanary (Var), est retrouvé par les gendarmes partis à sa recherche en hélicoptère, et hélitreuillé. "Nous l'avons trouvé allongé sur le sol, complètement à bout de souffle, extrêmement amaigri, déshydraté, mais pas blessé", a expliqué à l'AFP l'adjudant-chef de la brigade territoriale de gendarmerie de Cayenne, Martin André.
"Quand je l'ai pris dans mes bras, il s'est mis à pleurer", a ajouté le gendarme.
Dès son arrivée en hélicoptère à Cayenne, Guilhem Nayral a été conduit au centre hospitalier de la ville. Lors de son transfert depuis l'hélicoptère dans un véhicule du Samu, il était allongé, pieds nus, sur un matelas coquille, sur une civière, a constaté l'AFP sur place.
Christophe Soula, directeur adjoint du centre hospitalier de Cayenne, a précisé que Guilhem Nayral "faisait l'objet de soins nécessités par son état, dominé par une grande fatigue physique et morale".
Arrivé un peu plus tard à Cayenne, dans un autre hélicoptère, Loïc Pillois a été immédiatement conduit à la gendarmerie pour audition, avant d'être lui aussi hospitalisé quelque heures plus tard, vers 18h00 (23h00 en métropole).
Il est descendu seul de l'hélicoptère, le visage amaigri mangé par une barbe et l'air très affaibli, vêtu d'un short et d'un sweat-shirt marqué "never stop exploring" et tenant une machette à la main. Il n'a dit qu'une seule phrase: "Il fait vraiment très chaud". (ndt : :classe: :classe: :classe: :classe: on a le meme t-shirt)
A la mi-mars, le procureur de la République de Cayenne, Claire Lanet, avait ouvert une information judiciaire pour "disparition inquiétante" au sujet des deux hommes.
Partis à la mi-février, depuis la rive du saut (rapide) Grand Kanori, au bord du fleuve Approuague, au coeur de la Guyane, Loïc Pillois et Guilhem Nayral pensaient mettre une dizaine de jours pour faire la centaine de kilomètres les séparant de Saül.
Partis sans GPS ni téléphone satellitaire, ils pensaient se guider uniquement à l'aide de cartes et de boussoles.
"Il m'a dit qu'ils en avaient vraiment bavé", a expliqué Mme Pillois à l'AFP jeudi, après avoir pu parler à son fils par téléphone.
Du 4 au 25 mars, une quarantaine de gendarmes avaient fouillé la forêt guyanaise pour essayer de retrouver les deux hommes. Les recherches en forêt avaient été arrêtées le 26 mars mais un dispositif de huit gendarmes avait été maintenu à Saül pour effectuer des recherches dans les sentiers environnants.
Selon les premières explications de Loïc Pillois aux gendarmes, ils auraient tenu sept semaines en buvant l'eau des rivières, en mangeant des graines et en mangeant la chair de deux tortues qu'ils avaient réussi à tuer.
Un bébé malade ne peut embarquer à Orly en raison des mesures de sûreté
Un bébé gravement malade, en couveuse, n'a pu embarquer mercredi à l'aéroport d'Orly pour La Réunion, son état ne permettant pas d'appliquer les procédures de sécurité classiques.
L'ambulance du bébé âgé d'un mois s'est présentée au poste d'inspection filtrage sur le tarmac d'Orly 40 minutes avant le décollage (prévu à 21h00) pour procéder à l'embarquement, selon la gendarmerie des transports aériens (GTA). Le médecin ayant déclaré l'enfant "non palpable" en raison de son état de santé, la société de sûreté chargée de l'inspection s'est vue dans l'impossibilité d'ouvrir la couveuse.
Appelée sur place, la GTA a constaté qu'elle ne pouvait réaliser les contrôles prévus sur un enfant "non palpable" avant le décollage de l'avion et de ses 461 passagers. Il aurait notamment fallu emmener la couveuse dans un local "approprié", selon la GTA.
Le médecin est alors revenu sur sa déclaration et a accepté à 20H55, d'après la GTA, que le bébé soit déclaré palpable et que sa couveuse soit ouverte et inspectée selon une procédure plus légère.
Informé de la situation, le commandant de bord aurait alors refusé d'embarquer l'enfant compte tenu du retard, selon plusieurs sources aéroportuaires.
"Les passagers (le bébé et le médecin, NDLR) ont manqué l'heure limite d'embarquement. Comme pour tout passager, il a été décidé de ne pas les embarquer et de décharger leurs bagages", a réagi un porte-parole d'Air France.
"Nous devions appliquer les mesures du plan vigipirate rouge et vérifier qu'il n'y avait ni explosifs ni armes dissimulés, éventuellement à l'insu des médecins, dans le matériel accompagnant l'enfant. Ce n'était pas un transport réalisé sous le signe de l'urgence. C'est un incident regrettable. Si l'ambulance était arrivée deux heures avant le décollage il n'y aurait pas eu de problèmes", a expliqué la GTA.
"Pour les autorités, le bébé représentait un danger potentiel pour le vol. Personne n'a voulu prendre la responsabilité de le laisser passer. (...) C'est une décision inhumaine", a déclaré sur TF1 David Ernest Fargue, le médecin du Samu qui accompagnait l'enfant.
L'enfant, reconduit au service réanimation de l'hôpital Necker à Paris, devrait, selon l'hôpital, embarquer jeudi soir pour la Réunion où il doit retrouver sa famille.
Bah tu sais les futurs terroriste, Sarkozy veut aller nous les chercher en maternelle ou primaire, donc pourquoi pas à la maternité tant qu'on y est :whistling2:
il a bouffé une migale.
Mais ces deux gars ils risquent pas malgré tout des ennuis pour avoir mangé des tortues ?
Je suis sur qu'il ya des assos qui vont encore gueuler dans tous les sens non ?
Tu rigoles ou quoi ? Un homme avec une machette et une boussole dans la nature, n'est un prédateur contre un autre. Je propose de porter plainte contre les carnivores !! :mdr:Citation de Wingman le 6 Avril 2007 à 14:38 Mais ces deux gars ils risquent pas malgré tout des ennuis pour avoir mangé des tortues ?
Je suis sur qu'il ya des assos qui vont encore gueuler dans tous les sens non ?