/mese demande la durée de vie de ce topic, tiens...
Citation de Thomas le 26 Juillet 2005 à 14:30 /mese demande la durée de vie de ce topic, tiens...
+1 ce topic a une valeur, d'autant plus que tinou et megara font office de reporter spéciaux pour nous parler du quotidien de leurs voisins nippons.
D's©
Pour moi les japonais ce sont des personnes égocentriques, hyper fiers d'eux mêmes, égosites etc...
Les japonais ne sont pas galants : guère étonnants pour des gens hyper individualistes.. Les japonais sont donc de gros fêtards : c'est amusant :)
D'autre part, j'ai été surpris l'autre jour de voir des japonais paniquer lors d'un séisme : c'est un comble pour ds gens qui y sont hyper bien préparés...
/mese retient de parler des 35H depuis 2 messages :whistling2:
Je crois que si on leur demandait de ne faire que 35h, ils accepteraient sans problèmes .... leur réputation de bosseurs vient justement du fait qu'ils ont un horaire interminable .... :sweatdrop:
Lees japonais ne tiennent pas l'alcool (ca peut arriver à tout le monde) : c'est bizarre.
Les japonais ne sont pas galants : guère étonnants pour des gens hyper individualistes.. Les japonais sont donc de gros fêtards : c'est amusant :)
Certains, oui, mais je pense que leur plus gros probleme, c'est qu'ils se brident a longueur de journee.
Pour le temps de travail au boulot : en general on ne dit pas "xx heures par semaine". Ca n'existe pas au Japon. On bosse et c'est tout. En CDI, les heures sup ne sont pas payees! Enfin on bosse plus, oui, mais l'efficacite n'est pas optimale : il s'agit d'un des nombreux sas de decompression permettant au Japonais de respirer dans cette societe qui lui demande tant...
Oui mais tu remarqueras que ce manque d'efficacite ne leur ai pas vraiment reproche... En cela je le considere comme une sorte de sas de decompression sociale.
Mais un employe normal (CDI) d'ici n'est pas paye pour les heures sup. Donc grosse perte de fric pour la boite quand meme... Heureusement cette gentille employee s'en va a la fin du mois.
Sinon autre question relatif aux Japonais. On parle souvent du nombre très important de suicides au Japon. Même si ce n'est pas là que le taux de suicide est le plus important (je crois que c'est en scandinavie) je crois que c'est très ancré dans nos idées. Est-ce bien le cas, et si oui, qu'est-ce qui l'explique selon vous ? :)
Enfin, je ne suis pas surprise de la difference de proportion entre hommes et femmes. La qualite de vie des femmes est tout de meme superieure a celle des hommes, car elles ont moins de stress, surtout pour celles qui ne travaillent pas ou plus.
Tu m'etonnes... Hier je suis alle faire un tour a Shinjuku pour m'acheter un bouquiin... Yavait QUE des femmes dans la rue!!!! :w00t2:
Au Japon, c'est LA FEMME qui CONSOMME. Le creno celibataire 22-35 ans est LE CRENO des PUBLICITAIRES, MARKETEURS etc.
Ou sont les hommes? Au boulot en train de gagner la thune... :vertag: (un peu caricatural, mais bon...)
A ben pour donner un exemple concret : dans ma boite, il y a une douzaine de femmes, 2 sont mariees, les 10 restantes sont celibataires. Elles ont toutes la trentaine passee
... et yen a une qui a 45 ans et qui vit chez ses parents!
Parasite single!
パラサイト・シングル!
Au Japon, c'est LA FEMME qui CONSOMME. Le creno celibataire 22-35 ans est LE CRENO des PUBLICITAIRES, MARKETEURS etc
En effet je l'ai lu et cet article est très interessant et choquant. L'histoire sera toujours écrite par les vainqueurs de toute façon, ce n'est pas nouveau et ne changera pas.
Je n'ai trouvé que cela : cliquez ici ma chère :wub: !(http://archquo.nouvelobs.com/cgi/idxlist2?a=art&aaaammjj=200507&aaaammjj2=20050803&amjg=200508&num=000002438&m1=hiroshima&m2=&m3=&rubrique=&rubrique_sci=&amj1=&amj2=&host=http://permanent.nouvelobs.com/&debut=20050719)
Toujours autant à l'arrache toi, on a pas parlé de programmes TV ! :whip:Citation de Ex-Floodeur le 3 Août 2005 à 15:40 Je n'ai trouvé que cela : cliquez ici ma chère :wub: !(http://archquo.nouvelobs.com/cgi/idxlist2?a=art&aaaammjj=200507&aaaammjj2=20050803&amjg=200508&num=000002438&m1=hiroshima&m2=&m3=&rubrique=&rubrique_sci=&amj1=&amj2=&host=http://permanent.nouvelobs.com/&debut=20050719)
On parle d'article du magazine, que voici :
Hiroshima les derniers survivants racontent
(http://www.nouvelobs.com/dossiers/p2125/a273627.html)
La verité inavouable(http://www.nouvelobs.com/dossiers/p2125/a273629.html)
Mon lien n'est pas hors sujet !!! :whip:
En tout cas, les japonais ont le plus grand respect pour les victimes de ces deux actes..
Non. Daigne au moins lire l'article, tant qu'on y est s'il-te-plait, ce sera mieux qu'une phrase bateau et erronée.Citation de Ex-Floodeur le 3 Août 2005 à 16:11 En tout cas, les japonais ont le plus grand respect pour les victimes de ces deux actes..
Les américains pourraient au moins réparer cette injustice (même si c'était un acte de guerre..Ca n'excuse en rien leur comportement duran tles années qui ont suivi cela)...
Ils ne pouvaient pas non plus diffuser plus trash, ce n'était "que" interdit au moins de 10 ans, mais parfois ne rien montrer est pire. Par exemple lorsque l'on écoutait le médecin, j'avoue que le tournage ne rendait rien en comparaison avec ce que j'imaginais en fermant les yeux, c'était bien plus horrible et choquant...
Par contre je suis surpris que cela ait été diffusé sur TF1 :oo:
Moi ce que j'aime bien, c'est les commentaires des Gi Joe : "on a fait le job!", "j'ai fait mon devoir".
C'est vrai qu'il faut se remettre dans le contexte de l'époque, mais qu'est ce que ça reste con un soldat... ^^
Ils sont quand même restés soft avec les survivants, y a pas eu de grands cramés avec oeil pendouillant et tout le tralala.
C'est vrai que c'est choquant vu comme cela, de l'exterieur. Je pense qu'il faut se replacer dans le contexte de l'époque. Je ne dis pas qu'on peut les excuser, je dis que leur comportement eut se comprendre. Ceci dit, peut etre que a les a choqué mais qu'on leur a interdit de le dire...
Et fait incroyable, y a pas eu de pub. ^^
Hier, jeudi 4 août, TF1 diffusait en première partie de soirée « Hiroshima ». Ce documentaire, coproduit par TF1 et la BBC, a permis à la chaîne privée d'arriver « très largement en tête des audiences ».
Diffusé sans écran de publicité, le programme a réuni un large public avec 6.935.040 téléspectateurs pour 37% de part d'audience.
Les parts de marché sur les cibles sont excellentes : 37% sur les femmes de moins de cinquante ans, 44.9% sur les 15-24 ans et 39.7% sur les 15-34.
C'est une piscie comme celle la qu'il me faudrait :niark: :niark: :niark:
Je vais au complexe sportif de Edogawa, aux portes de Tokyo. Petite piscine de quartier tres sympa, 200 yens l'entree... Alors bien sur ya une ambiance de meme, mais bon... Sendagaya c'est loin et ca doit etre peuple et cher... Mais si les gens nagent vite...
Les vestiaires: pas de cabines personnelles,
l'extrême-droite (le fascisme) japonaise est une structure assez complexe, sa base populaire est très réduite, ce sont les groupuscules évoqués (bien moins nombreux à mon avis que les militants FN en France) ; mais le capital étant le sponsor direct du fascismes, ses bases intellectuelles et de propagande sont par contre très puissantes : les journaux quotidiens du Yomiuri et plus encore le Sankei sont des exemples achevés ; politiquement, comme tu l'as compris il n'existe pas de "parti politique" d'extrême-droite, l'astuce est magique : il n'ya pas de parti d'extrême-droite car les fascistes sont au sein du pouvoir, en cellule dormante qui est activée de temps à autre pour assurer la survie des germes du fascisme pour le jour où il lui sera possible de revenir fouetter et massacrer.
Pas de parti, ca veut dire que tout passe par dessous au niveau politique : il y a des hommes de paille des milieux fascistes, des députés PLD (peut-être pas tous) dont les plus connus sont Nakasone et Ishihara. Les députés au pouvoir (pour ainsi dire, le PLD est le parti unique au pouvoir depuis cinquante ans au Japon) sont de temps à autre des fascistes déclarés, il prennent la pose pour défendre les idéaux, le passé, le discours fasciste de manière très directe, mais très précise et ce jusqu'au plus haut niveau :
Tu connais peut-être l'affaire du dernier Premier ministre Mori qui s'était mis à déclarer à la presse que le Japon était bien comme le disait le mythe shinto "le pays des dieux"... c'était en 1999 je crois, sa côte de popularité était à plat depuis longtemps déjà, alors il en a profité pour gagner quelques millions en faisant plaisir à ses sponsors fascistes, qui ont beaucoup d'argent, tu peux en être sûr. Tu connais aussi sans doute les fresques du Premier ministre actuel Koizumi qui va faire ses courbettes "au moins une fois par an" devant les criminels de guerre de catégorie A mélangés honteusement au sein de leurs victimes.
Si tu veux, il faudrait imaginer Raffarin s'être mis à chanter "Maréchal nous voilà" le lendemain du 11 novembre...
Donc il n'y a pas de parti politique comme le FN, car le peuple japonais a bien compris avec la Guerre que les fascistes sont de simples brutes maniant d'abord le fouet contre les travailleurs, pour faire tourner les usines d'armement.
Quand je parle de contre-syndicats, bien entendu, il y a le phénomène des jaunes, mais encore une fois, le fascisme japonais est concentré, c'est pour çà qu'il n'a jamias vraiment faibli en virulence : il ne s'expose pas en organisations sociales. Par exemple, tu ne verras pas de marche fasciste au Japon comme tu peux voir les fascistes français marchaient "pour Jeanne d'Arc"... le fascisme japonais n'est pas populaire... tu sais à quel point "le pacifisme" est une idée présente dans le peuple japonais... pourquoi ? la guerre, toujours, la guerre, le peuple japonais a subi les pires souffrances sous la férule fasciste.
Celui qui pourra de nouveau gouverner le Japon en brandissant armes et slogans nationalistes n'est pas encore né. Mais, le fascisme y travaille.
C'est pour cela que Koizumi va faire ses courbettes au temple Yasukuni (tapes Yasukuni sur le moteur de recherces... tu verras).
C'est pour maintenir la pression, pour maintenir les idéaux fascistes d'actualité pour pouvoir les réactiver plus tard, quand ce sera possible. C'est aussi pour cela que la famille impériale est toujours dans son palais alors qu'elle ne fout rien de la journée et qu'elle a commandé des massacres par millions lors de la Guerre...
Tu sais que selon le Droit japonais, l'empereur est "le symbole de l'Etat"... le symbole de l'Etat fasciste prêt à revenir dès que possible.
Lorsque tu demandes s'il y a "une hégémonie nationaliste, voir xénophobe insidieuse dans la culture japonaise"
je préfère ne pas employer l'expression "culture japonaise" car cela n'existe pas, c'est une fiction voulue par les nationalistes, c est une création du XIXème siècle.
Mais exactement, les fascistes ont développé des mythes et les ont diffusés dans la société japonais (comme nous croyons tous "être français")...
Lorsque le fascisme impérial a connu des difficultés à partir de 1942-1943, pour continuer le mythe d'une bonne guerre, il a crée le concept de Guerre Pour La Sphère de Co-Prospérité d'Extrême-Orient. La Daitôasensô 「大東亜戦争」pour la Daitôa-eiken-kyôdôtai「大東亜共栄圏」.
Il faut le dire sans ambages : aujourd'hui, le Japon n'est pas directement dominé par le fascisme, suelment indirectement.
Le pouvoir direct du fascisme c'était il y a 60 ans... c'est à dire que l'on va commencer à pouvoir oublier la réalité des horreurs fascistes, puisque les gens qui les ont subies disparaissent peu à peu...
C'est une occasion merveilleuse pour le fascisme de se réhabiliter, pour modifier l'histoire, pour la réviser, c'est à dire remettre en avant le discours qu'il avait développé pendant la Guerre pour justifié son terrible régime :
Depuis 1999, les milieux fascistes ont créé leur propre organe de réhabilitation dans l'histoire, pour diffuser le Révisionnisme, il s'agit de la dite "Association pour créer de Nouveaux manuels d'Histoire" le Tsukuru-kai「新しい歴史教科書作る会」... cette association très professionnelle a réussi très rapidement à s'imposer : dès 2001, les manuels de propagande qu'elle proposait au Ministère de l'Education ont été validés par ce dernier, c'était l'affaire des manuels qui a suscité de grands mouvements de protestations en chine et en Corée... depuis, les voisins savent à quel point le fascisme est puissant au Japon, il faut toujours s'en rappler pour comprendre les relation diplomatiques entre ces pays...
Depuis, les manuels en question ont été tus, le temps a un peu passé, et boum ! après 3 ans, ça recommence, comme des bûcherons voulant faire tomber un arbre, voilà que le ministère radopte les manuels révisionnistes de la Tsukuru-kai en 2005 (cette année)...
Tu vois, c'est sans fin, le fascisme est une réalité. Qui peut souhaiter un pouvoir fasciste ? Ses principaux commanditaires sont les industries qui se nourrrissent des travaux les plus pénibles, pour étouffer les complaintes de leurs travailleurs et pouvoir étendre ce type d'exploitation à autant de secteurs que possibles. Cela concern au premier le capital se nourrissant des Travaux publics, des secteurs miniers et de l'indutrie lourde. Il y a un problème à l'heure actuelle, c'est que le secteur de l'industrie lourde japonaise investit beaucoup en Chine et que depuis que la Chine est indépendante et "communiste", les coups de théâtre fascistes au Japon créent de réels problèmes en Chine (les manifs récentes ne sont la preuve)... génant leur développement. Aussi, ce sont surtout les milieux financiers (parfois les banques de ces memes entreprises industrielles) qui prennent le relais. La finance se base sur l'or, et l'or, ça ne se prend facilement chez le voisin qu'avec une bonne guerre d'invasion bien sanglante...
On en pas encore là, c'est juste la perspective.
c'est le shikataganai qui l'emporte
Petit post sur le fascisme au Japon:
A Nemuro et dans les regions nordiques du Japon, on voit souvent ceci:
J'ai parfois envie de leur gueuler dessus, de leur dire de se remuer, mais non, ici culturellement, c'est le shikataganai qui l'emporte.
C'est pour maintenir la pression, pour maintenir les idéaux fascistes d'actualité pour pouvoir les réactiver plus tard, quand ce sera possible. C'est aussi pour cela que la famille impériale est toujours dans son palais alors qu'elle ne fout rien de la journée et qu'elle a commandé des massacres par millions lors de la Guerre...
Un médecin de l'hôpital universitaire de Shiga, près de Kyoto (centre du Japon), a frappé à coup de poing un patient opéré sous anesthésie locale, qui le suppliait d'interrompre l'intervention, a rapporté la presse mardi.
Le malade s'est soudainement agité, hurlant pour que l'opération cesse. Le praticien a réagi en lui assénant un violent coup de poing à la tête, lui intimant de ne pas bouger et "de la fermer", selon l'agence Kyodo.
L'opération, qui avait lieu le 1er août dernier, a finalement été interrompue. Le patient a eu droit ensuite à la visite de la direction de l'établissement et du médecin, qui lui ont présenté de plates excuses.
Selon Kyodo, le patient a eu besoin de cinq jours de convalescence pour guérir du coup reçu.
Il a été de nouveau opéré trois semaines plus tard par un autre médecin et cette intervention a eu lieu dans le plus grand calme.
Ils sont violents les chirurgiens japonais :wacko:
Vous avez déjà eu a faire avec les services médicaux japonais ?
Les enseignements oubliés de la guerre du Pacifique, par Philippe Pons
Le front européen de la seconde guerre mondiale est trop proche, son histoire trop explorée, pour qu'il se prête à des assimilations simplificatrices. Plus lointaine, se déroulant dans des pays à l'histoire peu connue, la guerre du Pacifique, qui prit fin avec la signature, le 2 septembre 1945, de l'acte de capitulation du Japon, donne lieu en revanche à une foule de clichés et d'analogies réductrices.
Comme celle à laquelle vient de se livrer une fois de plus George Bush, sur la base navale de San Diego lors de la célébration du 60e anniversaire de la reddition du Japon, en comparant la démocratisation de l'Archipel à la situation en Irak.
Sur le premier registre les clichés , la guerre du Pacifique est une source intarissable. Ainsi, les pilotes-suicides ou kamikazes sont-ils l'archétype du fanatique, le raccourci pour désigner les terroristes qui se tuent avec leurs victimes. Assimilation erronée : le seul point commun est l'exploitation de l'idéalisme de jeunes parfois à peine sortis de l'adolescence.
Les pilotes-suicides japonais étaient pour la plupart moins volontaires que contraints. Ils ne partaient pas la joie au coeur mais la peur au ventre, et ils mouraient moins pour l'empereur qu'en pensant protéger leur famille. C'étaient enfin des soldats, obéissant aux ordres, non des terroristes. Leurs cibles étaient des objectifs militaires, non des populations civiles. Autre stéréotype : l'attaque surprise japonaise sur la base américaine de Pearl Harbor en décembre 1941. L'acte de traîtrise par excellence. Certes. Mais si on se place dans la rhétorique de l'administration Bush, c'était simplement une attaque "préemptive" destinée à prévenir une offensive américaine, écrit l'historien de la guerre du Pacifique John Dower.
L'éloignement et la méconnaissance ne sont pas les seules raisons de ces simplifications.
Elles tiennent aussi au caractère manichéen d'une guerre sans quartier, plus sauvage que sur le front européen : "Racisme, déshumanisation de l'ennemi et extermination furent sans précédent , écrit John Dower dans War Without Mercy, Race and Power in the Pacific War (Pantheon book). Il n'y eut jamais dans le cas des Japonais l'équivalent du 'bon Allemand'." Pour les Alliés, l'orgie de violence en Europe fut "nazie" plus que le fruit de dispositions culturelles ou psychologiques germaniques. En Asie, les atrocités étaient simplement "japonaises". En niant toute individualité, singularité ou pluralité à l'ennemi, celui-ci était d'entrée de jeu déshumanisé.
En dépit des interrogations sur le caractère "libérateur" de la guerre en Irak qui se font jour aux Etats-Unis, le Japon après la défaite reste pour George Bush le précédent à l'éclosion d'une démocratie sous la houlette de l'occupant américain. Une analogie qui défie l'histoire. En six ans d'occupation (1945-1951), pas un soldat américain ne fut tué dans l'Archipel. Si les Japonais acceptèrent la défaite, c'est que les Américains avaient un plan d'occupation, et surtout que les Japonais étaient prêts à un retour à la démocratie et à renouer avec une expérience libérale, certes incomplète mais qui n'en constituait pas moins un précédent.
Etat de droit, l'Archipel avait connu une vie parlementaire et une presse d'opinion qui avait combattu en faveur des idéaux démocratiques dès la fin du XIXe siècle. Avant qu'il ne sombre dans le militarisme au début des années 1930, le Japon avait été le foyer des idées socialistes pour le reste de l'Asie. La pensée libérale y avait fait souche.
Dans les grandes villes, de ce qu'il est convenu d'appeler la "démocratie de Taisho" (1912-1926), avait fleuri une culture de masse protéiforme, véhiculant de nouveaux modes de vie et de pensée influencés par l'Occident. Le Japon bénéficiait, enfin, d'une cohésion sociale et d'une forte identité culturelle conjuguées à un niveau d'éducation élevé.
Dans un premier temps, les Américains jouèrent sur la gauche et les syndicats pour raviver les valeurs démocratiques. Et jusqu'au retournement de 1947 lorsque Washington décida de transformer le Japon en bastion de l'anticommunisme en faisant renaître la droite , l'occupation fut le dernier grand œuvre de l'idéalisme du New Deal (politique libérale et progressiste du président Franklin Roosevelt).
Apportant la démocratie et une relative justice sociale, celle-ci avait une légitimité. Perçue par les Japonais comme un "american interlude" non comme une rupture, elle fut réintégrée à l'expérience nationale. "Ce fut une libération, non une humiliation" , commente l'historien Akira Iriye. L'occupation n'entama pas la dignité nationale comme en Irak, estime Akira Mizuguchi, de l'Institut du Proche-Orient à Tokyo.
ANALOGIES TROUBLANTES
L'histoire de l'Asie jusqu'au lendemain de la guerre du Pacifique est surtout riche d'enseignements sur le registre des erreurs. Ainsi, la création par le Japon, en 1932, de l'Etat fantoche de Manchukuo présente-t-il en dépit d'évidentes différences des analogies troublantes avec l'Irak : dans les deux cas est à l'oeuvre le radicalisme de droite d'une superpuissance (régionale dans le cas nippon, mondiale dans le cas américain) conjuguée à une manipulation de l'opinion et à un défi aux règles internationales, note le politologue Kang Sang-jung. Dans les deux cas, une guerre d'agression est poursuivie au nom d'une vision messianique (la "libération" de l'Asie ; la "démocratisation" du Moyen-Orient) et de la conviction que la supériorité militaire viendra à bout de tout : la création de l'Etat de Manchukuo marqua, en fait, le début d'une guerre de quinze ans.
Autre enseignement : la Corée du Sud. Affranchie du joug colonial nippon (1910-1945), la péninsule fut sur-le-champ spoliée de cette libération. Divisée en deux par les grandes puissances, elle fut occupée par des armées étrangères (américaine au sud et soviétique au nord). Confisquant le droit à l'autodétermination des Coréens en refusant de reconnaître les autorités qu'ils avaient mises en place, les Etats-Unis installèrent un régime militaire en conservant les hommes qui avaient servi les Japonais. En dépit d'élections, le pays sombra dans la confusion : grèves, insurrections et répressions sanglantes.
La Corée du Sud, entre 1945 à 1950, est la tragique illustration de la bévue qui consiste à assimiler la fin d'une tyrannie (ici le colonialisme nippon) à l'avènement de la démocratie et à croire pouvoir imposer celle-ci sans tenir compte des voeux d'une population et de son besoin de dignité. En juin 1950, le régime du Nord, pensant tirer partie de la confusion au Sud, déclenchait une guerre fratricide.
La "vision" messianique de George Bush, enfin, rappelle singulièrement le message rédempteur des militaristes japonais lorsqu'ils envahirent l'Asie : "Sans véhiculer la prétention à l'universalisme des Etats-Unis, l'idéologie impérialiste japonaise puisait à la même source , écrit l'historien américain spécialiste du Japon Herbert Bix, auteur de Hirohito and the Making of a Modern Japan (Harper Collins), on apprenait aux Japonais à croire en leur supériorité morale et à être fier de la Lumière dont ils étaient porteurs. Comme les Américains aujourd'hui. Et lorsque ceux-ci rencontrent une résistance dans les pays qu'ils envahissent, ils ne se conduisent pas mieux que les Japonais en Chine." Pas si lointaine, décidément, la guerre du Pacifique...
Il n'y aura pas de surprise le 11 septembre prochain, Mr Koizumi surf sur son image de renovateur du PLD et d'ailleurs c'est ce qu'il presente dans son spot tv diffuse depuis hier ou il se vante d'avoir tenu sa promesse a savoir briser le PLD, action qu'il pourrait lui-meme qualifier de "Big Bang" politique.
10 jours pour presenter un programme qui tient la route et faire veritablement la difference avec la ligne de Mr Koizumi cela releve du miracle pour le principal parti d'opposition, l'echeance est trop proche, par-contre la ou il ya une possibilite d'un veritablement changement (alternance) et c'est ce qu'il faudra surveiller a partir de 2006, c'est comment l'opposition va gerer sa ligne politique et preparer un eventuel depart du premier ministre en septembre de l'annee prochaine comme il fut annonce.
Avec une annee devant-eux et un premier ministre attendu au tournant le big bang politique pourrait-avoir lieu dans un an, le rendez-vous est prit
Les Japonais a la montagne.
Un jour tres prochain je cous raconterai en detail mon excursion au Mont Fuji. Mais juste pour dire la tendance sur consumeriste des Japonais qui se "over-preparent" pour des expeditions dangereuses...
Sur Hokkaido l'an dernier, meme topo. A part dans le Daisetsu zan et Shiretoko, les montagnes de Hokkaido sont generalement safe. Et quelle ne fut pas ma surprise de constater le niveau d'equipement des Japonais pour attaquer le mont Annupuri, 1050 metres! Deux sticks, guetres, bonnet, limite un baudrier et des raccords... Je suis pas partisan de l'attitude francaise a y aller en sandale, mais bon, des chaussures de marches normales avec de bonnes chaussettes et un coupe vent ca suffit non?
Pour relever le niveau :
http://shop.yumetenpo.jp/goods/goodsList.jsp?st=bust-up.co.jp&category=1:3&action=category
Il s'agit d'un chewing pour faire enfler les seins, vu sur www.bust-up.co.jp. Il parait que le succes est enhaurme!
Et puis il y en a qui achètent des fringues pour les chiens qu'ils louent ? :mdr:
En fait ça marche comment la location ? ils peuvent demander à avoir tout le temps le même s'il est là ? ;)
C'est quoi le tableau blanc sur lequel koizumi fichait des roses jour l'autre jour (lors de l'élection)
Je pense que c'est un tableau de résultat mais j'en suis pas certain...
mais au Japon ils n'ont pas les 35 heures .... et les japonais n'ont pas 5 semaines de vacances par an ... :whistling2:
Je suis d'accord avec Megara, au Japon, il y a plein de congés. Le jour de la mer en juillet, le jour du sport en octobre, le jour des vieux en septembre, la GW, O-bon, et de plus en plus, les fetes de fin d'année...
Vive les matsuri qui en découlent!
Et en quoi consistent exactement toutes ces fêtes ?
3 - Kempo Kinenb i憲法記念日 , La commemoration de la constitution
Octobre
14 : Taiiku no Hi 体育の日, Jour de l'education physique
Il y a quand même une sacré dose de jours fériés.Celle de l'occupation américaine ?Citation 3 - Kempo Kinenb i憲法記念日 , La commemoration de la constitution
D's©
Tu vas bientot faire du sport alors :niark:Citation de Megara le 11 Octobre 2005 à 05:29 Octobre
14 : Taiiku no Hi 体育の日, Jour de l'education physique
Marrant ça... les Japonais la garde mais en plus en font un jour de commémoration... alors qu'elle allait à l'encontre de la culture nippone,...
En general, le 3 mai, il y a des manifestations des groupes de droite, pour denoncer la consitution de 1947.Citation de Damien le 11 Octobre 2005 à 10:47 Marrant ça... les Japonais la garde mais en plus en font un jour de commémoration... alors qu'elle allait à l'encontre de la culture nippone,...
Manif avec le fameux drapeau nationaliste je suppose ?
Et Jun.ichiro, il s'en accommode bien ou compte la faire tomber un de ces quatre printemps ?
D's©
le financement des retraites,
J'ai suivi la crise de l'an dernier de près sur le fait que les grands pontes (dont jun.ichiro) ne payaient pas leurs cotisations retraite depuis bien des années et mentaient effrontément quand ils affirmaient l'avoir fait... c'en est où de cette affaire ?
Manif avec le fameux drapeau nationaliste je suppose ?Citation de Megara le 11 Octobre 2005 à 10:54 En general, le 3 mai, il y a des manifestations des groupes de droite, pour denoncer la consitution de 1947.Citation de Damien le 11 Octobre 2005 à 10:47 Marrant ça... les Japonais la garde mais en plus en font un jour de commémoration... alors qu'elle allait à l'encontre de la culture nippone,...
Et Jun.ichiro, il s'en accommode bien ou compte la faire tomber un de ces quatre printemps ?
D's©
(http://img436.imageshack.us/img436/1144/flagsun0qs.th.jpg)(http://img436.imageshack.us/my.php?image=flagsun0qs.jpg)
D's©
TOKYO (AFP) - Les députés japonais ont adopté mardi à une écrasante majorité une série de projets de loi qui privatisent la Poste japonaise, la plus large institution financière du monde, enjeu des récentes élections remportées par le Premier ministre libéral Junichiro Koizumi.
Il ne reste plus que l'obstacle du Sénat, qui cette fois devrait être franchi, pour que l'emblématique réforme postale, principale priorité gouvernementale de M. Koizumi, ait force de loi.
Le vote du Sénat est attendu à la fin de la semaine, très probablement vendredi.
La privatisation des services postaux a été adoptée mardi sans la moindre difficulté par la Chambre des députés (338 voix contre 138). M. Koizumi, souriant, a été acclamé par l'assemblée après le passage du texte.
La réforme postale avait été déjà approuvée --mais d'extrême justesse (5 voix)-- par les députés début juillet, mais rejetée par les sénateurs début août, ce qui avait entraîné la dissolution de la Chambre basse et la convocation d'élections législatives anticipées.
M. Koizumi, 63 ans, avait fait du scrutin du 11 septembre un véritable référendum sur la privatisation de la Poste, une consultation qui s'est soldée par un triomphe historique pour son Parti libéral-démocrate (PLD, droite).
Fort de ce soutien populaire à son programme de réformes, le Premier ministre avait aussitôt remis le projet de privatisation de la Poste au menu de la session parlementaire.
Nombre de députés du PLD qui s'étaient rebellés en juillet se sont ralliés mardi à M. Koizumi et ont voté en faveur de la privatisation.
Selon toute vraisemblance, il en sera de même au Sénat, où la coalition gouvernementale dispose d'une majorité moindre.
"Etant donné qu'une majorité d'anciens opposants à la réforme postale ont déjà fait part de leur intention de changer de position, il est certain que les projets de loi seront adoptés par la Chambre haute", a estimé l'économiste Yasuhide Yajima, de l'institut de recherche NIL.
Selon le Premier ministre, cette réforme doit permettre de réorienter vers le secteur productif les quelque 355.000 milliards de yens (2.640 milliards d'euros) d'épargne et d'assurance vie gérés par une bureaucratie postale pléthorique.
Au delà de la privatisation de la Poste, M. Koizumi souhaite procéder à davantage de "réformes structurelles".
Il a notamment l'intention de redistribuer les impôts vers les collectivités locales et de réduire les prêts du gouvernement central, tout en sabrant les coûts de personnel du secteur public.
M. Koizumi, qui détient le record de longévité à la tête d'un gouvernement nippon depuis Yasuhiro Nakasone (1982-87), doit procéder à un très attendu remaniement ministériel le 2 novembre à l'issue de la session parlementaire.
Depuis les élections, il caracole dans les sondages, avec des taux de popularité record.
Certains des clans les plus connus se réclamaient jadis de la bannière surmontée d'un soleil, dont on retrouve men tion dans des chroniques rédigées il y a environ 600 ans. Lors de la levée, après la visite de l'escadre du Commandant Perry en 1853-1854, de l'interdiction de construire des navires de gros tonnage, il fallut songer à identifier les navires de commerce japonais. C'est Lord Nariakira Shimazu, chef du puissant clan Satsuma, dans le Sud du Japon, qui proposa d'adopter l'actuel drapeau du Japon comme pavillon national.
Par une proclamation officielle qui date de 1870, la forme et les dimensions standard du drapeau national ont été fixées à un rectangle aux proportions de 10 pour la longueur et 7 pour la largeur. Le soleil doit avoir un diamètre égal aux trois cinquièmes de la largeur et son centre doit être rapproché de la hampe à une distance à un centième de la longueur.
C'est lors du voyage aux Etats-Unis, en 1860, de la première délégation diplomatique que le Japon ait jamais envoyée à l'étranger, que la bannière revêtue du soleil fit pour la première fois son apparition comme emblème national. A cette occasion, la marine américaine mit un croiseur, le Powhattan, à la disposition du Shogunat. Le croiseur arbora le pavillon américain à la poupe et le pavillon Japonais à l'avant.
Le Hi-no-Maru, la bannière au soleil, parut pour la première fois lors d'une cérémonie nationale en 1872, à l'occasion de l'inauguration du premier chemin de fer par l'Empereur Meiji.
C'est clair que l'auteur joue avec la signification du Hi no Maru quand on voit le drapeau japonais moderne sur la salopette du personnage principal ....
Peut-être que cette appellation désigne le drapeau japonais en général et pas forcément celui d'avant guerre ....
Aha ! Voilà qui ne manquera pas d'intéresser Damien :p: !
http://www.orient-extreme.net/index.php?menu=asianation&sub=articles&article=11
St. Matt
Tres interessant cet article. Mais ce n'est pas tant celui-ci, que l'article sur Roppongi, qui provoque mon admiration... L'auteur a merveilleusement bien rendu les sensations que procure ce lieu de perdition.
Les auteurs de ce site ont du talent, et savent rendre la realite sous son cote le plus interessant... Snif, j'aimerais bien pouvoir ecrire comme cela! smile
Si tu as d'autres liens de cette qualite, concernant le Japon, n'hesites pas a me les envoyer ^^
EDIT: Je vous conseille la lecture de l'article "Lost in Tokyo 3 - Roppongi". J'adore la phrase, O combien vraie, de l'auteur: "Je ne suis pas au Japon"
Très intéressant et instructif cet article .... j'ai hâte que l'auteur en écrive la suite et la fin ....
Je trouvais ce site très intéressant pour différents domaines sur le cinéma. Me voila bien ennuyé et avec un sentiment de trahison concernant un article. Je viens de lire l’article sur Le nationaliste japonais. J’ai rarement vu une chose aussi mal écrite et avec une telle volonté de définir le Japon comme une nation nationaliste extrémiste depuis la fin du 19ème siècle. Le débat sur ce sujet est intéressant et il y a effectivement des raisons de discuter du nationaliste au Japon. À force de vouloir mieux démontrer son idée à tout prix, l’auteur en oublie encore une fois de jeter un œil sur des références et écrit son texte au mépris de l’histoire japonaise qu’il n’hésite pas à réviser comme ça lui plaît. Ne dit-on pas que le mieux est l’ennemi du bien ? Je me contenterais de rependre quelque arguments qui se veulent historiques.
Citation:
1867 : Fin de l'ère Edo. Un Japon encore médiéval. Je voulais les voir naître, eux, les plus grands défenseurs de l'Empereur.
Erreur typique. Le Japon à connu une l’époque moderne que l’on fait communément apparaître avec la mise en place du shogunat des Tokugawa. Même le Que sais-je sur l’histoire du Japon semble éclairer ses lecteurs sur ce point. Quant aux « grands défenseurs de l’Empereur », il ne faut pas exagérer. Il s’agit surtout pour les seigneurs rebelles, qui ont beaucoup de pragmatisme politique, de justifier leur volonté de prendre le pouvoir au dépend du shogun en place. Il s’agit là d’une méthode presque classique dans l’histoire japonaise. La lecture du tome 1 de Histoire du Japon et des Japonais, de Edwin O. Reischauer pourrait éclairer le rédacteur de l’article sur ce point.
Citation:
Civilisation millénaire, le Japon ne connaît de réelle unité nationale qu'avec l'ère Meiji (1868-1912).
Cette idée est très loin de faire l’unanimité pour de nombreux historiens. À la limite, on peut dire que le pays s’est transformé en État Nation à l’européenne. Néanmoins, des longues discussions seraient nécessaires pour débattre de la portée de l’idée de nation dans les provinces et dans les campagnes. Un article intéressant : « Les rituels politiques du Japon moderne. Tournée impériales et stratégies du regard dans le Japon de Meiji » de Yoshimi Shun’ya in Annales n°2 de mars avril 1995.
Citation:
L'empereur reprend le pouvoir et dissout le shôgunat qui divisait le Japon et fermait l'archipel au monde extérieur.
Je me demande toujours comment un enfant d’une dizaine d’année, sans aucune armée et sans aucun pouvoir politique peut, à lui seul, changer le cours de l’histoire de tout un pays de par sa seule volonté, qu’il n’a même pas au demeurant. Quant à la division du Japon par le shogounat, j’avoue que je serais très intéressé de connaître cette idée. La fermeture du pays ne prend évidement pas en compte les études des livres étrangers ou « Rangaku » (dont je laisse le soin à martinfff66 de développer au regard de ses grandes connaissances sur le sujet), la présence des instructeurs militaires français au Japon dès 1867 ou la création d’un arsenal naval, par d’autres Français dès 1865. Plusieurs références. Dutch learning (rangaku) in Japan A reponse Pattern to the Foreign Impact » de Numata Jirô in Acta Asiatica n°22 de 1972 (un peu ancien certes, mais encore très intéressant et comprenant d’autres articles sur le même thème) mais aussi Quand les Français armaient le Japon. La création de l’arsenal de Yokosuka 1865-1882. Élisabeth de Touchet. P.U.R.
Citation:
Et dès 1870, le shintoïsme redevient religion d'Etat après la forte influence du bouddhisme du temps des shôguns.
Voila un argument historique tronqué, volontairement ou non, et qui induit le lecteur en erreur. Tout d’abord, le Bureau des Cultes est institué en 1869 et non en 1870. Il est confié en effet à des adeptes de l’idée dite de Sonnô Jôi (voir un autre post de discussion au sein de ce forum pour en avoir quelques informations) qui vont essayer d’imposer le culte Shintô comme religion d’État au dépend du bouddhisme. Il y a eu des fermetures de temples ou des restaurations de temple shintô pour imposer cette idée, surtout dans les campagnes. Néanmoins, de nombreuses révoltes et des importantes résistances du monde paysan qui ne voulaient garder LEUR tradition effacèrent totalement le but du Bureau des Cultes. De plus, les idées, parfois extrémistes du personnel de ce bureau se mélangeait mal avec l’idée moderniser le Japon avec l’aide des techniques venues de l’extérieur. Pour ces différentes raisons, le bureau perdit un grand nombre de ses pouvoirs dès 1871 avant d’être supprimé dès 1876. En 1881 le Shintô sera défini comme un culte civique et les prêtres seront des fonctionnaires nommés par le gouvernement. Il ne s’agit plus de culte à véritablement parler. D’ailleurs, dès 1873, le christianisme est de nouveau autorisé au Japon. Deux ouvrages : La fin du Shôgunat et le Japon de Meiji 1853-1912 de J. Mutel et Meiji 1868 de P. Akamatsu.
Il y a des phrases qui font mal et qui en disent beaucoup sur la personne qui l’écrit :
Citation:
« Maman, où t'as mis mes chemises noires ? » « Sans vouloir sombrer dans la facilité, des notions « d'espace vital », des concepts similaires à « Ein Reich, ein Volk, ein Führer » ne risquaient ils pas de naître dans le sillage du shinto impérial » « Le shinto impérial, grâce à la restauration Meiji, ouvrait la voie à une vision mystique de la race japonaise »
Le reste du texte est du même cru. Il y a simplement de graves manipulations de l’histoire japonaise pour justifier des idées ridicules. Libre à chacun de croire et d’avoir la liberté d’affirmer ce qu’il souhaite, reste à avoir au moins l’honnêteté de dire qu’on se fiche de l’histoire et non d’essayer de la torturer ainsi.
Il devient alors légitime de se demandes désormais si les autres rédacteurs de ce site ont les mêmes idées et s’ils produisent les mêmes types articles sur leur site.
Avec beaucoup de déception,
Encore un séisme au niveau de Tokyo... ça fait pas un peu beaucoup ces derniers temps ? :peur:
Par contre il nsemblerait que cette décision ait été prise il y a plus d'un an.... :unsure:
Peut-être les prémisses du "BIG-ONE"? :sweatdrop:
Un faux article en ligne annonce une invasion du Japon par les Chinois
TOKYO, 19 oct 2005 (AFP) - - Un faux article posté sur un pastiche du portail internet d'actualités en japonais Yahoo News a annoncé mercredi une invasion du sud du Japon par des troupes chinoises, un canular qui coïncide avec une grave crise diplomatique entre Pékin et Tokyo.
L'article en question, faussement attribué à l'agence de presse nippone Kyodo, faisait état de l'annonce par le département américain de la Défense d'une "invasion" chinoise de l'archipel japonais d'Okinawa, qui abrite la principale base militaire américaine au Japon.
"Les troupes américaines alliées aux Forces d'autodéfense japonaises (FAD, armée) sont en train d'échanger des tirs (avec les Chinois) au-dessus d'Okinawa", pouvait-on lire sur le faux site d'actualités Yahoo.
Kyodo et Yahoo Japon (appartenant au groupe Softbank) ont immédiatement démenti l'information.
Les deux sociétés envisagent de porter l'affaire en justice, même si l'auteur du canular reste inconnu pour le moment.
Selon cet article fictif, la bataille avait éclaté après le mitraillage par les Chinois d'un avion de patrouille japonais survolant un gisement gazier que les deux pays voisins se disputent en mer de Chine orientale.
Des négociations sont en cours pour tenter de régler ce contentieux portant sur une zone qui abriterait 200 milliards de mètres cubes de gaz naturel.
Cet incident, révélateur, surgit en plein regain des tensions sino-japonaises après la nouvelle visite du Premier ministre de droite Junichiro Koizumi lundi au sanctuaire du Yasukuni, symbole spirituel du nationalisme nippon.
sps-kap/agr/php
Peut être, surtout avec ce genre de conneries :
http://fr.news.yahoo.com/19102005/202/un-faux-article-en-ligne-annonce-une-invasion-du-japon.html
Le 3 novembre est un jour férié au Japon. Il s'agit de 文化の日 (BunKa no Hi) "le jour de la culture". Il fut instauré en 1948, en commémoration de la déclaration en 1946 de la nouvelle 日本国憲法 (Nihon Koku KenPô) "Constitution Nationale du Japon". Le 文化の日 (BunKa no Hi) "jour de la culture" célèbre 自由 (JiYû) "la liberté", 平和 (HeiWa) "la paix" et l'avancement de la civilisation. Avant la guerre, on fêtait l'anniversaire de 明治天皇 (MeiJi TenNô) "l'empereur de l'ère Meiji 1868-1912"
C'est également l'occasion de remettre les 文化勲章 (BunKa KunShô) "décorations de l'Ordre de la Culture". Cette cérémonie, instaurée en 1937, a lieu au palais de l'empereur. Il existe bien sûr d'autres décorations comme par exemple l'équivalent japonais de notre "légion d'honneur", 金し勲章 (KinShi KunShô) "décoration du milan d'or". Cependant, elle n'est plus décernée depuis 1947. Ceci en raison de la 日本国憲法 (NiHon Koku KenPô) "Constitution Nationale du Japon" d'après-guerre qui condamne toute action militaire.
Megara va pouvoir se cultiver un peu plus en ce jour :mrgreen:
Les Japonais s'en foutent en fait.
:harhar:
Ah ça je ne suis on ne peut plus d'accord. Mais les Japonais ont un sens particulier des relations internationales qui fait qu'on a souvent l'impression que c'est du n'importe quoi. Le Japon profite aussi de quelques statistiques économiques récentes plutôt très bonnes, montrant que le futur de la région ne se fera pas sans le Japon. Une certaine façon de botter les chinois en touche: le Japon est toujours 4 fois plus riche que la Chine. Et la croissance semble bien repartie sur des bases solides. Koizumi surfe sur une nouvelle vague en fait.
Une nouvelle crise diplomatique avec la Chine est-elle en vue depuis la visite de Jun.ichiro au Sanctuaire maudit ?
D's©
en parlant des relations de haino fraternelles chino japonaises, je me rapelle d'un article paru sur Yahoo, sur la maniere dont les Japonais ont commemoré le xeme anniversaire du de la chine via le japon, c'etait tres special.
Ils ont loué un hotel en chine dans la ville en question, ils ont "invités" des prostituees et ils ont fait une partouze monumentale....
:peur: :peur:
Pfff l'était temps dis donc !... mieux vaut tard que jamais ? Bel exemple pour les paraisaito shinguru :P(http://fr.news.yahoo.com/14112005/202/la-princesse-sayako-se-marie.html)
D's©
TOKYO, 13 novembre - Andrei Fessioun, RIA 6 Novosti. L'existence du problème territorial n'empêche pas de développer les rapports bilatéraux russo-japonais, a déclaré le premier ministre japonais Junichiro Koizumi dans une interview au programme Vesti nedeli (Nouvelles de la semaine) de la chaîne de télévision Rossia en prévision de la visite officielle du président russe Vladimir Poutine à Tokyo qui aura lieu du 20 au 22 novembre.
...
...
...
Le Japon considère le règlement du problème territorial par la restitution des îles susmentionnées comme le préalable à la conclusion du traité de paix avec la Russie. Le 27 septembre, en répondant aux questions des citoyens russes au cours d'une émission télévisée retransmise en directe, le président Vladimir Poutine a rappelé que les Kouriles se trouvaient sous souveraineté de la Russie, ce qui est confirmé par les accords internationaux. "Cependant, en faisant preuve de bonne volonté, nous trouverons toujours des variantes qui arrangeraient les deux parties", a déclaré le président russe.
les silver
Tu peux développer ? merci :)Citation les silver
D's©
Girls' basketball team members claim coach forced them to run naked
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Saturday, November 12, 2005 at 07:41 JST
[Prefectural officials apologize in Matsuyama Friday.]
(http://www.japantoday.com/dbfiles/news/4E41.jpg)
Prefectural officials apologize in Matsuyama Friday.
MATSUYAMA — Eight girls claim their former junior basketball team coach made them run naked as part of punishments during training inside a school gymnasium in Shikokuchuo, Ehime Prefecture, city and prefectural officials said Friday.
The 49-year-old former coach, who is an official at the municipal government, forced the students, aged 10 to 12, to run naked on three occasions during the summer vacation and after school in August and September, the officials said.
TOKYO (Reuters) - Un séisme d'une magnitude de 6,9 sur l'échelle de Richter a été détecté dans l'océan Pacifique au large du Japon, où un bulletin d'alerte au tsunami a été déclenché même si peu de dégâts sont attendus.
L'Agence météorologique du Japon a déclaré que le tremblement de terre avait été mesuré à 3 sur une échelle japonaise de 7, ce qui pourrait causer un raz de marée de 50 cm.
Ca doit pas être évident de dormir au japon. :sweatdrop:
TOKYO (AP) - Un puissant séisme a ébranlé le nord du Japon tôt mardi matin, et plusieurs petites vagues consécutives à la secousse ont atteint plusieurs villes du nord-est du pays mais aucun dégât n'était signalé dans l'immédiat.
L'alerte au tsunami lancée après la secousse par l'agence météorologique japonaise a été levée deux heures plus tard.
L'épicentre du tremblement de terre d'une magnitude de 7,2, qui s'est produit à 6h39 (21h39 GMT), était situé au large de la côte est de l'île de Honshu, selon le Centre de surveillance géologique américain. L'agence météorologique japonaise a annoncé pour sa part une magnitude de 6,9.
Une vague de 30 centimètres a atteint la ville d'Ofunato, sur la côte de la province d'Iwate, à environ 400km au nord de Tokyo, à 7h26 locales (22h26GMT), selon l'agence météorologique japonaise. Une vague de 50 centimètres est arrivée neuf minutes plus tard.
D'autres vagues ont touché au mois quatre autres villes côtières des provinces d'Iwate, Aomori et Miyagi.
Le gouvernement a ordonné l'évacuation de 400 habitations le long de la côte d'Iwate, selon la télévision publique NHK. Les autorités locales ont également ordonné le départ au large des bateaux de pêche pour éviter qu'ils soient balayés à quai par un éventuel tsunami.
Le service ferroviaire entre Tokyo et le nord-est du Japon a été temporairement suspendu pour des vérifications, mais aucun dégât n'était signalé, selon NHK. AP
Je sors en pyjama de ma chambre, surpris. Tout le monde dors. Bon.
Un peu comme la pluie qui battait jadis mon vélux sans me déranger dans mon sommeil...Citation Je sors en pyjama de ma chambre, surpris. Tout le monde dors. Bon.
Ta carte m'inquiète beaucoup sur toutes ces micro-catastrophes :peur:
D's©
Certes mais en ce moment, les secousses à répétitions sont de moins en moins espacées les une des autres.
D's©
Je change légèrement de sujet. :D
Megara : Que disent les japonais par rapport au fait que la princesse se marie avec un roturier ?
Tres franchement, ca n’a pas l’air de les deranger outre mesure, que la princesse se soit mariee avec un roturier. Mais il faut dire que le Prince heritier avait montre la voix en epousant une roturiere il y a une bonne dizaine d’annees deja.Citation de Matsya le 15 Novembre 2005 à 22:17 Je change légèrement de sujet. :D
Megara : Que disent les japonais par rapport au fait que la princesse se marie avec un roturier ?
Sinon, les quelques reportages que j’ai vus montrent que les Japonais trouvent le couple sympathique, d’autant plus que ce n’est pas un mariage arrange.
Mais l’evenement est loin d’avoir pris l’ampleur mediatique qu’avait eu la naissance de la petite heritiere ou la deprime de Masako.
C'est bien ce qu'il me semblait, je trouve cela d'ailleurs assez étonnant.
Ils seraient pas en train de s'américaniser les japonais ?? http://fr.news.yahoo.com/17112005/202/coupe-de-cheveux-ratee-au-japon-1-700-euros-de.html
Vu au JT de TF1 ce midi, des japonaises qui se baignaient dans une pisicne remplie de beaujolais :sweatdrop:
Il parait que cette annee, il a un gout de "banane"... Humf... Pour moi, cela reste du "pinard" de table...
J'ai bu un verre à midi mais il était tellement frais que l'on ne pouvait rien sentir. On a déjà eu banane (avec une pointe de cherry) il y a deux ans. POur moi, cela reste surtout du banga alcoolisé.Citation Il parait que cette annee, il a un gout de "banane"... Humf... Pour moi, cela reste du "pinard" de table...
Comment les Japonais voit ce vin ? Un grand cru ou juste un moyen de faire la faite ?
D's©
faire la faite ?
D's©
Plusieurs grands immeubles de Tokyo, dont un hôtel et des résidences, risquent de s'écrouler en cas de tremblement de terre même modéré car les données sur leur résistance parasismique ont été falsifiées pour réduire les coûts de construction, a annoncé lundi le gouvernement nippon.
Une enquête du ministère de la Construction, des Transports et de l'Aménagement du territoire a mis en cause 16 bâtiments (sur 21 étudiés), dont les caractéristiques parasismiques ont été enjolivées par rapport à la réalité dans les rapports rédigés par l'architecte des lieux, Hidetsugu Aneha.
Ce dernier a sciemment équipé ses immeubles de systèmes antisismiques moins efficaces que la norme, dans le but de réduire les coûts de construction, les systèmes antisismiques efficaces étant particulièrement onéreux.
Certains des bâtiments en cause pourraient sombrer sous les assauts d'une secousse tellurique de degré "5+" sur l'échelle sismique japonaise qui en compte dix. A ce niveau d'intensité, qui n'est pas exceptionnel à Tokyo, les objets bougent et tombent, mais les humains peuvent encore tenir debout et les constructions aux normes parasismiques résistent.
Le ministère a décidé d'engager des poursuites pénales contre l'architecte pour violation des normes de construction, qui incluent des obligations pour minimiser les dégâts et pertes humaines lors des tremblements de terre et typhons.
Depuis le séisme de Kobé en 1995 qui a fait plus de 6.400 morts et endommagé 250.000 immeubles, les Nippons ont déployé des trésors de technologie pour ériger des constructions parasismiques, mais leur coût est encore très élevé.
L'archipel, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit des milliers de tremblement de terre chaque année, totalisant plus de 20% des secousses les plus violentes enregistrées dans le monde.
La ville de Tokyo est à tout moment susceptible d'être touchée par une secousse tellurique de forte magnitude qui, le cas échéant, pourrait faire jusqu'à environ 13.000 morts, selon de récentes études gouvernementales.
Tiens Meg, ainsi que les voyageurs au Japon, vos parents ne vous ont jamais harcele a propos des tremblements de terre? A chaque secousse, je recevais des mails paniques de ma famille, et je n'en ai jamais ressenti une seule en un an (je me fiche tellement des seismes que mon cerveau les ignore meme quand ils sont manifestes. Trop optimiste?) :mdr:
Sinon, oui j'ai vecu un an au Japon, boursier du gouvernement, pendant la meme duree que Tinou (qui a bisse pour quelques mois). Je vais revenir l'an prochain, pour au moins 18 mois, voire plus (genre 3 ans, ce serait bien), selon la bourse que je vais decrocher.
Je peux exhumer mes plus belles photos alors!!!
Megara, oui, en fait je pensais a l'institu franco-japonais...Desole.
Pour les photos d'Akiba et la visite guidee, je me proclame specialiste en la matiere. J'ai fait fonctionner l'industrie du jeu video pendant une annee complete a moi tout seul!!! :sweatdrop:
Harajuku, tu n'as pas le droit de prendre trop de photos des magasins... Pourtant, il y a des devantures... dantesques! Sans parler des produits vendus.
J'ai fait fonctionner l'industrie du jeu video pendant une annee complete a moi tout seul!!!
Les gothiques les plus decadents de la capitale n'en voudraient pas pour aller faire les poubelles.
Ils sont dangereux les japonais qui jouent à la Bourse : http://www.pcinpact.com/actu/news/Saisie_informatique_la_bourde_du_siecle_.htm :mdr:
edit : http://fr.news.yahoo.com/12122005/202/japon-la-bourde-d-un-operateur-coute-280-millions-d.html
Mizuho n'en est effectivement pas a sa premiere casserole. Ils savent faire les choses en grand! :worthy:
Ils aiment bien les excuses, les Japonais... :PCitation de Kamen le 14 Décembre 2005 à 13:14 Mizuho n'en est effectivement pas a sa premiere casserole. Ils savent faire les choses en grand! :worthy:
Y'a t-il du licenciement ou de la mise au placard dans l'air ?
Heureusement pour eux que ça ne se soit pas passer aux USA, j'ose même pas imaginer le montant des dommages-intérêts demandés... :rolleyes:
Après les hamburgers à la viande de baleine, voici les "nikuman" à la viande de baleine. J'imagine que ça va encore faire du bruit dans les médias occidentaux... Confused
Je sens que je vais aller faire un petit tour à Kushiro cette fois, moi... Very Happy
Brioches à la viande de baleine "Kushiroman kujira-manjû". (Photo=Hokkaidô Shinbun)
Une société spécialisée dans les produits de la mer met en vente des brioches chinoises à la viande de baleine
La société Komachien spécialisée dans la fabrication et distribution de produits de la mer a commencé le 15 décembre la vente de brioches chinoises (niku-manjû) fourrée à la viande de baleine sous l'appellation "Kushiroman kujira-manjû". "Je n'ai jamais entendu parlé de brioches chinoises à la baleine", déclare un représentant de la société, alors que l'usage de viande de baleine se répand dans la ville de Kushiro (Hokkaidô).
La viande de baleine provient des campagnes de chasse scientifique conduites notamment au large de Kushiro.
Elle est préparée à la chinoise grâce à du miso sucré, des oignons et des champignons shiitake. L'odeur particulière de la viande de baleine a été effacée, tout en conservant sa saveur.
Ces brioches ayant connu un grand succès lors de la foire des produits de Hokkaidô qui s'est tenue à Fukuoka au début du mois et où elles étaient présentées à l'essai, au point qu'il s'en est vendu 5000 en quatre jours, la société Komachien a décidé d'en commencer la vente. Celle-ci est limitée au magasin "Washô ichiba" situé en face de la gare de Kushiro.
Les brioches (150 grammes l'unité) sont vendues congelées par sachets de trois au prix de 840 Yen. Elles se préparent à la vapeur ou au micro-onde.
TOKYO (Reuters) - La population japonaise va commencer à décliner dès cette année, le solde entre les décès et les naissances devenant négatif deux ans plus tôt que prévu par les démographes, rapporte le quotidien Yomiuri.
Il y a eu au premier semestre 31.000 décès de plus que de naissances et la tendance ne s'est pas inversée depuis, précise le journal.
Le ministère de la santé s'est refusé à tout commentaire, indiquant simplement que les statistiques étaient toujours en cours d'élaboration.
L'Institut national de la démographie avait prédit un solde négatif pour 2007. Le gouvernement a averti que la population du Japon risquait d'être diminuée de moitié en moins d'un siècle si rien n'était fait pour modifier la situation actuelle.
Bon, cela pend au nez du pays depuis un certain temps
Les jeunes l'ont compris : pas d'enfants = pas de sous à dépenser pour eux = partir de chez papa-maman ! = fin du shopping = diminution du pouvoir d'achat = pas :w00t2: du tout.Citation Bon, cela pend au nez du pays depuis un certain temps
D's©
L'épopée patriotique du "Yamato", légendaire cuirassé géant coulé en avril 1945 lors d'une mission suicide contre la flotte américaine, a battu la nouvelle version de "King Kong" de Peter Jackson ce week-end au Japon, selon les chiffres du box-office publiés mardi.
Ces deux films à grand spectacle étaient les principales sorties de samedi dernier au Japon.
"Yamato: la dernière bataille", qui a fait 350.000 entrées pour 300 millions de yens (2,15 millions d'euros), n'a toutefois pas réussi à décrocher la première place, qui est revenue au dernier Harry Potter (462.000 entrées sur le week-end) sorti depuis le 26 novembre au Japon.
"King Kong", le sixième film le plus cher de l'histoire d'Hollywood avec un budget de 175 millions d'euros, arrive en troisième position seulement.
Avec un budget de 2,5 milliards de yens (18,5 millions d'euros), le "Yamato" est le film de guerre japonais le plus cher jamais tourné.
Son producteur, Haruki Kadokawa, qui a mis de l'argent de sa poche dans ce projet, a promis à son partenaire et distributeur Toei de faire "au moins dix millions d'entrées" au Japon.
M. Kadokawa, qui vise un public jeune, souhaite montrer le "Yamato" à l'étranger car son ambition avec cette superproduction est "d'ouvrir un nouveau chapitre dans l'histoire de l'industrie cinématographique japonaise".
Sorte de "Titanic" à la mode samouraï, ce film est un hommage aux jeunes marins du "Yamato" qui par leur sacrifice ont, selon M. Kadokawa, permis après la guerre la renaissance de l'Archipel, devenu démocratie et géant économique.
Emblématique des années Koizumi, la sortie du "Yamato" a pour toile de fond une crise aiguë avec la Chine, à cause d'un passé qui divise, et l'affirmation de soi --d'aucuns parlent de néo-nationalisme-- d'un Japon las de se repentir.
Par ailleurs, "Mémoires d'une Geisha", la superproduction hollywoodienne adaptée du best-seller américain d'Arthur Golden, continue son plongeon pour la deuxième semaine.
Co-produit par Steven Spielberg, ce film de l'Américain Rob Marshall, sorti sur les écrans nippons sous le nom de "Sayuri" (le prénom de l'héroïne), se traîne à la septième place.
Citation:
Kotooshu, le lutteur européen le plus gradé de l'histoire du sumo, a confié mardi que ce sport nippon par excellence l'avait sauvé du marasme auprès de la gente féminine.
Interrogé sur ses succès antérieurs par les journalistes nippon, le lutteur bulgare, aujourd'hui extrêmement populaire a répondu: "je n'avais aucun succès" auprès des filles.
Les séances d'entraînement de l'écurie "Sadogatake" où Kotooshu s'entraîne au nord de Tokyo sont pleines jusqu'à la fin janvier.
"Nous avons énormément de demandes de la part de jeunes femmes. A en juger par leur voix, nombre d'entre elles doivent être âgées d'une vingtaine d'années", a déclaré un porte-parole de l'écurie.
Agé de 22 ans, Kotooshu, dont le vrai nom est Mahlyanov Kaloyan Stefanov, est entré dans l'histoire en novembre en devenant le premier Européen à être promu "Ozeki", le second grade le plus élevé de ce sport nippon.
Il est devenu le Bulgare le plus célèbre au Japon --"la plus belle exportation bulgare de tous les temps après le yaourt", a ironisé le quotidien Yomiuri.
Egalement surnommé le "David Beckham" du sumo, sa plastique détonne dans le milieu. Chevelure châtain, visage poupin et sourire charmeur, il est plus svelte et grand (2,04 m pour 145 kilos) que celle de la majorité des lutteurs, corpulents et courts sur jambe.
"Je suis un gars ordinaire", a poursuivi Kotooshu attribuant sa popularité à son sourire.
La rapidité de l'ascension de Kotooshu, après seulement trois ans de carrière au Japon, est sans précédent dans le sumo depuis 1958.
http://fr.news.yahoo.com/22122005/202/intemperies-au-japon-plus-d-un-million-de-personnes-privees.html
:/
Source AFPCitation Citation:
Kotooshu, le lutteur européen le plus gradé de l'histoire du sumo, a confié mardi que ce sport nippon par excellence l'avait sauvé du marasme auprès de la gente féminine.
Interrogé sur ses succès antérieurs par les journalistes nippon, le lutteur bulgare, aujourd'hui extrêmement populaire a répondu: "je n'avais aucun succès" auprès des filles.
Les séances d'entraînement de l'écurie "Sadogatake" où Kotooshu s'entraîne au nord de Tokyo sont pleines jusqu'à la fin janvier.
"Nous avons énormément de demandes de la part de jeunes femmes. A en juger par leur voix, nombre d'entre elles doivent être âgées d'une vingtaine d'années", a déclaré un porte-parole de l'écurie.
Agé de 22 ans, Kotooshu, dont le vrai nom est Mahlyanov Kaloyan Stefanov, est entré dans l'histoire en novembre en devenant le premier Européen à être promu "Ozeki", le second grade le plus élevé de ce sport nippon.
Il est devenu le Bulgare le plus célèbre au Japon --"la plus belle exportation bulgare de tous les temps après le yaourt", a ironisé le quotidien Yomiuri.
Egalement surnommé le "David Beckham" du sumo, sa plastique détonne dans le milieu. Chevelure châtain, visage poupin et sourire charmeur, il est plus svelte et grand (2,04 m pour 145 kilos) que celle de la majorité des lutteurs, corpulents et courts sur jambe.
"Je suis un gars ordinaire", a poursuivi Kotooshu attribuant sa popularité à son sourire.
La rapidité de l'ascension de Kotooshu, après seulement trois ans de carrière au Japon, est sans précédent dans le sumo depuis 1958.
Enorme non? Si ça fait un tabac auprès des filles, on va voir un nombre grandissant d'européens desespérés entre Opéra et Pyramides se lancer dans ce sport... :harhar:
*....... :rougit:ON/
Bizour! :D
Quelqu'un ici présent se trouveras-t-il au Japon en Mars?
(plus précisemment le 11) :unsure:
*....... :rougit:OFF/
C'est normal que je n'ai pas de son ? :mouais:
Non :mdr:Citation de Matsya le 29 Décembre 2005 à 13:46 C'est normal que je n'ai pas de son ? :mouais:
(et c'est bien dommage :harhar: )
A un moments ils prononcent des mots chacun son tour, c'est là que j'ai pas tout compris
Megara sera probablement la seule personne... sauf si tinou trouve chausse professionnelle à son pied... et Kamen une bonne occasion d'arpenter les couloirs lugubres d'Ikebukuro :P
TOKYO (AFP) - La méga-banque de détail japonaise Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ, la plus grande du monde, a officiellement ouvert ses guichets au public mercredi, trois mois après la fusion de leurs deux sociétés holdings afin de parfaire la convergence de leurs systèmes informatiques.
La fusion de Tokyo Mitsubishi Financial Group et UFJ Holdings a officiellement eu lieu le 1er octobre 2005, donnant naissance au premier groupe financier mondial en termes d'actifs, Mistsubishi UFJ Financial Group (MUFG).
Toutefois, le rapprochement de leurs banques de détail respectives, Bank of Tokyo-Mitsubishi (Munich: 857124 - actualité) et UFJ Bank, a été différé de trois mois pour éviter les bugs informatiques.
Officiellement née le 1er janvier, la nouvelle enseigne bancaire (Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ) n'a ouvert ses guichets au public que mercredi, en raison des fêtes du Nouvel an.
Le secteur bancaire nippon, qui était défait et plombé par des créances douteuses après l'éclatement de la bulle spéculative immobilière au début des années 1990, est désormais quasiment assaini.
Megara, dans sa grande pudeur toute feminine, et qui fait que nous l'adorons tous,
oublie de preciser que le "Seijin no Hi" est une des journees record en saoulographie.
La rubrique faits divers est normalement bien remplie, et a la television, je me souviens qu'ils diffusaient les images d'une jeunesse peu reluisante, lors d'une ceremonie, qui insultait copieusement le responsable a grands coups de はげ!(chauve) バカヤロウ!(con) et autres くそじじ! (un truc du genre vieux croulant/vieux debris/vieux fossile/vieux crouton : rayez les mentions inutiles). Autant que je m'en souvienne, un jour formidable... :hypocrite:
Megara, dans sa grande pudeur toute feminine, et qui fait que nous l'adorons tous, oublie de preciser que le "Seijin no Hi" est une des journees record en saoulographie. En effet, tous ces petits jeunes de 20 ans ont officiellement le droit de se biturer (ils ont officiellement le droit de faire d'autres choses, comme fumer ou... Mais je n'ai rien constate personnellement de ce point de vue, donc je jette un voile pudique la-dessus), chose dont ils ne se privaient pas des le berceau bien entendu, mais recevant l'aval de la societe, ils en profitent pour pimenter la journee a grand coup de beuveries navrantes, de gens affales dans les rues, de beuglements de poivrots et autres joyeusetes ethyliques. La rubrique faits divers est normalement bien remplie, et a la television, je me souviens qu'ils diffusaient les images d'une jeunesse peu reluisante, lors d'une ceremonie, qui insultait copieusement le responsable a grands coups de はげ!(chauve) バカヤロウ!(con) et autres くそじじ! (un truc du genre vieux croulant/vieux debris/vieux fossile/vieux crouton : rayez les mentions inutiles). Autant que je m'en souvienne, un jour formidable... :hypocrite:
Mais ça ressemble à chez moi ça !
Mais ça ressemble à chez moi ça ! :mdr:
Nouvel incident impliquant un marin américain au Japon
Agence France-Presse
TOKYO
Un marin américain de 26 ans a été arrêté samedi pour avoir pris la fuite après avoir renversé en automobile une jeune Japonaise à Sasebo, base navale américaine proche de Nagasaki (sud du Japon), rapporte dimanche la presse locale, citant la police.
La victime, âgée de 21 ans, a été légèrement blessée à une jambe. Le marin, servant sur la péniche amphibie Essex, est passé aux aveux, selon la police nippone.
L'incident survient juste après l'arrestation par la police japonaise d'un autre jeune marin américain, accusé du meurtre d'une Japonaise de 56 ans à Yokosuka, grande base de l'US Navy près de Tokyo.
Et tu habites ou??? :PCitation Mais ça ressemble à chez moi ça !
je m'étonne de constater que megara evite soigneusement de parler de la neige au Japon : pourtant y en a un paquet !
Ouais, enfin ca c'est le lot annuel de tout le nord du Japon chaque année...
es nuages de precipitations, venues de Chine, qui se deversent alors la ou ils puevent.
Jiheitai
?Citation de Megara le 12 Janvier 2006 à 12:46 Jiheitai
TOKYO (AFP) - Un clochard japonais de 74 ans qui avait mis le feu à une gare au début du mois a expliqué avoir agi afin de passer au chaud en prison un hiver particulièrement rigoureux dans l'Archipel, a rapporté l'agence de presse Jiji.
L'incendie du 7 janvier n'a fait aucune victime. Mais il a détruit le bâtiment en bois de la gare de Shimonoseki (sud-ouest) ainsi qu'un hangar préfabriqué, des restaurants et un dortoir pour cheminots sur près de 4.000 m2. Le clochard, Kyuemon Fukuda, avait été libéré de prison huit jours plus tôt après avoir purgé une peine pour incendie volontaire. "Je voulais retourner en prison car je n'ai nulle part où aller et il fait froid", a-t-il expliqué à son avocat, selon Jiji. La gare de Shimonoseki, bâtie en 1942 et de style classique, accueille chaque jour 24.000 usagers. L'incendie a entraîné l'annulation de 390 trains pendant trois jours.
Toutes mes excuses, j'ai oublie d'expliquer
Et surtout elles avaient refusé l'aide internationale... :thumbdown2:
TOKYO, 17 jan 2006 (AFP) - - Le jeune patron du portail internet japonais Livedoor, Takafumi Horié, a reconnu mardi que sa société faisait l'objet d'une enquête pour délit boursier, au lendemain d'une série de retentissantes perquisitions à son domicile et dans les bureaux du groupe à Tokyo.
Selon les médias japonais, Livedoor, un des portails internet les plus populaires du Japon, est soupçonné d'avoir manipulé des cours de Bourse en répandant des fausses rumeurs de fusions et acquisitions.
L'affaire fait la une de tous les grands quotidiens japonais mardi.
Lors d'une conférence de presse, en début de matinée, M. Horié s'est borné à confirmer que sa société faisait l'objet d'une enquête pour violation de la loi sur les échanges boursiers.
"Nous sommes en train de mener une enquête interne à ce sujet", a-t-il seulement indiqué.
Mais il a écarté l'idée de démissionner. "Je vais m'efforcer d'accroître mon affaire comme je l'ai fait dans le passé", a-t-il affirmé.
Entourés d'une centaine de journalistes et de cameramen, une douzaine de fonctionnaires du bureau du procureur de Tokyo ont fait irruption lundi soir au siège de Livedoor, dans le quartier cosmopolite et branché de Roppongi.
La maison de M. Horié, ainsi que le bureau de la firme Livedoor Marketing, ont également été perquisitionnés.
Le flamboyant Takafumi Horié, 33 ans, s'était rendu célèbre l'an dernier en lançant le premier raid boursier hostile de l'histoire du pays, sur la chaîne de télévision Fuji TV.
L'opération avait finalement échoué, mais elle avait marqué les esprits dans le monde des affaires japonais, pas du tout habitué à ces méthodes de prise de contrôle "à l'américaine".
Parrainé par le Premier ministre libéral Junichiro Koizumi, M. Horié avait brigué sans succès un siège de député lors des législatives du 11 septembre dernier.
鼻から 牛乳!
[mode elitiste]:mdr: :mdr:Citation de Kamen 鼻から 牛乳!
[/mode elitiste]
"tableaux" sur les situations qui vous etonnent tellement que vous en recrachez tout votre lait...
TOKYO (AFP) - Un frère de feu l'empereur du Japon Hirohito (1926-1989) est opposé à ce qu'une impératrice règne sur le Japon, comme le recommande un comité des sages afin de régler les problèmes de succession et le souhaite également une majorité de Japonais, a rapporté jeudi un journal.
Agé de 90 ans, le Prince Takahito, soutient la position controversée de son fils, le prince Tomohito, premier membre éminent de la famille impériale à s'être publiquement opposé, en novembre dernier, à ouvrir aux femmes l'accès au trône, affirme le quotidien Sankei.
"Lorsque mon père m'a rendu visite l'an dernier, il m'a dit: +Tu as bien parlé+", a déclaré le prince Tomohito, 59 ans, cousin de l'actuel empereur Akihito, cité par le journal nationaliste.
Son père estime que l'accession d'une femme sur le trône du Chrysanthème, comme la petite Aiko, fille unique du prince héritier Naruhito et de son épouse Masako, ne réglerait pas pour autant les difficiles problèmes de succession impériale.
Il est notamment d'avis qu'Aiko, devenue impératrice du Japon, aurait les plus grandes difficultés, de par son statut, à trouver un mari.
La princesse Masako, qui se remet difficilement d'une longue dépression, a été sous pression pour donner naissance à un héritier mâle après plus de dix ans de mariage et plusieurs grossesses malheureuses.
Le gouvernement japonais soumettra en mars au Parlement une réforme de la loi de succession impériale qui devrait autoriser à nouveau les femmes à monter sur le trône du Chrysanthème, la plus ancienne monarchie du monde.
Le prince Tomohito, lui, a déclaré dans un mensuel que le "Japon s'effondrait" si la tradition impériale était remise en cause.
"Je suis profondément préoccupé par l'orientation prise pour autoriser les femmes à accéder au trône impérial qui pourrait signifier le début de la fin du Japon", a déclaré Tomohito.
Un Japon réduit à néant pourrait, selon le prince, devenir "le 51ème état des Etats-Unis ou un territoire chinois".
le 51ème état des Etats-Unis ou un territoire chinois"
le "Japon s'effondrait" si la tradition impériale était remise en cause.
Non mais c'est franchement déjà fait, ça, le 51eme etat...
Et voila, quand je vous dit que certains Japonais sont un peu macchos sur les bords, voila un exemple qui vient "d'en haut":
http://fr.news.yahoo.com/19012006/202/japon-le-frere-de-l-ex-empereur-hirohito-oppose-l.htmlCitation TOKYO (AFP) - Agé de 90 ans, le Prince Takahito, soutient la position controversée de son fils, le prince Tomohito, premier membre éminent de la famille impériale à s'être publiquement opposé, en novembre dernier, à ouvrir aux femmes l'accès au trône, affirme le quotidien Sankei.
"Lorsque mon père m'a rendu visite l'an dernier, il m'a dit: +Tu as bien parlé+", a déclaré le prince Tomohito, 59 ans, cousin de l'actuel empereur Akihito, cité par le journal nationaliste.
Son père estime que l'accession d'une femme sur le trône du Chrysanthème, comme la petite Aiko, fille unique du prince héritier Naruhito et de son épouse Masako, ne réglerait pas pour autant les difficiles problèmes de succession impériale.
lundi 23 janvier 2006, 13h45 Scandale Livedoor: arrestation du jeune PDG déchu Takafumi Horié
TOKYO, 23 jan 2006 (AFP) - - Takafumi Horié, le jeune patron déchu du portail internet japonais Livedoor, a été arrêté lundi pour son implication présumée dans un retentissant scandale de manipulation de cours et de falsifications comptables qui ébranle le Japon depuis une semaine.
"Aujourd'hui, l'équipe d'enquête spéciale a arrêté le président de Livedoor Takafumi Horié et d'autres personnes", a indiqué le bureau du procureur de Tokyo dans un communiqué, ajoutant qu'il leur est reproché d'avoir violé la loi sur les transactions boursières.
Trois autres dirigeants de Livedoor ont également été placés en état d'arrestation: le directeur financier Ryoji Miyauchi, le vice-président Fumito Okamoto et le président de la filiale Livedoor Finance, Osanari Nakamura.
Les quatre hommes devaient passer lundi soir leur première nuit sous les verrous.
Selon l'agence Kyodo, Takafumi Horié, 33 ans, ancienne superstar du monde des affaires, a été prié lundi en début d'après-midi de se présenter volontairement dans les bureaux du procureur, où il a été longuement interrogé avant de se voir signifier son arrestation.
Les trois autres dirigeants avaient été interrogés dès vendredi.
Par ailleurs, un ami et proche collaborateur de M. Horié a été retrouvé mort la semaine dernière à Okinawa (sud du Japon) après s'être apparemment suicidé dans une chambre d'hôtel.
Le "choc Livedoor", qui choque l'opinion publique japonaise après avoir fait vaciller la Bourse de Tokyo la semaine dernière, avait éclaté il y a exactement une semaine avec une perquisition surprise au siège du groupe, dans les locaux de plusieurs filiales ainsi qu'au domicile de M. Horié.
Peu de détails ont officiellement filtré sur l'enquête.
Selon les médias, Livedoor est soupçonné d'avoir diffusé en 2004 de fausses informations visant à faire grimper artificiellement le cours de son action, et d'avoir falsifié les comptes la même année pour dissimuler une perte.
Le groupe est également soupçonné d'avoir acquis plusieurs sociétés à l'aide de mécanismes financiers illégaux.
Avant d'être arrêté, Takafumi Horié a nié à deux reprises --évasivement sur son blog-- ces accusations.
Selon Kyodo, le directeur financier Ryoji Miyauchi, arrêté lundi en même temps que M. Horié, a reconnu les faits, mais il conteste leur caractère délictueux et nie que son PDG ait été au courant.
Le scandale avait semé une pagaille sans précédent à la Bourse de Tokyo mercredi dernier. Submergé par les ordres de vente émanant de particuliers affolés, le marché avait dû fermer avec vingt minutes d'avance de crainte que son système informatique ne craque sous l'avalanche de données.
Porté aux nues par la presse il y a tout juste un an, lorsqu'il avait tenté sans succès la première offre publique hostile de l'histoire du Japon, Takafumi Horié est aujourd'hui vilipendé par les mêmes médias et traité en paria par le monde économique.
La puissante organisation patronale Nippon Keidanren, qui avait déjà affirmé la semaine dernière qu'elle regrettait d'avoir admis Livedoor en décembre, a de nouveau fustigé lundi le groupe et son trop médiatique PDG.
"Ce genre de jeu d'argent sans aucune morale ne devrait pas être pratiqué", a affirmé le président du Keidanren, Hiroshi Okuda, évoquant les opérations qui sont reprochées à Livedoor.
Le Premier ministre libéral-populiste Junichiro Koizumi, qui avait parrainé lors des élections législatives de septembre 2005 le parachutage raté de M. Horié dans une circonscription de Hiroshima (sud), s'est lui aussi démarqué de son ancien poulain.
"Si des pratiques d'affaires illégales sont établies lors de l'enquête, il faudra les réprimer sévèrement", a déclaré le Premier ministre, selon qui "même en cette époque nouvelle, il est important de respecter les règles".
Les déboires actuels de M. Horié et sa candidature aux législatives "sont des choses différentes", s'est-il dédouané.
"Ce genre de jeu d'argent sans aucune morale ne devrait pas être pratiqué", a affirmé le président du Keidanren, Hiroshi Okuda, évoquant les opérations qui sont reprochées à Livedoor.
Ca me fait doucement rigoler que les specialistes du double langage et autres experts en escroquerie se laissent aller a de telles declarations. Rien sur l'implication d'un soukaiya dans cette histoire? Ou rien pour l'instant a propos d'un element croustillant dans le passe de ce brave Mr Horie? Ah, le monde des affaires au Japon :wub:Citation "Ce genre de jeu d'argent sans aucune morale ne devrait pas être pratiqué", a affirmé le président du Keidanren, Hiroshi Okuda, évoquant les opérations qui sont reprochées à Livedoor.
Par contre, ça n'a pas trainé pour le mettre en zonzon.
Quelle histoire de dingue... et les autres portails nippons, comment réagissent-ils ?
D's©
Il a du dire ou faire quelque chose qu'il ne fallait decidement pas.
woputain, Bobby est en prison!
Il s'est fait embarqué suite a une altercation avec son agent durant laquelle il aurrait completment sacagé le bureau de se dernier. Je suspecte le coup médiatique, Bobby essayant de concurencer Horie suite a la recente sur-exposition médiatique de celui-ci ?
Le prochain sur la liste? Hard Gay?
L'Agence France-Presse (AFP) et le groupe japonais de services internet et de télécommunications Softbank ont annoncé vendredi à Tokyo le lancement d'AFP-BB (www.afpbb.com), le tout premier service d'informations interactif et gratuit au Japon. Ce service est alimenté par les photos, les textes, l'infographie et la vidéo produits par plus de 2.000 journalistes de l'AFP travaillant dans 170 pays. «L'originalité du projet tient à ses clients, les usagers à haut débit et à l'occasion qu'il leur offre de commenter et de débattre de l'actualité», a expliqué le PDG de l'AFP, Pierre Louette, lors d'une conférence de presse à l'ambassade de France au Japon.
Ca devrait interesser Megara je pense :
http://www.imedias.biz/presse/actualite-lafp-lance-le-premier-site-dinformations-interactif-au-japon-5291.phpCitation L'Agence France-Presse (AFP) et le groupe japonais de services internet et de télécommunications Softbank ont annoncé vendredi à Tokyo le lancement d'AFP-BB (www.afpbb.com), le tout premier service d'informations interactif et gratuit au Japon. Ce service est alimenté par les photos, les textes, l'infographie et la vidéo produits par plus de 2.000 journalistes de l'AFP travaillant dans 170 pays. «L'originalité du projet tient à ses clients, les usagers à haut débit et à l'occasion qu'il leur offre de commenter et de débattre de l'actualité», a expliqué le PDG de l'AFP, Pierre Louette, lors d'une conférence de presse à l'ambassade de France au Japon.
Edit 1: Par contre, je crois que cela va etre en japonais :sweatdrop:
Edit 2: Ca tremble ce soir ! :unsure:
Otes-moi un doute : tu habites bien au Japon ? :mouais: :niark:Citation de Megara le 6 Février 2006 à 12:44 Edit 1: Par contre, je crois que cela va etre en japonais :sweatdrop:
Otesmoi un deuxième doute : tu n'y es pas encore habituée ?Citation de Megara le 6 Février 2006 à 12:44 Edit 2: Ca tremble ce soir ! :unsure:
Oui, j'habite bien au Japon. Mais je me "farcis" la langue japonaise toute la journee (reunions, notes de service, prises de tete avec mes collegues... Etc).
Alors les articles en francais sont plus que les bienvenus... :rougit:
Non...
Et en plus je les sens venir! (j'habitude au 12eme si tu te rappelles... J'ai le temps de sentir l'onde de choc monter... Flippant :peur:).
(J'hallucine... Sur Rennes aussi?) :wacko:
Une grossesse à point nommé bouleverse le projet d'impératrice au Japon
TOKYO (AFP) - La princesse Kiko, épouse du frère du prince héritier du Japon, est enceinte, a fait savoir mardi le Palais impérial, une annonce surprise sur fond de menace de crise de succession, susceptible de bouleverser le projet d'installer une femme sur le trône du Chrysanthème.
La princesse Kiko, épouse du prince Akishino, le frère cadet de l'héritier du trône, "présente les symptômes d'une grossesse", a confirmé dans la soirée le Grand Chambellan du Palais, Shingo Haketa, lors d'une conférence de presse.
agrandir la photo
La princesse Kiko, qui a subi une échographie mardi matin et ressenti les mouvements du foetus, devrait accoucher en septembre ou octobre prochain, selon le Palais cité par des médias. Agée de 39 ans et mariée depuis 1990, elle a déjà deux filles de 11 et 14 ans.
Cette nouvelle --accueillie par un tonnerre d'applaudissements à la Diète-- pourrait remettre en question le projet législatif d'autoriser une impératrice à montrer sur le trône du Japon, dans l'hypothèse où la princesse Kiko accoucherait d'un garçon.
Cet enfant mâle deviendrait en effet le troisième prétendant au trône, derrière son oncle, le prince héritier Naruhito (45 ans), et son père Akishino (40 ans).
Aucun héritier mâle n'est né au sein de la famille impériale depuis plus de 40 ans, ce qui soumet à une énorme pression psychologique l'épouse du prince héritier Naruhito, la princesse Masako, âgée de 42 ans.
Après avoir donné naissance à une fille, Aïko, en 2001, Masako a fait une grave dépression, restant cloîtrée pendant un an. Elle se remet difficilement et limite ses fonctions à de rares apparitions publiques.
"Les Japonais vont naturellement souhaiter la naissance d'un garçon", a commenté Isao Tokoro, universitaire spécialiste des questions monarchiques.
"Cette grossesse va favoriser un retour au calme, dissiper les pressions et le sentiment d'urgence et permettre ainsi une réflexion de fond sur le système", s'est félicité M. Tokoro alors que les débats sur la succession impériale commençaient à prendre une tournure politique et polémique.
"Si c'est un garçon, le système actuel peut encore fonctionner", a-t-il noté.
Le Premier ministre Junichiro Koizumi a promis de soumettre bientôt au parlement une réforme de la loi de succession impériale qui doit autoriser à nouveau les femmes à accéder au trône du Chrysanthème.
Toutefois, ces dernières semaines, le camp des opposants à cette réforme, qui est soutenue par une majorité de Japonais selon les sondages, a fait entendre sa voix et gagné des partisans.
Selon un sondage publié lundi par le quotidien Nikkei, 63% des personnes interrogées se déclarent en faveur d'une impératrice, contre 21% qui souhaitent que le Japon reste fidèle à une filiation patrilinéaire.
Mais les partisans du changement étaient 77% il y a trois mois, et plus de 80% il y a un an.
Le renforcement du camp traditionaliste a fait suite à une récente campagne de 176 parlementaires conservateurs (sur 772 députés et sénateurs) qui veulent préserver en l'état la plus ancienne dynastie du monde.
Dans leur sillage, plusieurs ministres du gouvernement ont lancé un appel à la prudence contre toute "décision hâtive".
Au moment même de l'annonce de la grossesse de la princesse Kiko, le Premier ministre défendait mardi sa réforme devant la Diète: "Il n'est pas prématuré de faire passer ce projet de loi au cours de la présente session", qui s'achève en juin, a-t-il plaidé.
"Nous devons permettre aux femmes et à leurs descendants de régner, pour le bien du système impérial, symbole du Japon, et afin de garantir une lignée impériale stable", a souligné M. Koizumi.
Il faut remonter au 18e siècle pour trouver la dernière impératrice du Japon, Go-Sakuramachi, qui a régné entre 1762 et 1771.
Bof... Ils ne feront certainement rien...
ah tiens .. un revenant ....
Megara tu en offres à qui ? :D
S'enfuir en courant, il a besoin de lunettes non ? O__o
Désolé si la question te dérange mais cela choquerait que cela provienne d'une "blanche" ?
A Singapour cela ne m'étonnerait pas entre autre cela.
Tu oublies de preciser que les messieurs renvoyant la politesse doivent offrir quelque chose 10 fois plus cher que ce qui a ete offert par ces dames a la St Valentin! D'ou la hantise de beaucoup de recevoir des chocolats...
En tout cas c'est la conclusion que j'en tire apres 6 ans de presence au Japon...
Et Youpi :sweatdrop: (elle veut ma mort :mdr:)
D's©
Le Japon a interdit toute importation de volaille francaise (foie gras y compris)... PAs dbol meg :(
TOKYO (AFP) - Le ministre des Sports japonais, Kenji Kosaka, a été contraint de faire acte de repentance pour s'être publiquement réjoui de la chute de la patineuse russe Irina Slutskaya lors des jeux Olympiques de Turin.
Donnée favorite de la compétition féminine le 23 février dernier, la double championne olympique russe avait chuté lors d'une combinaison de sauts, permettant à la Japonaise Shizuka Arakawa de décrocher l'or et de sauver l'honneur de son pays, en rapportant l'unique médaille des Jeux.
Réagissant à cette victoire quelques jours plus tard, le ministre des Sports n'avait pas caché sa joie devant les caméras de télévision. "On ne devrait pas se réjouir du malheur des autres mais j'étais si content de voir (Slutskaya) tomber. Je me suis senti infiniment heureux en me disant +bingo!+", avait déclaré M. Kosaka, figeant par ses mots subitement le sourire de la championne Arakawa, présente à ses côtés.
Dans une déclaration publiée sur son site internet, Kosaka a reconnu que ses déclarations avaient "porté atteinte aux mérites de l'athlète japonaise qui ne doit sa victoire qu'à ses propres talents". "Je suis désolé de ne pas avoir salué la magnifique lutte menée par l'athlète (russe) et regrette infiniment mes remarques qui manquaient d'égard", a-t-il aussi écrit. "Je présente mes excuses les plus sincères" aux deux championnes, a-t-il conclu, reconnaissant aussi avoir reçu de nombreux courriers électroniques de protestation.
A Turin, Arakawa avait devancé l'Américaine Sasha Cohen (médaille d'argent) et la Russe Slutskaya (bronze).
Je ne connaissais pas. C'est trop mimi! :)
Sur la Chaine Maudite, reportage sur Hanami au JT. Comme d'hab, images bidons, interviews a la con... Rien ne vaut ses propres photos et un vrai hanafubuki. En passant, Meg, de nouvelles photos?
Spielou! Enfuyons nous au Japon pour ecrire depuis Takarazuka une nouvelle bio de MA. Yes!
Spielou! Enfuyons nous au Japon pour ecrire depuis Takarazuka une nouvelle bio de MA. Yes!
Le aiaigasa ( ???? ): c'est un dessin qui represente un parapluie symbolisé, avec le nom de chaque coté du manche des deux personnes partageant ledit parapluie. C'est l'équivalent de notre coeur transpercé d'une flêche, avec les deux noms.
Un "Eton" hi-tech et ultrastrict pour dresser la future élite japonaise
GAMAGORI (Japon), 9 avr 2006 (AFP) - - Elèves espionnés électroniquement, salles de classe sans fenêtres, mangas et jeux vidéo prohibés: au Japon, un pensionnat privé inspiré du collège britannique d'Eton veut rassurer certains parents inquiets du "relâchement" de la discipline dans les écoles publiques.
Financée par la fine-fleur de l'industrie nippone, l'Académie Kaiyo a accueilli samedi sa première promotion, 123 garçons de douze ans serrés dans des uniformes noirs à cravate, dont les riches parents débourseront un million de yens (7.000 euros) par trimestre de scolarité pendant six ans.
Edifié sur un polder, dans une baie du centre du Japon, le pensionnat ultramoderne de 130.000 mètres carrés est ouvertement inspiré du célèbre collège d'Eton, qui forme l'élite britannique depuis le 15e siècle.
"L'Académie Kaiyo vise à éduquer les personnes qui seront capables de diriger le Japon dans l'avenir", a proclamé lors de la cérémonie de rentrée le président honoraire du groupe automobile Toyota, Shoichiro Toyoda, principal initiateur du projet.
"Nous ferons des efforts pour considérer chaque cours comme important, nous éveiller et apprécier la noblesse de l'étude", lui a répondu Taiki Aoyama, un des délégués des élèves.
Pour s'assurer que ces bonnes intentions soient suivies d'effet, le proviseur a eu l'idée de concevoir des salles de classe dont toutes les fenêtres sont situées dans le dos des élèves, de façon à ce que personne ne soit tenté de regarder dehors pendant les cours.
Les élèves doivent porter en permanence un appareil ressemblant à un téléphone portable, comportant une puce électronique permettant à la direction du pensionnat d'épier toutes leurs activités. Cet appareil sert également de porte-monnaie électronique, grâce à quoi l'école peut contrôler leurs dépenses.
L'appareil-espion sert également de téléphone portable. Mais seulement pour recevoir des appels, et seulement depuis huit numéros enregistrés à l'avance.
A l'image du collège d'Eton, les enfants sont logés dans des "maisons" avec leurs surveillants, de jeunes employés détachés par les entreprises soutenant le projet (Hitachi, Toyota et autres).
Chaque élève dispose de sa chambre individuelle. Le règlement interdit les bandes dessinées, les jeux vidéo, les skateboards et toutes les distractions prisées par l'immense majorité des enfants japonais.
Les sorties hors de l'établissement sont soumises à autorisation et s'effectuent uniquement en compagnie d'un chaperon.
Ce régime ultra-strict entend répondre aux préoccupations de certains parents depuis une réforme du système éducatif, adoptée en 2002 pour rendre l'école japonaise moins rigide et moins orientée vers le "bourrage de crâne".
Au Japon "l'esprit de compétition commence à faire défaut au profit d'un égalitarisme erronné", se plaint une mère d'élève.
"Les enfants n'aiment peut-être pas les règles strictes, mais les parents se sentent plus en sécurité ainsi", affirme une autre.
Selon Noburu Kageyama, un professeur d'université spécialiste des questions d'enseignement, le pensionnat "est une expérience majeure qui provoque une certaine agitation dans le système éducatif".
"Les familles ont de moins en moins d'enfants et sont de plus en plus déterminées à les envoyer dans un nombre limité d'écoles prestigieuses", explique-t-il, craignant que "l'égalité des chances dans l'éducation soit en train de disparaître".
Le nouveau pensionnat d'élite est situé à quelques centaines de mètres de l'école secondaire municipale d'Otsuka, où l'arrivée de ces petits voisins fortunés est observée avec curiosité et scepticisme.
"Je suis un peu triste pour eux. Leurs vies semblent si surveillées", commente Ayaka Niino, une élève de douze ans, selon qui l'Académie Kaiyo est "un autre monde, pour enfants riches".
Les élèves doivent porter en permanence un appareil ressemblant à un téléphone portable, comportant une puce électronique permettant à la direction du pensionnat d'épier toutes leurs activités. Cet appareil sert également de porte-monnaie électronique, grâce à quoi l'école peut contrôler leurs dépenses.
L'appareil-espion sert également de téléphone portable. Mais seulement pour recevoir des appels, et seulement depuis huit numéros enregistrés à l'avance.
Salut!Citation de Ex-Floodeur le 3 Avril 2006 à 21:13 Le aiaigasa ( ???? ): c'est un dessin qui represente un parapluie symbolisé, avec le nom de chaque coté du manche des deux personnes partageant ledit parapluie. C'est l'équivalent de notre coeur transpercé d'une flêche, avec les deux noms.
On en voit dans le très beau film Omohide Poroporo d'Isao Takahata (pas encore sorti en France). Je crois aussi que l'Animeland HS sur le Studio Ghibli en expliquait la signification. ;)
À bientôt!
Ce petit pays de moins de 300 000 habitants n'était pas habitué à se retrouver dans la presse financière du monde entier. Mais voila, ce pays scandinave est victime d'un krach financier assez curieux, et qui est surtout la caricature de cette mondialisation des marchés financiers. Tout commence au Japon. Cela fait quinze ans que le Japon est en crise. 15 ans que les taux d'intérêts sont très bas, à Tokyo, autour de zéro %. Du coup, que font les traders dans les banques ? Ils empruntent de l'argent à zéro pour cent au Japon. Et ils placent cet argent, dans des pays sûrs, et qui offrent des rémunérations plus élevées, comme l'Islande. Vous empruntez à zéro à Tokyo, et vous placez à 10 % à Reykjavík et voila comment, grâce à ce petit jeu, l'argent a coulé à flot pendant des années en Islande, alimentant un boom économique de l'île jusqu'au jour où l'économie japonaise a commencé à aller mieux. Les Japonais, du coup, ont commencé à relever leur taux d'intérêts. Et le petit jeu est terminé. Résultat, la bulle islandaise est en train de s'écrouler. En quelques semaines, la couronne islandaise a chuté de 12 %, et la Bourse de Reykjavík de 15 %. Et le pays est maintenant menacé d'une grave récession. Et voila, comment, le retour de la croissance au Japon sonne la récession en Islande. Bref, c'est typiquement l'histoire du batement d'aile du papillon à Tokyo, qui a des répercussions jusque sur les cotes islandaise. Sauf que ce petit jeu ne se limite pas à la seule Islande. La Nouvelle Zélande est victime (dans une moindre mesure) du même syndrome. Et, on dit également que la Hongrie pourrait maintenant être touchée.
Tout le s'en fou mais un cargo (ou un pétrolier ché plus) a coulé au large du Japon :o
:mdr2: :mdr2: Bien fait les pochtrons!!!Citation Ce petit pays de moins de 300 000 habitants n'était pas habitué à se retrouver dans la presse financière du monde entier. Mais voila, ce pays scandinave est victime d'un krach financier assez curieux, et qui est surtout la caricature de cette mondialisation des marchés financiers. Tout commence au Japon. Cela fait quinze ans que le Japon est en crise. 15 ans que les taux d'intérêts sont très bas, à Tokyo, autour de zéro %. Du coup, que font les traders dans les banques ? Ils empruntent de l'argent à zéro pour cent au Japon. Et ils placent cet argent, dans des pays sûrs, et qui offrent des rémunérations plus élevées, comme l'Islande. Vous empruntez à zéro à Tokyo, et vous placez à 10 % à Reykjavík et voila comment, grâce à ce petit jeu, l'argent a coulé à flot pendant des années en Islande, alimentant un boom économique de l'île jusqu'au jour où l'économie japonaise a commencé à aller mieux. Les Japonais, du coup, ont commencé à relever leur taux d'intérêts. Et le petit jeu est terminé. Résultat, la bulle islandaise est en train de s'écrouler. En quelques semaines, la couronne islandaise a chuté de 12 %, et la Bourse de Reykjavík de 15 %. Et le pays est maintenant menacé d'une grave récession. Et voila, comment, le retour de la croissance au Japon sonne la récession en Islande. Bref, c'est typiquement l'histoire du batement d'aile du papillon à Tokyo, qui a des répercussions jusque sur les cotes islandaise. Sauf que ce petit jeu ne se limite pas à la seule Islande. La Nouvelle Zélande est victime (dans une moindre mesure) du même syndrome. Et, on dit également que la Hongrie pourrait maintenant être touchée.
Sur Yahoo... (a la aiphebaie! :harhar:)
Un ex-soldat japonais déclaré mort retrouvé vivant en Ukraine
TOKYO (AP) - Un ancien soldat de l'armée impériale japonaise, que sa famille n'avait plus revu depuis la Seconde Guerre mondiale et qui avait été déclaré mort en 2000, est réapparu en Ukraine et va rentrer au Japon pour revoir ses proches après 60 ans d'absence, ont annoncé les autorités nippones.
Ishinosuke Uwano, 83 ans, devrait arriver mardi au Japon, accompagné de son fils ukrainien, pour passer dix jours avec des membres de sa famille japonaise à Iwate, à 450 kilomètres au nord-est de Tokyo, a précisé Suminori Arima, en charge des anciens combattants au ministère de la Santé.
M. Arima a refusé de dire précisément où M. Uwano avait résidé durant ces 60 dernières années, ni pourquoi il n'avait pas contacté sa famille pendant tout ce temps. Il se trouvait à Sakhaline, dans l'extrême-orient russe, lorsque la guerre a pris fin en août 1945 et avait été vu pour la dernière fois sur cette île du Pacifique en 1958, selon M. Arima.
En 2000, la famille du disparu s'était résignée à ce qu'il soit considéré comme mort durant le conflit. Mais M. Uwano, qui vit aujourd'hui dans un lieu non précisé en Ukraine avec sa famille ukrainienne, a finalement entrepris des démarches pour retrouver sa famille japonaise.
Selon Tokyo, quelque 400 anciens soldats japonais de la Seconde Guerre mondiale se trouveraient encore dans l'ex-Union soviétique, dont une quarantaine ont été identifiés. AP
Hier, lundi noir pour les transports en commun de Tokyo. La Yamanote-sen (la ligne circulaire de Tokyo) a ete arretee pendant cinq heures et demi, suite a un probleme electrique a la sortie de la gare de Takadanoba. Resultat : pres de 300,000 personnes coincees sur les quais des gares, 20,000 autres errant sur les voix ferrees pour se degager de ce petrin. Tres honnetement, vu le desordre que cela ete, je suis bien contente de m’etre levee tot et d’etre passee a travers. :mrgreen:
Cet incident est intervenu la veille de la commemoration du premier anniversaire de l’accident de la ligne Fukuchiyama, dans la prefecture de Hyogo (entre Kobe et Osaka), qui avait 106 morts et 555 blesses.
5 heures? Y a eu un transfert de technologies avec la SNCF?
Tant que tu arrives à rentrer à la maison... :mdr:
Oui oui il me semblais bien aussi que les ressortissants Européens pouvait rester 3 mois au Japon sans visa.
Mais je pensais pour ma part que cela ne concernait que le "tourisme" et pas dans le cadre d'un job même non-rémunéré. :sweatdrop:
Je vais effectivement aller me renseigner à l'ambassade je pense, mais en tout cas un très grand merci à vous pour votre aide. :)
J'en profite pour vous signaler qu'en ce moment, 1 euro se convertit a plus de 141 yens, et que c'est le bon moment pour changer ses euros en yens, ou commander des choses du Japon.^^
Le gentleman cambrioleur masse aussi ses victimes
TOKYO (Reuters) - Un cambrioleur a massé pendant plusieurs heures une femme de 35 ans, qu'il avait ligotée après être entré par effraction dans son appartement du centre de Tokyo, rapporte l'agence de presse Kyodo.
L'apprenti-masseur lui a dérobé 210.000 yens en liquide (1.480 euros) ainsi que sa carte de crédit, avec laquelle il a retiré 980.000 yens (6.920 euros), précise Kyodo sur la foi des déclarations de la police japonaise.
A la demande de sa victime, le cambrioleur lui a réexpédié sa carte par la poste.
Lee Jin-se, un Sud-Coréen de 29 ans, a reconnu le cambriolage et expliqué à la police qu'il s'était attardé dans l'appartement et avait massé sa victime au niveau de l'épaule "pour la détendre".
Selon la police, Lee a attendu l'ouverture des distributeurs automatiques, qui ne fonctionnent pas 24 heures sur 24 au Japon, rapporte Kyodo.
Une porte-parole de la police a déclaré que la victime ne semblait pas avoir été molestée mais elle n'a pas souhaité commenté le massage.
A ce propos Megara, aucun écho de cet hélicoptère russe qui s'est écrasé entre Hokkaidô et Sakhaline? Rien sur l'AFP non plus...
:mouais:
J'en profite pour vous signaler qu'en ce moment, 1 euro se convertit a plus de 141 yens, et que c'est le bon moment pour changer ses euros en yens, ou commander des choses du Japon.^^
Sakurajima, one of Japan's most active volcanoes, has erupted near the southern Japanese city of Kagoshima. Smoke and ash rose high above the island's northern peak 1 117m high as residents of the nearby capital of Kagoshima prefecture looked on. Over 600 000 people live in the shadow of the volcano which is only a few kilometres off the port serving Kagoshima city.
Thousands of small explosions occur each year on Sakurajima, throwing ash thousands of kilometres into the sky. The last major eruption occurred in 1914, though most of the residents fled before the volcano engulfed several islands nearby and swallowed part of the bay of Kagoshima.
The UN has designated Sakurajima as a mountain worthy of particular study due to the presence of a highly densely populated city nearby. The city conducts regular evacuation drills, and a number of shelters have been built where people can take refuge from falling volcanic debris. - Reuters
Kagoshima : Naples version nippon. J'avais passé 15 jours en famille d'accueil il y a deux ans. Superbe site, superbe ville située au pied du Sakurajima, un volcan qui est entré en activité ce week end.
Ah oui j'avais fait les Suna onsen de Ibusuki... C'etait que du bonheur, on sent trop la pression arterielle.... C'est vraiment une experience interessante... J'avais tenu assez longtemps, mais on avait un peignoir, notre peau n'etait pas "a meme le sable" comme peut etre dans ton cas Megara. :)
http://www.laquetejaponaise.com/
Enchères, enchères ! :coucou:
D's©
Posted on: Thursday 15 June, 12:09:50
Le monde est tout petit.
http://www.laquetejaponaise.com/
L'auteur a vécu à Neuilly puisque c'est un ancien camarade de classe (primaire, et collège pour mon frère).
ça a l'air bien ce qu'il a écrit.
D's©
Je préfère mille fois les photos de Megara :wub:
Skype!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :)
Tu utilises ton PC, il te faut un micro. Ca ne te coute que la connection Internet.
Hum... De PC a ligne fixe, c'est gratuit. Par contre, j'avoue n'avoir jamais telephone sur un portable, mais ca doit defier les tarifs de la concurrence, non?
Sinon, il existe des services de cartes prepayees pour les appels internationaux. Il faut que je retrouve le nom de celui utilise par mon amie Polonaise, ils etaient vraiment imbattables. :)
Un bon compromis c'est la carte Brastel, que l'on trouve dans a peu pres tous les combinis: http://www.brastel.com/top/general.html
TOKYO (Reuters) - La Corée du Nord a tiré au moins six missiles, dont un engin de longue portée Taepodong-2, défiant la communauté internationale qui tentait depuis des semaines de dissuader Pyongyang de franchir le pas.
Le vol d'essai du Taepodong-2, d'une portée théorique comprise entre 3.500 et 4.300 et qui pourrait ainsi atteindre le territoire américain au niveau de l'Alaska, a tourné court au bout de 40 secondes, ont fait savoir des responsables américains. Séoul a confirmé l'échec du vol du Taepodong-2. Selon la chaîne publique nippone NHK, un missile au moins s'est abîmé en mer du Japon, à 600 km des côtes japonaises.
Le gouvernement nord-coréen, attentif aux symboles, a choisi le 4 juillet (heure américaine), soit le jour de la fête national aux Etats-Unis, pour tirer ses missiles.
A la demande du Japon, le Conseil de sécurité des Nations unies doit se réunir ce mercredi pour évoquer ces événements, a fait savoir un porte-parole français, dont le pays préside le Conseil pour le mois de juillet.
Le secrétaire d'Etat adjoint américain Christopher Hill, principal négociateur américain dans le dossier nord-coréen, s'apprêtait à partir pour l'Extrême-Orient mercredi.
Le tir de missiles a provoqué un brusque regain de tension en Extrême-Orient. Selon une source proche des services de renseignement sud-coréens, Pyongyang aurait même tiré au total dix missiles. Le ministre australien des Affaires étrangères Alexander Downer a déclaré disposer d'informations selon lesquelles la Corée du Nord pourrait ne pas en rester là et procéder à de nouveaux tirs.
La Maison blanche a condamné énergiquement ces tirs, tout en prévenant qu'elle continuerait à rechercher une solution diplomatique à la crise du nucléaire nord-coréen. Le conseiller américain à la sécurité nationale, Stephen Hadley, a parlé d'un "comportement provocateur" de la part de Pyongyang, qui, cependant, ne constitue pas une menace pour le sol américain.
La Corée du Sud a relevé le niveau d'alerte de ses troupes et sa monnaie, le won, s'est affaibli face au dollar à la suite des événements.
Le Japon a vigoureusement réagi. Pour son ministre de la Défense Fukushiro Nukaga, il s'agit d'une grave question pour la stabilité de la région. La police nippone a été placée en état d'alerte. Le yen a baissé face au dollar comme à l'euro et, à la mi-séance, la Bourse de Tokyo affichait un repli de 0,44%.
AUCUNE MENTION EN CORÉE DU NORD
Les autorités japonaises ont jugé "extrêmement regrettables" ces tirs d'essai de missiles nord-coréens et indiqué qu'elles allaient dès mercredi envisager des sanctions économiques contre la Corée du Nord qu'elles enjoignent à réintégrer sans condition le processus de "pourparlers à six".
D'ores et déjà, le gouvernement de Tokyo a décidé d'interdire pour une durée de six mois les visites dans un port nippon d'un ferry nord-coréen.
Via son ambassade à Pékin, le Japon a élevé une protestation vigoureuse à l'encontre de la Corée du Nord, estimant que les tirs d'essai représentaient un "grave problème", une menace pour la sécurité du Japon et la violation d'un accord bilatéral.
Le porte-parole du gouvernement japonais a demandé à Pyongyang de cesser la mise au point de missiles et leur exportation, enjoignant la Corée du Nord à démanteler son arsenal.
La Chine n'a pas pour l'heure officiellement réagi aux événements.
En Corée du Nord, les médias n'ont pas fait mention des tirs d'essai de missiles. La radio nationale évoquait, dans ses bulletins d'information, une visite du numéro un, Kim Jong-Il, dans une usine de pneumatiques.
La première fois que la Corée du Nord a procédé à un test de missile de longue portée, qui était passé en 1998 par-dessus le Japon, l'événement avait provoqué une vive aggravation de la tension dans la région et propagé une onde de choc sur les marchés financiers asiatiques.
Le porte-parole du gouvernement nippon a assuré mercredi que les tirs de missiles nord-coréens n'auraient pas d'impact sur l'économie japonaise. "Tous les indicateurs économiques montrent que l'économie est forte. Je ne pense pas qu'il y ait quelque impact que ce soit sur l'économie", a déclaré le secrétaire général du gouvernement, Shinzo Abe.
La Corée du Nord a annoncé en février 2005 être en possession d'armes nucléaires. Selon les experts, Pyongyang met au point des missiles de longue portée afin qu'un jour ils puissent emporter des charges nucléaires, mais il faudra, ajoutent-il, encore des années avant que cela soit possible.
Les autorités japonaises ont jugé "extrêmement regrettables" ces tirs d'essai de missiles nord-coréens et indiqué qu'elles allaient dès mercredi envisager des sanctions économiques contre la Corée du Nord
Mais bon les américains ont aussi du mal a admettre que leur guerre en Corée (1953) soit un demi-échec et crient fort pour tenter de masquer le fait qu'ils ne peuvent rien faire tant que la Chine soutiendra la Corée du Nord.
Hier j'ai decouvert un truc en rentrant par inadvertance dans le wagon reserve aux femmes dans le metro : les plus belles filles sont dedans et nous on se tape que les moyennes voir les pas belles dans les wagons normaux :pleure:...
Je crois que je vais me tromper tous les jours! :hypocrite:
Y a des wagons réservés aux filles ?! On nous a pas appris ça en sociologie japonaise ou autre :mdr:. C'est donc pour contrer le harcèlement ? je pensais que c'était à l'étude pas effectif. Spécial comme truc en tout cas.
Chikan ?
TOKYO (Reuters) - Une importante panne de courant d'origine accidentelle a frappé de nombreux quartiers de Tokyo pendant environ trois heures lundi matin.
D'après la régie d'électricité, qui alimente en courant 30 millions de personnes, la panne a touché environ 1,39 millions de foyers.
Cette panne, qui a pris au piège des Tokyoïtes dans les ascenseurs et perturbé les transports en commun, a débuté à l'ouverture des bureaux, à l'heure de pointe vers 07h40 locales (dimanche à 22h40 GMT).
En milieu de journée, le courant avait été rétabli et la plupart du trafic ferroviaire fonctionnait normalement.
Quelque 120.000 usagers du métro ont été aussi touchés par la panne.
La panne est due à une grue installée sur un bateau qui a heurté une ligne à haute tension.
Les feux tricolores ont cessé de fonctionner à quelque 440 carrefours de la capitale japonaise où plusieurs sociétés ont fait état de pannes de leurs systèmes informatiques.
La Bourse de Tokyo a fonctionné normalement mais certains courtiers ont éprouvé des difficultés à travailler sur le marché des devises étrangères en raison de problèmes d'écrans.
Deux parcs à thème, Tokyo Disneyland et Tokyo DisneySea, ont été contraints de retarder l'ouverture de leurs portes d'environ une heure.
Enfin, les hommes ont été exceptionnellement autorisés à voyager dans les wagons réservés aux heures de points aux seules femmes sur certaines lignes de métro afin de désengorger le trafic à la reprise des opérations. /JLF
Une panne geante dans Tokyo ce matin, a cause d'une grue qui fait nimp dans le port... Bravo la jeunesse! Ah la la ces dockers, encore des laosiens clandestins qui font du travail de coreens...Citation TOKYO (Reuters) - Une importante panne de courant d'origine accidentelle a frappé de nombreux quartiers de Tokyo pendant environ trois heures lundi matin.
D'après la régie d'électricité, qui alimente en courant 30 millions de personnes, la panne a touché environ 1,39 millions de foyers.
Cette panne, qui a pris au piège des Tokyoïtes dans les ascenseurs et perturbé les transports en commun, a débuté à l'ouverture des bureaux, à l'heure de pointe vers 07h40 locales (dimanche à 22h40 GMT).
Un pêcheur japonais tué par la police russe, selon les garde-côtes japonais
TOKYO (AP) - La police des frontières russe a abattu un pêcheur japonais mercredi dans les eaux qui bordent des îles que se disputent les deux pays, au nord-est du Japon, ont annoncé des garde-côtes japonais.
Le ministère japonais des Affaires étrangères a prévu de convoquer le numéro deux de l'ambassade de Russie pour obtenir une explication, a rapporté l'agence Kyodo. Les dirigeants du ministère n'ont pas souhaité commenté cette information.
L'incident s'est produit tôt mercredi près de l'île de Kaigara, l'une des nombreuses îles du nord-est du Japon que se disputent le Japon et la Russie, a déclaré Kazuhiro Nakaya, un responsable des garde-côtes japonais.
Un bateau de patrouille russe a tiré sur un navire de pêche aux crabes japonais à bord duquel se trouvait quatre personnes, selon la même source. Une permission spéciale est nécessaire pour pêcher dans ces eaux, et il n'était pas certain dans l'immédiat que l'embarcation japonaise en disposait.
L'équipage a été emmené sur l'île de Kunashiri, qui est sous autorité russe mais réclamée par le Japon, pour les besoins de l'enquête, a précisé Kazuhiro Kakaya. Les trois personnes n'était vraisemblablement pas blessées.
Les quatre îles peu peuplées ont été prises par l'armée soviétique dans les derniers jours de la Seconde Guerre Mondiale. Tokyo estime que cette occupation est illégale et souhaite que les îles lui soient restituées.
Ce conflit autour d'îles qui sont bordées par des eaux de pêche et offriraient de nombreuses richesses naturelles -pétrole, gaz, or ou argent- a empêché la signature d'un traité officiel mettant fin à la guerre entre les deux pays.
Le président russe Vladimir Poutine avait proposé de revenir à une déclaration nippo-soviétique de 1956, selon laquelle Moscou s'engageait à restituer deux de ces îles, mais avait rejeté une proposition jugée insuffisante.
Un grave incident de pêche au large des îles Kouriles ravive les tensions russo-nippones
Un pêcheur japonais a été tué par balles et trois autres interpellés, mercredi 16 août, par des gardes-côtes russes au large de l'archipel des Kouriles. Cet incident sans précédent depuis 50 ans risque de raviver les tensions entre la Russie et le Japon, qui se disputent ce chapelet d'îles du Pacifique.
Le navire japonais "est accusé de pêche illégale, de trafic et de franchissement illégal de la frontière russe", a annoncé le lendemain de l'incident Vitali Khatsoulev, représentant du parquet dans la région des Kouriles. Les trois marins japonais risquent d'être condamnés à une amende, dans le meilleur des cas, ou à une peine de prison. Ils sont détenus dans une chambre à l'hôtel "Maison de l'Amitié", sous la surveillance de gardes-frontières, dans le port de Ioujno-Kourilsk, sur l'île de Kunashiri. Le corps du quatrième homme, Mitsuhiro Morita, 35 ans, a été déposé à la morgue de la ville.
"Il a été établi que le pêcheur découvert à bord du chalutier japonais arrêté est mort à la suite d'une blessure mortelle par balle à la tête", a précisé le département des gardes-côtes du Service fédéral de sécurité (FSB, ex-KGB)) pour la région de Sakhaline dans un communiqué. Selon le FSB, il "a fait des manœuvres dangereuses et a tenté plusieurs fois d'éperonner le bateau des gardes-côtes, après quoi il a pris la direction des eaux territoriales japonaises". "Les gardes-côtes ont effectué un tir de sommation", au moins à deux reprises, pour le contraindre à s'arrêter, a souligné le FSB sans préciser si le marin avait été tué par l'un de ces tirs.
Moscou a également exprimé mercredi ses "profonds regrets" pour la mort de ce marin japonais, mais avait accusé le Japon de "fermer les yeux sur le braconnage" dans les eaux territoriales russes. Cet incident a entraîné une vive protestation des autorités nippones qui ont convoqué l'ambassadeur de Russie au Japon, Mikhaïl Galouzine, pour protester et exiger la libération des trois pêcheurs survivants.
LE PLUS GRAVE INCIDENT DEPUIS 1956
Les querelles impliquant pêcheurs nippons et gardes-côtes russes sont très fréquentes dans cette zone : 47 navires japonais ont été arraisonnés par les Russes dans la région entre 1994 et 2004. Lors de ces incidents, 17 bateaux japonais ont essuyé des tirs et 11 marins ont été blessés, d'après l'agence de presse nippone Jiji. Toutefois, c'est la première fois depuis 1956 que les tensions aboutissent à une mort d'homme du côté japonais, selon Tokyo.
L'incident a eu lieu à la suite de l'arraisonnement mercredi matin du bateau de pêche japonais dans des eaux disputées au nord-est de la grande île septentrionale nippone de Hokkaïdo. Spécialisé dans la pêche au crabe, le Kisshin-Maru, un navire de 4,9 tonnes qui comptait quatre hommes d'équipage, a ensuite été conduit sous escorte russe à Kunashiri.
A l'extrême fin de la seconde guerre mondiale, l'armée soviétique avait repris au Japon l'ensemble de la chaîne des Kouriles, de petites îles volcaniques qui s'égrènent en arc entre la presqu'île du Kamtchatka au nord et Hokkaïdo au sud. Quatre d'entre elles, Habomai, Shikotan, Etorofu et Kunashiri, n'ont jamais appartenu à la Russie et sont toujours considérées par le Japon comme une partie de son territoire. Plus de soixante ans après, le contentieux des Kouriles empêche la signature d'un traité de paix entre Tokyo et Moscou.
Tokyo ne cesse de réclamer le retour de ses "territoires du Nord". Le président Vladimir Poutine a proposé de rendre deux des quatre îles, ce qui a été jugé "inacceptable" par les Japonais.
Plus ça va, plus je trouve que le Japon redevient nationaliste... :peur:
Quelqu'un a t-il vu le reportage de France 5 sur ce sujet samedi en fin d'aprèm ?
Le pire, c'est que celui qui va vraisemblablement succeder a Koizumi le mois prochain est le fils d'un criminel de guerre! :sweatdrop: Le Japon devient dangereux... :peur:
Un fils de criminel de guerre n'est pas un criminel de guerre. Ce n'est pas un privilège héréditaire ;)
Ouais mais quand il te dit qu'il va accentuer les visites au Yasukuni et qu'il est soutenu a fond par la classe d'extreme droite du pays, ya de quoi avoir un peu des doutes...
Oui, dans ce cas là en effet... :peur:
Mais bon, le Japon d'aujourd'hui n'est plus le Japon d'autrefois. Celui-ci, après sa branlée contre les Ztasunis, n'osera plus jamais faire quoi que ce soit sans son accord. Je pense qu'il est temps pour le Japon d'avoir les mêmes droits que tous les autres pays du Monde, c'est à dire posséder une armée, et pouvoir l'envoyer aux quatres coins du monde s'ils en ont les moyens tout en contrôlant leurs extrêmistes !!
Vont quand même pas faire la même connerie deux fois
A mon humble avis, les Japonais devraient d'abord nettoyer devant leur porte avant de réclamer quoi que ce soit.
Maintenant c'est clair que tant qu'ils ne feront pas un veritable effort au niveau de leur politique etrangere, et meme nationale (education), je trouve normal qu'ils n'obtiennent rien. niet. Bravo les Russes.
Mais bon, le Japon d'aujourd'hui n'est plus le Japon d'autrefois. Celui-ci, après sa branlée contre les Ztasunis, n'osera plus jamais faire quoi que ce soit sans son accord. Je pense qu'il est temps pour le Japon d'avoir les mêmes droits que tous les autres pays du Monde, c'est à dire posséder une armée, et pouvoir l'envoyer aux quatres coins du monde s'ils en ont les moyens tout en contrôlant leurs extrêmistes !!
Vont quand même pas faire la même connerie deux fois
Oui, mais parfois, lorsque je vois l'importance de la hiérarchie et la façon dont ils peuvent obéir aveuglement à des ordres (certes, dans le cadre du boulot)... bref, l'article 11 il est très bien dans leur constitution.
Le Japôn possède la 3ème force armée au Monde et ses militaires participent depuis quelques années à des conflits.
Plus angoissant qu'un second tour électoral ? Réponse demain !(http://fr.news.yahoo.com/01092006/202/succession-imperiale-au-japon-la-princesse-kiko-accouchera-le-6.html)
Et si c'est une fille, y' aura forcément du changement ...
De la fight in the gadoue dans l'air ?(http://fr.news.yahoo.com/05092006/202/kiko-et-masako-deux-princesses-aux-antipodes-pour-une-succession.html)
Girl Power :yes:
D's©
TOKYO (Reuters) - La princesse Kiko, épouse du plus jeune fils de l'empereur Akihito du Japon, a donné naissance mercredi à un garçon, a annoncé l'agence de presse du palais impérial, où aucun enfant de sexe masculin n'était né depuis plus de quarante ans.
Il occupera le troisième rang parmi les héritiers du trône, derrière son père, le prince Akishino, et son oncle, Naruhito.
Sa naissance mettra vraisemblablement fin pour un temps au débat sur l'opportunité d'une révision du code de succession ouvrant la voie du trône aux femmes.
La mère, âgée de 39 ans, et l'enfant, né par césarienne à 08h27 (23h27 GMT), se portent bien, précise le palais, ajoutant qu'il pèse 2,558 kg.
Les éditions spéciales se sont arrachées dans les rues après l'annonce de l'information qui a fait l'ouverture de tous les journaux télévisés.
Une bite est nee! :D
Tinou et Meg', un petit mot de votre part sur le faucon Abe qui a remplacé cette semaine Koizumi et semble pret à lancer de plus gros chantiers au niveau international (la Chine en priorité) sans oublier une grosse réforme sur la Constitution us de 47 ?
Les Japonais sont contents ou réservés sur ces probables futurs "changements" ?
D's©
:up: !!!!!!!! Vu ce que j'avais vu et décrit -ici- fin août, je dirais qu'une bonne partie est contente ou plus exactement, ça ne la dérange pas du tout.Citation de Damien le 28 Septembre 2006 à 19:28 Tinou et Meg', un petit mot de votre part sur le faucon Abe qui a remplacé cette semaine Koizumi et semble pret à lancer de plus gros chantiers au niveau international (la Chine en priorité) sans oublier une grosse réforme sur la Constitution us de 47 ?
Les Japonais sont contents ou réservés sur ces probables futurs "changements" ?
D's©
Et il ne dit pas si les machines doivent fonctionner au Mir Lavande ? :P
C'est marrant, mais ce genre de remarque n'ira sans doute pas bien loin au Japon... en France, on en aurait parlé pendant des mois et le ministre aurait été dénigré par ses pairs...
Pour revenir sur le Ministre de la Sante et ses bourdes, il en a dit une autre hier : "Les couples normaux devraient vouloir au moins deux enfants"
version en anglaise : http://mdn.mainichi-msn.co.jp/national/news/20070206p2a00m0na019000c.html
We got a winner!
(a deplacer avec les deux derniers posts dans topic actualite asiatique? Damien, Meg, qu'en pensez-vous?)
Sinon, pour les posts, je pense qu'ils sont bien là; ils ont trait à la société japonaise... On peut garder le topic actuamité asiatique pour les relations entre les pays asiatiques, voir les problèmes de sociétés des autres pays.
Moi je pensais que justement ce topic etait plus pour parler des trucs un peu "carnet de voyage" ou blogesque, chronique du Japon actuel... Comme un topic decouvertes quoi. Pas pour copier/coller les news reuter (et la, jetez moi la premiere pierre) :unsure:Citation Sinon, pour les posts, je pense qu'ils sont bien là; ils ont trait à la société japonaise... On peut garder le topic actuamité asiatique pour les relations entre les pays asiatiques, voir les problèmes de sociétés des autres pays.
Moi je pensais que justement ce topic etait plus pour parler des trucs un peu "carnet de voyage" ou blogesque, chronique du Japon actuel... Comme un topic decouvertes quoi. Pas pour copier/coller les news reuter (et la, jetez moi la premiere pierre) :unsure:
Publishing date: 7/2/2007 14:11:16
Magazine [editorial] director: “I feel I am in danger”
Shigeki Saka, director of a xenophobic magazine, receives a wave of complaints and threatening mails. Interview.
Tokyo - IPCJAPAN/Shiho Kohinata
Shigeki Saka, Eichi Shuppan’s editorial director, which published Gaijin Hanzai Ura File, a magazine accused of being xenophobic and racist, told ipcdigital.com he was conscious the magazine could arise criticism from foreigners, but he claims his intention was to lead Japanese people to discuss the increase of crimes by foreigners and the country’s internationalization.
He denied the magazine has any xenophobic sentences, claimed he’s not a racist and refused to apologize. During the dialogue with ipcdigital.com he received threatening e-mails whose content he did not want to disclose.
ipcdigital.com: What is your opinion on the reaction of the public about your magazine?
Shigeki Saka: I don’t understand it yet well. There are a lot of questions from foreign press [outlets] as Reuters or Bloomberg. I know there are a lot of complaints. But that depends on how you receive this stuff. In principle it is a magazine written in Japanese and sold in Japan. Then, it’s for Japanese people to read it. Besides, on the magazine there are not any discriminatory claims, though I imagine that foreigners who are always discriminated are a little bit more sensitive.
ipcdigital.com: What did you wanted with the approach given to the magazine?
SS: Currently Japan is facing a lot of offences starred by foreigners. There must be a why. I wanted to find that “why”. I can’t act as if nothing was actually happening. Today there are some Japanese afraid of foreigners and I wanted to survey these people’s psychology. I want you to read the magazine. You’ll see.
ipcdigital.com: And what have you discovered so far?
SS: Foreigners’ crimes in Japan have a profile which changes depending on the country and this is what I also wanted to know. For example, about Chinese and Koreans. Japan welcomes them as kenshusei and that system is officially intended to they to learn Japanese working techniques and that they take them back to their countries. But it happens that they are put to work as common employees, but with low salaries and some of them cause minor offences. The kenshushei system is the problem that has been generated by Japan. It is a problem from here.
ipcdigital.com: What are you based on to give an opinion about the crimes?
SS: We have spoken with Japanese police in order to write each article. For them this issue is serious and they have provided the data. I have also spoken with Japanese specialists, as university professors devoted to this issue. This magazine is a summary of these data and focused on the foreigners’ issue.
ipcdigital.com: Don’t you think the way the photographs are used is tendentious?
SS: If you read the magazine you will understand it. Maybe foreigners can’t read the articles in there and they only see the pictures of the discriminated. The magazine has a lot more than photographs, which is 1/4 of the total. I wanted the magazine to be read by a lot of people, so many people bought it we put shocking pictures, to call everyone’s attentiona. But I don’t want they think it’s a discriminating magazine only because of the pictures. Besides, I’m not a racist. In Japan there are a lot of contradictions and, in order to have a coexistence between different cultures we have to erase those contradictions. To solve those contradictions is one of the goals of this magazine.
ipcdigital.com: How did you get the photographs you published?
SS: There is a very special photographer. He walks the commercial districts as Roppongi, Shinjuku, Ikebukuro, and Shibuya. He’s around the city all day. He’s a freelancer. I did not ask him to take pictures of the foreigners, but he offered the ones he had to us. In the city there are a lot of foreigners, but he doesn’t go only after them.
ipcdigital.com: What do you think about Familymart’s withdrawal of the magazine?
SS: I’m sad about that. We can’t say anything else about the withdrawal of the magazine at the combini because Familymart has not communicated anything yet, they withdrew it without asking us. Normally distributors are more powerful. We can’t do anything, but I think that withdrawing it is a way to reject the debate. The magazine raises an issue to discuss. Why there are so many crimes by foreigners? What can we do? Without a magazine of that kind we can’t know the positive or negative opinion from the people. I want a discussion and I want to find the way to solve this problem. This is my other objective. But I see that the foreigners who are angry, but that’s because they’re afraid to be discriminated, that’s why they overreact. At the internet blogs I see they’re only putting the pictures and they discuss from that, I confess I’m discouraged about that. I want a discussion. Else, we will never be able to internationalize this country
ipcdigital.com: Will you apologize?
SS: Look. First, I’m receiving a lot of e-mails which seem like a joke.
ipcdigital.com: What do they say?
SS: I can’t tell you, but I feel I’m in danger. I want opinions, but most of the ones I receive are overreactions from the foreigners. Most complaints come from foreigners. I want to know the reactions of the Japanese. I must say I’m a little worried. I know there are some people bothered but if you read the magazine, you’ll see there’s no single discriminatory phrase, so I don’t know why should I apologize.
Thank you for writing to Amazon.co.uk with your concerns about one ofthe titles we list in our catalogue.
This is an issue we take very seriously and we wanted to share with you our goals with respect to our catalogue.
Our goal is to support freedom of expression and to provide customers with the broadest selection possible so they can find, discover and buy any title they might be seeking. That selection includes some titles, which most people, including employees of Amazon.co.uk, may find distasteful or otherwise objectionable.
Amazon.co.uk believes it is censorship not to offer for sale certain titles with repugnant or distasteful content, and we would be rightly criticised if we did so. As a result, we will continue to make controversial works available in the UK and everywhere else, except where they are prohibited by law.
Furthermore, because we strongly believe that the appropriate response to distasteful or repugnant speech is not censorship, but more speech, we will continue to allow readers, authors, and publishers to express their views freely about the books and other products we offer on our website. It is important to note that we do not endorse any opinions expressed by individual authors, musical artists, or filmmakers.
Thank you for writing to Amazon.co.jp with your comment.
We want everyone who visits Amazon.co.jp to have a safe, enjoyable experience and I am truly sorry that this experience has made you to have a negative impression about Amazon.co.jp.
We have quite a few selection sold at our store because we think any publications should be able to be freely published and
customer should be able to select what they may like to read. Therefore as long as they are not against the Japanese law, we may
not reconsider our decision. Your understanding would be much appreciated.
As you mentioned, the publication has a offensive and unpleasant title and the contents should be following the title as well. I’m really sorry that you feel very uncomfortble about this issue.
We already passed your message on to the appropriate department in our company for consideration. Our department will confirm the item and cut it from our site if it is needed.
Again, your understanding would be much appreciated.
On s'en fout ! Comment ça on pourra continuer à commander sur le net à payer 50 euros pour 10.000 yens ! :yahou:
Et les Japonais arrêterons de se prendre pour les rois du monde quand ils viennent sur Paris ! :harhar:
Nan plus sérieusement, c'est vrai que ce genre de singeries on en profite quand on fait Europe--->Nippon, mais l'inverse ça doit être dur quand même. Je ne sais pas si Megara ou tinou sont revenu il n'y a pas très longtemps mais ça doit faire mal de convertir ses petits yens en euros là quand même non ? Notez que c'est pareille pour le dollar d'ailleurs.
La forte dépréciation du yen est soupçonnée par les économistes d'être le symptôme d'une gigantesque bulle spéculative qui, si elle se dégonflait trop vite, déstabiliserait le système financier mondial. Cette bulle se nourrit du vaste différentiel entre les bas taux d'intérêt au Japon (0,25%) et ceux dans le reste du monde, qui incite les investisseurs à emprunter massivement des yens à moindre coût et à placer cet argent dans les pays où il rapportera beaucoup plus, un phénomène appelé "carry trade"...
La suite ici : http://www.aujourdhuilejapon.com/article.asp?IdArticle=526
........That's easier said than done in uniquely homogeneous Japan. A reminder of the nation's aversion to opening the floodgates came last week with the publication of a magazine on crimes committed by foreigners. FamilyMart, Japan's third-largest convenience-store chain, pulled "Gaijin Hanzai Ura Fairu," or "Secret Foreigner Crime Files," from its shelves, citing the publication's "inappropriate racial expressions."........
A 74 ans, M. Ishihara a attendu des années avant de pouvoir financer son projet.
Il a voulu montrer les "vies magnifiques mais tragiques" des jeunes pilotes qui se sont sacrifiés au nom de l'Empereur Hirohito à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
"Je Vais Mourir Pour Vous" raconte cette épopée dramatique "à travers le regard d'une mère".
Parmi les autres postulants figuraient l'architecte de renom Kisho Kurokawa ainsi qu'une ribambelle de candidats fantaisistes parmi lesquels un musicien de rue, un chauffeur de taxi et un "inventeur" de gadgets connu pour avoir photographié tous les repas qu'il a mangés depuis les années 1970.
mais le fait qu'il faudrait trouver un moyen de lancer des debats autour de ces sujets, et je pense que tous les posteurs-baroudeurs-voyageurs du forum seront d'accord avec moi.
dois-je le rappeler la meilleure ile du Japon :D
[...]assis par terre sur un sol en bois qui casse les jambes, suivi d'un diner de saumon seche, viande de cerf aux legumes avec riz et bouillon de legumes rachitiques.
Alors là au-delà même de son superbe exposé (j'aimerai bien y aller d'ailleurs, qui sait lors de mon prochain voyage ^^' ), je dis NON mon bon monsieur, n'oublions pas Miyajima dont il faudrait que je poste quelques photos et raconte un peu mon périple, car si on creuse plus loin que le fameux Tori présent en ces lieux et très touristique, cette petite île regorge de points de vue magnifiques, de charmants petits temples. Les habitants sont aussi plutôt chaleureux, dès lors aussi que l'on s'éloigne des chemins touristiques. Bref, Miyajima, c'est bon mangez-en !!Citation de tinou le 15 Avril 2007 à 15:28 dois-je le rappeler la meilleure ile du Japon :D
Boaaarf, elle est très quelconque la Miss :mouais:
# « Une femme a été arrêtée pour avoir vendu sa fille de 16 ans un million de yens (6800 dollars US) à une maison de geishas au nord-ouest du Japon. La jeune fille s'est enfuie et a cherché la police après avoir été maltraitée par sa mère suite à cette fuite. » [4]
# « Jusqu'en 1997, Tōkyō et Nagano étaient les seules zones au Japon où le sexe avec des enfants n'était pas illégal. »[5]
# « Une nouvelle loi japonaise a pris effet le 16 décembre 1997, faisant du commerce sexuel avec un mineur en-dessous de 18 ans un acte criminel, pouvant donner lieu à un an d'emprisonnement et une amende équivalent à 2600 livres sterling. Avant cette loi, le contact sexuel avec un enfant de moins de 13 ans était illégal, mais autorisé avec un mineur consentant de plus de 13 ans. » .[6]
# « En 1998, le Japon était le plus grand producteur de pornographie enfantine au monde, et le Parlement japonais a récemment refusé de passer une loi interdisant la pornographie enfantine pour des « raisons commerciales ». »
Le Compositeur des musiques de Macross, L'île au trésor, Cobra et autres animes que nous connaissons par coeur... est mort : http://www.animenewsnetwork.com/news/2007-06-04/macross-orguss-wizardry-composer-haneda-dies-at-58
D's©
De plus, je vais tailler la bavette avec un chercheur qui travaille sur les maid-cafes et qui va nous expliquer comment Akiba s'est police tout seul suite aux debordements de moe en 2k2 (je suis curieux de savoir en vrai ce que ca donne, vu les horreurs qu j'ai vues en grande librairie en 2k4). D'ailleurs, si vous etes interesses, il organise des visites d'Akiba et pause dans un maid-cafe (le truc celebre, la, ou ils ont tourne Densha Otoko, le nom m'echappe).
Ben a priori, sachant que le shota est en vente libre au Japon, au vu et au su de tout le monde, ça m'étonnerait fort que cela ait changé.
Il me semble juste qu'ils n'ont pas le droit d'en exporter, du moins vers les pays qui ne le veulent pas.
http://img403.imageshack.us/img403/1999/ausecoursop5.jpg
(cliquez pour montrer/cacher) http://img403.imageshack.us/img403/1999/ausecoursop5.jpg
- concernant le lolicon: le fait que les hommes japonais sont déboussolés par l'émancipation (enfin, toutes proportions gardées, relativement à chez nous) de la femme (les leurs en l'occurrence) et qu'ils recherchent du coup dans ces images là, cet esprit là, à retrouver le sentiment de leur toute puissance vis à vis de représentations féminines totalement soumises.
Z'en pensez quoi? Perso, de mon point de vue tout à fait occidental, je trouve ça incompréhensible de laisser quasiment le libre accès à n'importe qui ce genre de support, fut-il manga, parce que justement, ce sont des dessins, alors ça démystifie le truc, ça le vulgarise, voire le met au même niveau d'autres thèmes autrement moins dangereux pour la société. N'est ce pas cautionner quelque part une déviance condamnable? Je n'irai pas jusqu'à dire que cela la justifie, non, je n'ose pas croire que les japonais valident ce genre de perversité. Néanmoins, cela reviendrait presque à considérer que la société japonaise accepte ces éléments dans son sein.
C'est peut-etre choquant, mais au Japon c'est ainsi. Et effectivement, tant que personne ne souffre reellement, que peux-t-on dire? Que l'idee est revoltante, mais c'est deja porter un jugement de valeur. :oh:
Kamen, juste comme ça, si tu étais sous Firefox et non Internet Explorer, tu n'aurais rien perdu...
Posted on: Tuesday 05 June, 10:34:27Y-a-t-il beaucoup d'affaires de pédophilie au Japon aujourd'hui, notamment à Tokyo ? Car si tous les pédophiles de la planètes pouvaient se contenter de fantasmer sur des BD de leur malsaineries, et ne donc jamais passer à l'acte, ce serait finalement une bonne chose...Citation de Kamen le 5 Juin 2007 à 10:33 C'est peut-etre choquant, mais au Japon c'est ainsi. Et effectivement, tant que personne ne souffre reellement, que peux-t-on dire? Que l'idee est revoltante, mais c'est deja porter un jugement de valeur. :oh:
Institute for the Study of Social Justice Sophia University Presents:
AGAINST COERCION: Refusing to Stand for "Kimigayo"
(87 minutes/in Japanese with English subtitles)
Directors: Matsubara Akira and Sasaki Yumi (Video Press)
Wednesday, June 27, 2007
17:00-19:30
Room L921, 9th Floor, Central Library
Yotsuya Campus, Sophia University
Free Admissions
Since the Tokyo Metropolitan Board of Education issued a decree to strictly enforce the hoisting of Hinomaru and the singing of Kimigayo at school ceremonies in 2003, over 340 public school teachers in Tokyo have so far faced disciplinary actions or "negligence of duties." Although the Tokyo Local Court ruled such coercion unconstitutional in September 2006, the Tokyo Metropolitan Board of Education took disciplinary measures against a further 35 teachers in March 2007 and appealed to Tokyo High Court. The punitive
measures of the Tokyo Board of Education are cumulative, and as a consequence, it looks quite possible at this point that some teachers will face dismissal in March 2008 --if they continue to refuse to stand for Kimigayo.
Such developments are not limited to Tokyo public schools, and are indeed of particular relevance to those who are in teaching professions at school as well as university levels. The new Law on National Referenda that the Abe government enacted last month
contains a stipulation that prohibits teachers (and public servants) to "utilize their positions" during future campaigns on constitutional revisions --in other words, a school teacher or university professor who expresses a view that does not conform with the government proposal may very well face similar disciplinary measures for "negligence of duties."
This documentary film follows the school teachers, and their students, as the teachers refuse to stand for Kimigayo and face pay-cut, suspension, and re-training programs. The doors open at 17:00, and the movie screening is followed by a Q&A session with Ms.
Kawarai Junko, who is currently suspended from her position at a school for the disabled in Tokyo.
This event represents the first part of a program entitled "Is Freedom in Danger?" organized by the Institute for the Study of Social Justice, Sophia University. It will be followed by a symposium on October 11, where Prof. Takami Katsutoshi (Sophia Law School) will speak on the subject of constitution and freedom, Father Tani Daiji (Bishop of Saitama, Catholic Church) on freedom of religion, and Koichi Nakano (Sophia University) on the contemporary politics of illiberalism (all in Japanese).
Ce que Miss Univers pense de son nouveau statut(http://mdn.mainichi-msn.co.jp/entertainment/news/20070612p2a00m0et005000c.html)
D's©
Japan has its own Miss Universe for the first time in almost half a century, but the average Japanese salaryman is hardly pleased as the winner doesn't look "Japanese" enough, according to Shukan Bunshun (6/14).
Je dis "les Francais", "en France", "les gens", mais jamais "nous" (quelle horrible idee!!!). C'est symptomatique de ma personnalite, ou bien des perceptions holistes japonaises? :unsure:
Ca me fait peur quand meme cet acharnement de type "nihonjin-ron", les Japonais sont uniques (et sous-entendu les meilleurs), les autres ne peuvent pas les comprendre car ils sont etrangers/inferieurs/bornes/pas elus par des dieux (rayer la mention inutile). Tu subis ca au boulot Meg?
Et d'ailleurs, qu'est ce que tu trouves typiquement japonais et typiquement francais, et qui te permets de bien appuyer la difference?
Ce n’est pas le casse de la décennie, mais ça pourrait bien être la bourde administrative du siècle. Le gouvernement japonais vient de reconnaître qu’il avait perdu ou égaré 50 millions les dossiers de retraite. Soit l’équivalent de la moitié de la population du pays ! Le secret était bien gardé, mais au mois dernier l’opposition a révélé le pot aux roses. Acculé, le gouvernement n’a pas pu étouffer le scandale.
Certaines personnes qui ont cotisé pendant des années se retrouvent sans rien.
Les centres de la sécurité sociale sont pris d’assaut. Le numéro vert mis en place est saturé en permanence, avec 500 000 appels par jour !
Les problèmes auraient débuté dans les années 80 et l’informatisation des dossiers. Un certains nombre d’informations ont été saisies de manière erronée. Pire, en 1997, lorsque chaque assuré social a reçu un numéro d’identification individuel, de nouvelles erreurs sont venues se greffer aux précédentes.
Le gouvernement essaie de calmer le jeu et s’est donné une année pour tirer les choses au clair.
Ces révélations interviennent au plus mauvais moment pour le parti au pouvoir. En effet, pour la première fois depuis plus de 10 ans, il n’est pas donné favori aux prochaines élections.
Le plus incroyable c’est que pour l’instant, personne n’a rien dit, il n’y a pas eu la moindre manifestion. Imaginons une situation identique en France...
Mais toi tu as ete longuement intoxiquee par ta presence ici. Merci en tous cas de ta reponse. Je me rappelle aussi que cette Japonaise me disait que le Japon etait le seul pays jouissant d'une unite linguistique et geographique totale (le cas des nikkeijin mis a part, visages japonais mais langue hispanisante pour cause d'emigration en Amerique Latine), ce qui renforce encore plus son sentiment d'appartenance a un groupe homogene. Ca me fait peur quand meme cet acharnement de type "nihonjin-ron", les Japonais sont uniques (et sous-entendu les meilleurs), les autres ne peuvent pas les comprendre car ils sont etrangers/inferieurs/bornes/pas elus par des dieux (rayer la mention inutile). Tu subis ca au boulot Meg?
Et d'ailleurs, qu'est ce que tu trouves typiquement japonais et typiquement francais, et qui te permets de bien appuyer la difference?
(Au passage : meme apres 10 ans de lobotomie, je pense etre incapable de dire "nous" quel que soit le contexte, a part ma famille, et encore :mdr: Il y a bien le nous de majeste, mais je refreine le protocole en ce moment :mdr:).
Ce qui est choquant dans l'assertion de ton amie,
Mmmmmm probleme bien complexe que celui de l'Ijime...
Je vais parler de mon experience personelle (et replacer le probleme dans un ensemble plus vaste):
Je suis actuellement dans le programme JET, ALT a Okayama, dans deux ecoles du departement (plutot de bon niveau). Quelques experiences troublantes, qui sonnent comme des consequences (mais avec des causes invisibles) :
1) Pour mon premier cours, en septembre (donc en plein milieu de l'annee scolaire), je tombe nez a nez, au premier rang, avec un bureau de lyceen couvert d'une gigantesque gerbe de fleurs. Le prof m'avait averti succinctement avant : "Un eleve est mort cet ete". Bon, pour mon premier cours, j'en saurais pas tellement plus...
(J'ai juste failli faire une erreur monumentale : a une eleve qui dormait sur la table, j'ai failli sortir "Ben alors? T'es morte ou quoi?" mais je me suis mordu la langue a temps).
Personne n'a vraiment envie de communiquer la-dessus, et j'arrive quand meme a faire parler le prof, qui me repond du bout des levres "Il s'est pendu". Bon, j'en saurais pas plus, mais je compte bien les interroger encore (vu que je me barre bientot).
Moins grave, mais toujours preoccupant :
2) Une eleve de francais dans un groupe laisse tomber en cours d'annee et arrete les cours. Motif? "Problemes mentaux"
3) Une eleve dans un cours d'anglais n'apparait que tardivement dans l'annee (apres avoir copieusement seche). Motif? "Problemes mentaux"
4) Une eleve de francais (dans l'autre lycee) seche enormement, et ne frequente plus que son club de Badminton, le week-end. Motif? "Elle s'est pas mal brouillee avec tous ses amis, ses amis sont maintenant dans le club de Badminton, c'est le seul endroit ou elle est assidue au college". Ah bon. Mais elle saborde son annee d'etude, la. Comme les autres.
5) Une fille en larmes dans la salle des profs : elle veut arreter l'ecole, elle n'en peut plus. Ma collegue JET me dit qu'elle a besoin d'un examen psychiatrique, mais que les collegues japonais ne la prennent pas au serieux. (comme ceci est base sur son interpretation et non la mienne - je suis completement exterieur a cette histoire -, je peux pas emettre un jugement definitif).
6) A un camp de perfectionnement en anglais : a la cantine, je demande pourquoi il y a un siege a cote de moi ou il y a un repas tout prepare, et personne pour le consommer. Une eleve repond : “C’est l’eleve qui etait derriere moi en classe, elle a arrete l’ecole… Comme celle qui etait devant moi en classe a aussi arrete l’ecole, ca fait un peu vide” :shock:
7) Ca a pas de rapport direct, mais une eleve a dit a une autre collegue JET qu'elle frequentait des forums de suicide (glauque!).
J’ai vraiment ete surpris par l’ampleur du phenomene (ou alors je suis vraiment un prof de merde :lol: :lol:). Mais dans chacun des cas, je ne sais pas s’il y a eu ijime ou pas, l’ecole ne communiquant pas la-dessus. Une collegue m’expliquait que l’expression “problemes mentaux”, extremement floue, etait appliqué pour proteger la vie privee (et pour eviter de parler directement). ("Problemes mentaux", c'est assez large, non? Ca peut aller de la legere deprime, a la demence hallucinatoire :shock: )
Les ecoles ont vraiment du mal a communiquer de maniere franche la-dessus : je me souviens, lors de la vague de suicides dus a l’ijime qu’on a eu l’an dernier en automne, du principal qui, a l’annonce de la pendaison d’un des eleves, a aussitot martele le message suivant : “l’ecole n’est pas responsable, c’est suite a un probleme exterieur a l’ecole que cet eleve s’est pendu”… avant de se retracter quelques jours plus tard, bien evidemment (quel connard).
Comme pour les tireurs isoles (quand un homme tire sur la foule, il est aussitot imite par d’autres au quatre coins du pays, d’autres personnes borderlines qui passent a l’acte), les suicides par ijime sont vraiment devenus une cause nationale a l’automne dernier, avec quasiment tous les jours une nouvelle affaire ou un nouveau suicide (je pense a l’enseignant qui s’est lui-meme pendu après avoir participe a l’ijime d’un gamin qui s’est tue). Je crois d’ailleurs qu’il y a aussi un directeur d’ecole qui s’est tue aussi (c’etait vraiment glauque, ca arretait jamais) Le Ministere de l’Education a d’ailleurs recu des tombereaux de lettres de suicides, plus appels a l’aide que vraies tentatives.
Donc je pense qu’il y a un veritable malaise.
Les suicides ne doivent malgre tout pas etre si courants que ca : je pense que la reponse habituelle est le sechage intensif, l’abandon de l’ecole (selon les liens en premiere page, 130.000 eleves de primaire et college seraient concernes, ce qui fait beaucoup).
Le truc, c’est que l’ijime, qui peut exister sous certaines formes dans d’autres pays, se retrouve aggrave par pas mal de facteurs typiquement japonais (ici, on part un peu HS, mais bon, je crois que c'est important):
- L’adolescence est caracterisee par une instabilite emotionelle, c’est pas nouveau, et on sait pas toujours comment se defendre. Il y a aussi toute la thematique groupe / pas groupe, demarcation et fusion, mise a l’ecart et desir d’integration, desir d’independence et desir de resemblance qui est assez compliquee. Bon, ca c’est valable pour tous les pays. Mais comme quelqu’un le soulignait, au Japon il est un peu plus difficile de dire “moi, je”, et de s’affirmer. Une des valeurs centrales du Japon, c’est le gaman 我慢: supporter la douleur en silence, se sacrifier.
- La structure du groupe : en effet, les ecoles japonaises (et c’est l’une de leurs grandes forces) travaillent enormement sur le sentiment de la collectivite : fetes de l’ecole, jour du sport, voyages en commun… Meme le salut collectif en debut et en fin de cours participe de cette dynamique "groupe soude". Il n’est pas exagere de dire que les collegiens et lyceens passent vraiment leur vie a l’ecole : au mois d’aout, tous les jours ils participant a leur club, et souvent meme le samedi et le dimanche. On voit bien que si ca se passe mal, c’est toute la vie sociale qui est chamboulee et ruinee. Alors qu’en France, des que la cloche sonne, tout le monde se barre et va faire eventuellement des activites ailleurs. Contrairement au Japon, il y a une vie en-dehors de l’ecole.
- La competition est beaucoup trop rude, et on en demande beaucoup trop aux eleves. Lors de mon premier sejour au Japon, en allumant la tele, je suis tombe sur un “direct live” avec un gamin sur le toit d’une ecole, avec un grand couteau de boucher, completement desoriente, en panique. Et il avait pourtant reussi ses examens! Mais la pression des parents et les moqueries de ses camarades l’avaient vraiment fait peter les plombs. C’est le probleme : les eleves travaillent BEAUCOUP trop, et je dirais que le souci de sante numero un des eleves, c’est le manqué de sommeil! (je voyais une de mes eleves dans le metro, elle etait comateuse – je lui ai passé les doigts devant les yeux, elle a meme pas cligne de l’oeil). Je parlais avec mes eleves, certains me disaient qu’ils s’etaient couches a 1h30 du matin “pour etudier”. Une fille me disait qu’elle rentrait chez elle tous les soirs a 22h40 (avant de se lever a 5h du matin pour faire les devoirs). La pression de la troisieme annee, par exemple, est intense : les eleves d’ailleurs n’ont plus le droit de pratiquer une activite en club, vu qu’ils doivent reserver leur temps pour l’etude! Les examens au bout de l’annee representent une echeance once in a lifetime : si on rate l’examen, on peut considerer qu’on a rate sa vie – ou du moins on en a le sentiment. C’est une periode ou justement il faut concentrer toutes ses forces : failure is not allowed. (Avec la pression des parents derriere, argl)
Certaines ecoles d’ailleurs ont tellement de cours, c’est tellement inhumain de faire tout ce que le Ministere ordonne, qu’elles faussent leurs resultats : "si, si, je vous assure, on l'a fait cette option" (cf. la polemique l'automne dernier avec l'option World History A et World History B, que les ecoles ayant omis ces cours ont du faire passer en catastrophe sous les menaces du Ministere).
Donc je pense qu’il y a quand meme un terreau qui fragilise l’eleve, le rend beaucoup plus vulnerable. Dans cet environnement super tendu, des brimades regulieres peuvent largement aboutir a des petages de plomb, ou a une retraite de l’ecole (et un profond sentiment d’echec, qui peut briser une vie).
Bon, j’ai devie du sujet principal!
Mais je pense que pour comprendre l’ijime, il faut voir comment fonctionne le systeme, quelles sont les conditions dans lesquelles se deroule la discrimination.
Maintenant, que fait le Ministere pour lutter contre ca? Rien. L’ijime est un marronnier qui surgit de temps en temps a chaque suicide, mais j’ai pas l’impression qu’il y ait une quelconque avancee la-dessus. Dans le nouveau projet de loi sur l’education, ils preferent parler de punition corporelle (condamnee internationalement, hahaha!), de noter les profs en function des resultats (super, y a plus qu’a mettre des bonnes notes a tout le monde), d’enseignement du patriotisme (quelle bande sinistres, sinistres cons).
L'ijime, finalement, c'est comme le rechauffement climatique : on multiplie les injonctions, on s'agite dans tous les coins, mais le systeme est tellement pesant et peu interesse par ces questions que rien ne bouge.
Pour finir avec le texte de loi sur l'education :
Abe a d’ailleurs fustige l’atmosphere de “decadence morale” des lycees qu’il a visite, et a affirme vouloir couper des vacances, et rajouter des heures de cours :shock: Et la, j’ai vraiment peur que la cocotte-minute explose, que les pressions ne deviennent tellement intolerables que les suicides se multiplient et que les eleves sechent massivement.
(desole du leger HS)
(cela dit, je suis vraiment content d'apprendre par Rosever que les eleves metis ne sont pas FORCEMENT victime d'ijime - c'est pour ca que je lui ai mis une bonne note. Il y a dans mon lycee un eleve d'origine paragueenne (metissee japonaise), et elle s'en sort tres bien, c'est vraiment une eleve comme les autres. Les deux lycees mettent d'ailleurs l'accent sur l'internationalisation.
NOTA: message legerement edite.
ON NE respecte même plus les anciens au Japon. L'assurance sociale de l'Archipel vient d'avouer avoir « égaré » 50 millions de dossiers de retraite lors de leur informatisation dans les années 1980. Les noms, adresses et dates de naissance qui figuraient sur ces dossiers n'ont visiblement pas survécu à la « simplification » que devait représenter la mise en place d'un numéro d'identification unique en 1997.
Gaijin Hanzai qualified in many people's view as "hate speech", in that it concertedly and maliciously attempted to encourage fear and loathing of an entire segment of Japan's population--the "gaijin". Not only were they singled out for a negative image campaign, they were not even supposed to be part of the audience. Nobody targeted was supposed to care, or be able to do anything about it.
[...]
In Japan, however, the domestic press ignored and continues to ignore the issues surrounding Gaijin Hanzai. Coincidentally, prominent politicians (including Education Minister Ibuki Bunmei) instead dismissed the notion of focusing on human rights at all as "like eating too much butter, resulting in 'Human Rights Metabolic Syndrome'" --demonstrating the expressly low regard that even people in policymaking positions have for expanding constitutional protections to Japan's international residents.
Japan's lack of regulations, or a developed civil society capable of dealing with hate speech and defamation of entire segments of society, allows publications like Gaijin Hanzai to appear in bookstores without constraint or even comment. It is not the only Japanese publication of its ilk. One book still in print compares foreign penis sizes, and warns its intended female audience that having relations with foreigners is problematic because "they don't have money", "their temperament is too strong", "they want a lot of sex", and "there are a lot of junkies" [23]. Other recent manga give reasons for hating Koreans, and depict Chinese as cannibals [24]. These still remain on sale, in the name of freedom of expression. In many other societies signatory to the same treaties as Japan, they probably would not be, or if they were, controversy would likely erupt.
So who fought the good fight this time? Civil society, in the form of "Newcomer" activists in Japan, succeeded in taking Gaijin Hanzai off the market. The so-called gaijin are learning how to fight for their rights. In this case, they did it completely by themselves for the first time in Japanese history--showing that they indeed "do count".
Un ouvrage pétri de bonnes intention - “L’avénement de la société de cohabitation avec les étrangers” - une traduction d’un niveau un peu plus élevé que le titre original signifiant la même chose mais avec un vocabulaire et un ton bien plus quotidien. Ce livre mérite le détour parce qu’il expose la psyché bonne enfant tout de même mais un peu dure de la feuille et dégentée d’une bonne partie de la population qui a seulement besoin d’être rassurée - un besoin intarissable ici - sur ce qu’adviendra du Japon si [par malheur…] la cohabitation tendait à devenir une réalité nationale.
Sur dix chapitres fonctionnant autour de dialogues imaginaires au sein d’une famille idéale à la Sazae-san , un couple, trois enfant, une grand-mère sous le même toit dialoguent, s’inquiétent, se rassurent à qui mieux-mieux sur ce qu’il adviendra du navire amiral de l’archipel, et comment y faire face au mieux. Sont passées en revue une série de grandes questions nationales qui exposent le grand fatras dans lequel se développe au niveau mental collectif la question de la mixité culturelle sur le territoire japonais, question tellement abstraite.
Dès l’entrée en matière, on a droit à un rectificatif bienvenu mais assez compliqué pour mettre en doute le fond de la propagande médiatique, et donc gouvernementale, sur l’explosion de la criminalité attribuée aux non-japonais de souche. On passe immédiatement pour décompresser sur la question de savoir comment nommer un étranger (gaijin? gaikokujin?), pour bientôt disjoncter sans espoir de retour sur des questions telles que, comment devenir interprète simultané, de la nécessité d’enseigner l’anglais au primaire, de la difficulté relative de la langue japonaise pour les étrangers, des chances - faibles - de voir le Japonais devenir langue officielle à l’ONU, de l’importance croissante de l’anglais dans le quotidien japonais - une lubie et un voeu pieu.
Alien Registration Card
et le milieu sportif pour les mecs (la fameuse relation senpai\kouhai prend un nouveau tournant)
Ca paraît logique, surtout si effectivement il y a un consensus sur la question, nationalement parlant. Ce sont nos yeux extérieurs qui nous en font causer, mais de toute manière... chacun chez soi^^
(Et oui, je me rappelle qu'en 1999, j'ai du laisser mes empreintes digitales pour obtenir ma carte de résident (la "Alien Card")... Extrêmement véxant, sachant que les japonais, ces "douces créatures incapables du moindre crime", n'ont pas de carte d'identité >< ).
Le prochain va etre pire : Aso Taro, fasciste notoire connu pour ces declarations fracassantes (et erronees) sur la purete de la race nippone...
Toutefois, le journal (Bungei shuukan je crois) ne veut pas passer pour le mechant de service en lachant les chiens sur un Abe mourrant, donc ils ont eux aussi lache du lest. Est-ce que le journal s'est fair arroser lui aussi? Aucune idee. Mais bon, c'est bien amusant de voir tout cela. :sleeping:
Possible... Mais bon, "Bungei Shuukan" est extrêmement conservateur comme hebdomadaire (style: les étrangers c'est bien, surtout lorsqu'ils sont à l'étranger)... Alors, forcément, un conservateur qui s'en va, on lui "conserve" des portes de sortie... :whistling2: :whistling2:Citation de Kamen le 21 Septembre 2007 à 04:46 Toutefois, le journal (Bungei shuukan je crois) ne veut pas passer pour le mechant de service en lachant les chiens sur un Abe mourrant, donc ils ont eux aussi lache du lest. Est-ce que le journal s'est fair arroser lui aussi? Aucune idee. Mais bon, c'est bien amusant de voir tout cela. :sleeping:
En attendant, cette instabilité politique a été vite sanctionnée par les marchés financiers. L'euro est repassé au dessus des 160 yens suite à cela...
Ils ont donne en France la vraie raison du depart d'Abe?
Ils ont donne en France la vraie raison du depart d'Abe?
Ils ont pas mal relié ça à la défaite du PLD aux sénatoriales, et au fait que le sénat va refuser la prolongation du mandat pour la participation des forces d'auto-défense à la guerre en Irak.Citation de Kamen le 21 Septembre 2007 à 04:46 Ils ont donne en France la vraie raison du depart d'Abe?
Bref, pas vraiment ce dont tu parles. ;)
J'ai une tres mauvaise image de ces professeurs a la sauvette qui font beaucoup de mal a l'image de la communaute etrangere au Japon (trafic de drogues entre profs, etc.). Pour autant je suis persuade que certains, quelques uns (en nombre bien inferieur que par exemple 15 ans plus tot, comme en temoigne nombre d'articles specialises dans la presse japonaise de ces derniers jours) sont des gens reellement competents qui aimaient leur metier.
Reste que Nova restait le premier employeur de gaijins au Japon, et a ce titre un moyen tres simple pour venir travailler au Japon, ou l'integration au travail et au tissu social est assez complique.
C'est pourri, les expats, les vrais (lire les membres de l'AFRJ), ils vivent du cote de Kagurazaka, Meg en sait quelque chose.
Serieusement, je n'en sais rien.
Kamen -> En quoi c'est pourri comme quartier ? L'avantage, pour lui, c'est qu'il n'est qu'à 1/4 d'heure de son stage (et qu'il n'a rien à payer :peur:).
Mon pote qui va bosser quelques mois à la SoGé à Tokyo est arrivé là-bas. Son appartement est dans le quartier de Minato-Ku, c'est bien ?
Cela dit, moi je trouve que les japonaises niveau mode elles sont quand même assez à la pointe. Je parle évidemment pas des ménagères ou ado "basiques" mais celles qui s'y intéressent (modérément !), notamment à Tokyo, c'est autre chose que la France niveau coquetteries, de l'aveu même de françaises résidant au Japon. Et c'est vrai que je les trouves plutôt bien habillé limite trop fashion pour moi, on dirait une couv' de glamour/biba (pour les connaisseurs) une tokyoïte à la mode.
ce qui est intéressant, c'es la définition "d'initiative personnelle". Y a quelque chose de très paradoxal dans le fait que certains jeunes là bas se baladent en cosplay permanent, ou en gravure de mode "hype" hyper flashy, que finalement, ça les distingue du commun des mortels qui les entourent, et l'idée d'absence d'initiative personnelle. A croire que même l'excentricité est un phénomène de masse là bas (à moins qu'ils n'aient pas conscience de ladite excentricité). En europe, quand on voit - rarement! - des jeunes imiter leurs homologues nippons, on se retourne, on hallucine, et on se dit qu'on n'aurait jamais fait un truc pareil. Bizarre quand même!^^
Le Japonaises qui bossent sont effectivement assez fashion ou chic. Mais cela n'empêche pas les fautes de goûts; combien de fois ai-je vu une Japonaise porter un magnifique tailleur jupe de marque, bien coupé, avec... des chaussettes. Moi, c'est le genre de vision qui me cuit les yeux! :o
(http://sankei.jp.msn.com/photos/life/trend/080108/trd0801082054012-p1.jpg)
En effet, la personne prise en photo au premier plan a des poils sur le torse. Sacrilege!!!!
des jeunes hommes rêveurs et efféminés. Les mêmes canons guident Sakamaki lorsqu'elle recrute ses serveurs, qui devront ensuite discuter avec les clientes du café Edelstein de leur vie au pensionnat comme dans un véritable jeu de rôles.
C'est sur, cela doit changer les japonaises des thons qui leur grognent après au boulot, à la maison ou au bureau. :niark:Citation des jeunes hommes rêveurs et efféminés. Les mêmes canons guident Sakamaki lorsqu'elle recrute ses serveurs, qui devront ensuite discuter avec les clientes du café Edelstein de leur vie au pensionnat comme dans un véritable jeu de rôles.
EDITORIAL: 25% support rate
04/23/2008
The public approval rating for Yasuo Fukuda's Cabinet has dropped to 25 percent. This indicates that both the prime minister and his ruling Liberal Democratic Party are in deep trouble. According to a nationwide Asahi Shimbun poll over the weekend, Fukuda's popularity is now the lowest since he took office last September. A record 60 percent of those polled said they disapprove of his Cabinet. These dismal numbers are more or less about the same as those Shinzo Abe and his Cabinet faced after his party was whipped in the Upper House election last summer.
The Fukuda Cabinet's approval rating had been sliding for months, but what dealt the latest blow was the introduction of the hugely unpopular health insurance system for people aged 75 or older this month.
However, Fukuda's current crisis is rooted in structural factors. For one, the political landscape has remained effectively frozen since Fukuda took office.
The Cabinet missed its deadlines, so to speak, with the appointment of a new Bank of Japan governor and the provisional gasoline tax rate. The result was a political vacuum and widespread confusion. In the latest poll, an overwhelming 69 percent of respondents who said they do not support the Fukuda Cabinet cited "policy" as their reason. This indicates people are not only questioning Fukuda's policies, but also are frustrated with the prolonged political standstill.
When the provisional gasoline tax rate expired at the end of last month, Fukuda told a news conference, "I apologize to the people for making them pay these political consequences."
We can appreciate Fukuda's lament that Minshuto (Democratic Party of Japan), which has the most seats in the Upper House, is on the warpath with the ruling coalition and refuses even to negotiate. But he should have known seven months ago that his administration would be stuck unless he got Minshuto to at least agree to negotiate over policies, even if it involved appeasing and cajoling.
One solution he saw was to discuss the idea of forming a "grand coalition" with Minshuto leader Ichiro Ozawa. But after Minshuto vehemently opposed the idea, Fukuda had no other strategy, and political debate has since drifted aimlessly.
Minshuto is not the only cause of the Fukuda Cabinet's present crisis. Take the case of the ill-planned health insurance system for the elderly: Fukuda tried to cover up its inadequacies by replacing the system's offensively blunt name with a euphemism celebrating old age. That did nothing to allay public anxiety.
Other unfortunate developments have arisen, too. Fukuda was working to improve relations with China when the tainted Chinese gyoza dumpling scare and unrest in Tibet combined to undo his efforts. Fukuda canceled his tour of Europe prior to being this year's Group of Eight summit host because of his political problems at home. Obviously, these incidents are far from what he had hoped for.
During the Keizo Obuchi Cabinet (1998-2000), the Upper House was under opposition control for a while. This occurred during financial turmoil, and Obuchi helped the nation weather the crisis by effectively accepting Minshuto's policy in its entirety. But Fukuda is less likely to be as flexible and accommodating as Obuchi, since the ruling coalition controls two-thirds of the more powerful Lower House.
The root cause of the current stagnation is the fact that the voting public is divided in its opinions: It has vested the LDP with the power to control the Lower House, but given the upper hand in the Upper House to Minshuto. If this situation continues, the problems will spread.
What are you going to do, Mr. Fukuda?
--The Asahi Shimbun, April 22(IHT/Asahi: April 23,2008)
Le Japon s'apprête enfin à reconnaître le peuple aïnou
Le Japon va reconnaître l'existence d'un peuple indigène, les Aïnous, établi depuis des millénaires dans l'archipel mais privé jusqu'à maintenant d'existence légale au nom de "l'homogénéité" de la nation.
Le Parlement japonais doit adopter une résolution demandant au gouvernement de soutenir les Aïnous, un peuple ethniquement différent de l'immense majorité des Japonais et souffrant de discriminations.
Cette résolution conjointe du parti au pouvoir et de l'opposition, susceptible d'être votée à l'unanimité, affirme pour la première fois que les Aïnous "sont un peuple indigène avec leur propre langue, religion et culture", a-t-on appris de sources parlementaires.
"C'est un pas en avant parmi d'autres, mais un grand pas", se félicite Yukio Sato, directeur de l'association de défense des droits des Aïnous, Utari.
Cette reconnaissance officielle intervient avant le sommet des pays riches du G8, organisé par Tokyo du 7 au 9 juillet sur l'île de Hokkaido (nord), où sont établis l'essentiel des 70.000 Aïnous vivant au Japon.
"Il est normal de reconnaître (le peuple aïnou) comme un petit peuple indigène en tant que tel, comme les Aborigènes en Australie et les Indiens en Amérique", selon Hiroshi Imazu, chef de file des députés à l'origine de la
résolution.
En septembre, l'ONU a adopté une déclaration non contraignante soutenant les droits humains et fonciers des 370 millions d'indigènes à travers le monde, Aïnous compris.
Le Japon l'a soutenue, en précisant toutefois qu'il n'accepterait aucune velléité indépendantiste des indigènes ni demande de restitution de terres.
Ce texte tombe "au bon moment", juge Kazuo Kato, professeur de sociologie à l'université du bien-être de Shizuoka (centre) et spécialiste des Aïnous.
"L'environnement est une des priorités du sommet (du G8) et vous ne pouvez faire fi des peuples indigènes lorsque vous abordez le sujet", précise-t-il.
Le G8 comprend les Etats-Unis, le Japon, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la France, l'Italie, le Canada et la Russie. Il doit s'atteler à trouver des solutions contre le réchauffement climatique.
Les analystes jugent toutefois improbable que le gouvernement japonais change radicalement de politique envers les Aïnous, malgré cette reconnaissance à venir.
"Nous n'avons pas encore atteint notre but", souligne M. Sato dont l'association va continuer de militer pour "la dignité" des Aïnous.
Les sources historiques sont peu nombreuses sur les Aïnous, qui n'avaient pas d'écriture, mais ce peuple est vraisemblablement arrivé dans l'archipel plusieurs milliers d'années avant Jésus-Christ, en provenance de Sibérie.
Des batailles entre Japonais et Aïnous sont narrées dans le "kojiki", un ouvrage du VIIIe siècle après J.C. retraçant les origines mythologiques de la lignée impériale japonaise.
Peuple animiste de chasseurs-cueilleurs, les Aïnous diffèrent ethniquement des Japonais: plus grands et dotés d'une pilosité plus fournie, ils ont aussi la peau plus claire et n'ont pas les yeux bridés.
Progressivement acculés au Nord de l'archipel, à Hokkaido et dans les îles aujourd'hui russes des Kouriles et de Sakhaline, les Aïnous ont été contraints de renoncer à leurs terres, langue et mode de vie par la "loi sur les anciens aborigènes de Hokkaido" adoptée en 1899 à Tokyo.
Finalement abrogée en 1997, elle a été remplacée par une loi appelant à protéger les traditions aïnoues qui n'a pas, toutefois, reconnu ce peuple comme indigène.
Les Aïnous demeurent aujourd'hui parmi les habitants les plus pauvres du Japon. Seuls 17% d'entre eux sortent diplômés de l'université, deux fois moins que la moyenne nationale.
TOKYO (AFP) - Le Parlement japonais a reconnu vendredi l'existence du peuple indigène aïnou, vivant depuis des millénaires dans l'archipel, et a promis d'améliorer ses conditions de vie.
La résolution, votée à l'unanimité par les élus des partis au pouvoir et de l'opposition, affirme pour la première fois que les Aïnous "sont un peuple indigène avec sa propre langue, religion et culture".
Elle appelle le gouvernement à prendre des mesures "immédiates" pour soutenir les Aïnous, qui demeurent aujourd'hui parmi les habitants les plus pauvres du Japon.
"Nous venons d'ouvrir une nouvelle page dans l'histoire des Aïnous", s'est félicité Tokuhei Akibe, un meneur de la cause aïnoue, lors d'une conférence de presse.
Arborant une robe traditionnelle aïnoue, M. Akibe a toutefois prévenu qu'il s'agissait d'un simple "pas en avant" et qu'il fallait rendre "effectifs" les engagements pris.
Bien que largement symbolique, cette reconnaissance pourrait déboucher sur une aide dans le domaine de l'éducation et de l'emploi. Seuls 17% des Aïnous sortent diplômés de l'université, deux fois moins que la moyenne nationale.
"Si notre pays veut mener la communauté internationale, il est crucial que tous les peuples indigènes puissent garder leur honneur et leur dignité", souligne la résolution.
Le porte-parole du gouvernement a déclaré que le gouvernement respecterait la résolution du Parlement, mais n'a pas évoqué de mesures concrètes pour les Aïnous.
"Notre gouvernement accepte solennellement le fait historique que le peuple aïnou a été victime de discrimination et a souffert de la pauvreté au cours de la modernisation de notre pays", a-t-il dit devant la presse.
Cette reconnaissance officielle intervient avant le sommet des pays riches du G8, organisé par Tokyo du 7 au 9 juillet sur l'île de Hokkaido (nord), où sont établis l'essentiel des 70.000 Aïnous du Japon.
Cette statistique est toutefois sujette à caution, des descendants d'Aïnous cachant leur origine par crainte de discrimination, selon leurs associations.
Les sources historiques sont peu nombreuses sur ce peuple qui n'avait pas d'écriture, mais il est vraisemblablement arrivé dans l'archipel plusieurs milliers d'années avant notre ère, en provenance de Sibérie.
Des batailles entre Japonais et Aïnous sont narrées dans le "kojiki", un ouvrage du VIIIe siècle après J.C. retraçant les origines mythologiques de la lignée impériale japonaise.
Chasseurs-cueilleurs, les Aïnous diffèrent ethniquement des Japonais: plus grands et dotés d'une pilosité plus fournie, ils ont aussi la peau plus claire et n'ont pas les yeux bridés.
Selon des études génétiques, les Aïnous ont des origines communes avec les Tibétains et avec des peuples indigènes de Sibérie et de Mongolie.
Les hommes portent traditionnellement de longues barbes et les femmes sont tatouées avant l'âge du mariage.
Animistes, les Aïnous révèrent les esprits vivant dans les plantes et les animaux, particulièrement les ours.
Acculés au cours des siècles au nord de l'archipel, à Hokkaido et dans les îles aujourd'hui russes des Kouriles et de Sakhaline, les Aïnous ont été contraints de renoncer à leurs terres, langue et mode de vie par la "loi sur les anciens aborigènes de Hokkaido" adoptée en 1899 à Tokyo.
Elle avait été abrogée en 1997 mais les Aïnous n'avaient pas été reconnus comme peuple indigène jusqu'à présent.
Peu d'Aïnous vivent encore suivant leurs coutumes ancestrales et leur langue est aujourd'hui en voie d'extinction
Un homme de 25 ans, membre présumé de la pègre japonaise, a poignardé 15 passants, dimanche 8 juin, en début d'après-midi dans le quartier d'Akihabara à Tokyo et le bilan de ce coup de folie est encore incertain, certaines sources évoquant 5 morts et 10 blessés. Akihabara, connu pour ses nombreux magasins d'électronique, est très fréquenté par les touristes.
L'homme conduisait un camion et a d'abord renversé des passants dans la rue, avant de sortir de son véhicule et de poignarder des gens au hasard, selon les médias. Les images de télévision montrent une zone délimitée en plein milieu d'une intersection, où la foule ne pouvait pénétrer pour laisser les secours s'occuper des blessés.
Japon: Une nouvelle façon de regarder des films à la TV
La plus importante chaîne de location de supports vidéo et musicaux japonaise, le réseau Tsutaya, a présenté une offre de films à la demande, accessible directement via un téléviseur disposant d'une prise internet comme en proposent les fabricants japonais.
Tsutaya, qui compte quelque 1.330 boutiques au Japon et 27,2 millions de membres-clients, va proposer depuis vendredi des longs-métrages et feuilletons TV en haute-définition à la demande (VOD), sur une page spéciale de la plate-forme interactive pour postes de télévision Actvila, créée par les principaux fabricants de TV nippons (Sharp, Sony, Matsushita/Panasonic, Toshiba, Hitachi).
Conférence de Mme Valérie Pécresse 09/06/2008
=======================================================================
No F-52
* Vendredi 13 juin, 13 h 30, à l'Université de Tokyo
Mme Valérie Pécresse, Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la
Recherche, prononcera le 13 juin 2008 à 13 h 30 à l'Université de
Tokyo, Campus de Recherche de Komaba, une conférence intitulée :
« France-Japon : l'enseignement supérieur et la recherche, un pont
entre nous » (interprétation simultanée).
La conférence aura lieu au Convention Hall, bâtiment 6 (bloc A).
Plan du campus : http://www.iis.u-tokyo.ac.jp/access_e/campusmap_e.html
Organisation : Université de Tokyo
Informations détaillées : http://dir.u-tokyo.ac.jp/files/france.pdf
Un grand moment de drolerie en perspective...
Je ne savais pas que le vendredi aussi c'est sodomie au Japon. :croa:
:sors:
Dingue... J'y etais hier... :peur:
Je sais que yen a qui sont pas content que j'en ai rechappe, mais moi je suis content! :w00t2:
En France on ferait de meme si on decouvrait un train immacule sans aucun tag non? :hypocrite:
L'anecdote japonaise est tout de même frappante, en effet :oo:
Enfin il ne faut pas exagérer je pense: la politique extrêmement répressive de la police et les lois arrivées ces dix dernières années ont rendu le tag tellement risqué que bien moins de gens en font et du coup ily en a tout de même nettement moins.
"Dans le système juridique actuel au Japon, c'est le parent qui sera le plus prompt à emmener les enfants avec lui qui en obtient la garde. C'est la loi de la jungle"
Pourquoi il ne faut jamais ô grand jamais chier un gosse avec une japonaise(http://www.aujourdhuilejapon.com/actualites-japon-au-japon-le-droit-parental-et-les-droits-de-l-enfant-sont-bafoues-4952.asp?1=1)
Tres bon article qui resume bien la situation.
J'ai suivi cet echange, et j'avoue que je suis perplexe quant a sa representativite, notamment les horaires de malade et la paye de misere qu'il avait. J'en ai parle un peu autour de moi, et beaucoup sont surpris par un tel degre d'exploitation. A prendre avec des pincettes je pense.
Bref, je pense qu'il faut voir le Japon comme il est: un pays qui offre des opportunités mais pas des chances pour tous les étrangers (il faut venir avec un certain bagage; des compétences particulières et/ou une bonne maîtrise de la langue). Si c'est juste pour pouvoir tenter sa chance à l'étranger, il y a certainement des pays qui offrent plus de chance à l'entrée que le Japon.
Les japonais ne seraient pas si bien organisés au final? :sweatdrop:
No. 1: Innovative remote-controlled TV games (2) --> lire "Wii"
No. 2: Gake no Ue no Ponyo (Ponyo on the Cliff by the Sea) (-) --> "le dernier Ghibli"
No. 3: Digital broadcasting-equipped widescreen flat-panel televisions (5) --> "les TV HD de barakis / pour lesquels les chomeurs en France prennent des crédits COFIDIS sur 20 ans à 35% d'intérêts par mois"
No. 4: Bargain products (private brand products/outlet malls) (-) -->"les soldes quoi"
No. 5: Touch pen portable games (1) --> "= Nintendo DS"
No. 6: 1-SEG compatible devices (6) --> "= Télévision numérique exclusive au tél portable (diff. ISDB-T)"
No. 7: Electronic money (9) --> "le paiement sans contact est très développé au Japon : métro, online shopping (au Japon on eput payer à la livraison)"
No. 8: TV personality’s ranch-produced soft caramels (-) --> "les fameux 生キャラメル/nama-caramel, produit de Hokkaido"
No. 9: Compact digital cameras (4)
No. 10: Eco goods (10)
No. 11: Video-sharing sites (13) --> "Niconico douga et consors"
No. 12: Family discount services for mobile phones (12) --> "les forfaits fami-wari de NTT DoCoMo. Tous les opérateurs s'y sont mis"
No. 13: No sugar, no sweetener, zero-calorie products (-)
No. 14: Beijing 2008 Olympic Games (-)
No. 15: Stupid character TV personalities (-) --> "le o-warai quoi, ya toujours des gros phénomènes, genre Kojima Yoshio en début d'année"
No. 16: Blu-ray Disc recorders (-)
No. 17: Atsuhime (“Princess Atsu”) (-)
No. 18: Soy-based balanced-nutritional products (-)
No. 19: Banana boom (-) --> "ouais les bananes sont trop ninki depuis 5 mois... soit disant parce qu'en manger une le matin fait maigrir"
No. 20: Hōmuresu Chūgakusei (“The Homeless Student”) --> "un film japonais - human dorama"
Les bananes, faire maigrir ??????????????? :sweatdrop:
Tinou m'a encore propose des bananes alors qu'il sait que j'ai HORREUR de ca. Ca tient presque de l'allergie.
Typiquement quand on reste bloqué devant la porte de métro car naturellement on a l'habitude de l'ouverture automatique...
Louis Vuitton backs out of plan for Tokyo flagship store
Wednesday 17th December, 07:23 AM JST
TOKYO —
Louis Vuitton said Tuesday it was dropping plans for a massive flagship store in central Tokyo as the global economic crisis dampens the market for luxury goods. The French luxury brand had planned a 12-floor, 12,000 square-meter store off a major street in Tokyo’s glitzy Ginza district that would rival in size its main shop in Paris.
Louis Vuitton counts on Japan as its most lucrative market with some estimates saying that a third of young Japanese women own handbags or other apparel from the retailer.
A spokeswoman for the local unit, LVJ Group KK, confirmed that an agreement on building the store was off.
Hulic Co, a Japanese real estate firm constructing the building, said it had been set to open in 2010 with Louis Vuitton selling goods throughout almost the entire complex.
“We understand the company canceled the project due to its own conditions,” said a Hulic spokesman. “We will construct the building as scheduled, inviting other tenant candidates.”
The spokesman said the developer was not too concerned about filling the building space thanks to the location but declined to comment whether the company would seek compensation from the luxury handbag company.
French parent LVMH Moet Hennessy-Louis Vuitton said its Japanese sales fell 7% on the year in the nine months ended Sept 30. The company last week announced it would cut prices in Japan.
Japan’s Nomura Equity Research recently estimated that global sales of luxury brands would sink by 4% next year and another 3% in 2010.
Non, je veux vous proposer de jeter un coup d'oeil a ce reportage, sur une ile deserte au Japon d'un genre un peu particulier.
http://gakuranman.com/gunkanjima-ruins-of-a-forbidden-island/
J'ai parcouru les photos en ecoutant le morceau suivant...
http://www.youtube.com/watch?v=dF-dRyoEe0E
Ca prend aux tripes...
Bon, je vous epargnerai le feuilleton politique actuel, avec un Premier Ministre dont le parti s'est pris une veste monumentale aux dernieres elections, car il a eu le malheur (et le courage aussi, tout le monde semble d'accord pour dire que c'est necessaire, y compris la presse) de declarer qu'il fallait augmenter la taxe sur la consommation.
Non, je veux vous proposer de jeter un coup d'oeil a ce reportage, sur une ile deserte au Japon d'un genre un peu particulier.
http://gakuranman.com/gunkanjima-ruins-of-a-forbidden-island/
J'ai parcouru les photos en ecoutant le morceau suivant...
http://www.youtube.com/watch?v=dF-dRyoEe0E
Ca prend aux tripes...
C'est fou comme la dégradation arrive vite en fait... Mais j'imagine que le climat doit y être pour beaucoup : humidité, typhons, etc.
Roppongi
RICHIE HAWTIN Presents PLASTIKMAN LIVE 出演決定!!
エレクトロニック・ダンスミュージックで最も支持されている一人であるリッチー・ホウティンが、遂にあの伝説の別名義で戻ってくる
現代の電子音楽の先駆者の一人でもあるリッチー・ホウティンが、最新技術を用いたビジュアルとインタラクティブなテクノロジーを駆使し、次世代レベルのライヴエレクトロニックパフォーマンスを今年のWOMB ADVENTURE'10で解き放つ!今年3月にドイツ・マンハイムで行われたヨーロッパ屈指のダンスフェスティバル"Timewarp 2010"を皮切りに、慎重に選択された全世界のトップイベントを軸に構成されたPLASTIKMAN名義の初のLIVEワールドツアーの今年最後のパフォーマンスとして、WOMB ADVENTURE '10での出演が決定した!
Ah oui la fameuse île au large de Nagasaki, construite en majorité je crois par des coréens ou descendants de coréens "importés" de Corée pendant l'annexion japonaise.Citation de Kamen le 14 Juillet 2010 à 23:30 Bon, je vous epargnerai le feuilleton politique actuel, avec un Premier Ministre dont le parti s'est pris une veste monumentale aux dernieres elections, car il a eu le malheur (et le courage aussi, tout le monde semble d'accord pour dire que c'est necessaire, y compris la presse) de declarer qu'il fallait augmenter la taxe sur la consommation.
Non, je veux vous proposer de jeter un coup d'oeil a ce reportage, sur une ile deserte au Japon d'un genre un peu particulier.
http://gakuranman.com/gunkanjima-ruins-of-a-forbidden-island/
J'ai parcouru les photos en ecoutant le morceau suivant...
http://www.youtube.com/watch?v=dF-dRyoEe0E
Ca prend aux tripes...
C'est fou comme la dégradation arrive vite en fait... Mais j'imagine que le climat doit y être pour beaucoup : humidité, typhons, etc.
du coup je viens de lire ça(http://voyages.ideoz.fr/roppongi-shibuya-guide-tokyo/) ^^Citation de tinou le 30 Septembre 2010 à 17:36 Roppongi
C'est bien sinon comme boite le Womb ? C'est plutôt connu et j'ai pas mal de sets de dj super connus qui viennent de là.
En tout cas il ne faut pas rater ça sauf si c'est déjà passé:
(j'étais à la Timewap 2010 dont ils parlent)Un bon site pour les soirées avec de la bonne techno à Tokyo ou partout dans le monde:Citation RICHIE HAWTIN Presents PLASTIKMAN LIVE 出演決定!!
エレクトロニック・ダンスミュージックで最も支持されている一人であるリッチー・ホウティンが、遂にあの伝説の別名義で戻ってくる
現代の電子音楽の先駆者の一人でもあるリッチー・ホウティンが、最新技術を用いたビジュアルとインタラクティブなテクノロジーを駆使し、次世代レベルのライヴエレクトロニックパフォーマンスを今年のWOMB ADVENTURE'10で解き放つ!今年3月にドイツ・マンハイムで行われたヨーロッパ屈指のダンスフェスティバル"Timewarp 2010"を皮切りに、慎重に選択された全世界のトップイベントを軸に構成されたPLASTIKMAN名義の初のLIVEワールドツアーの今年最後のパフォーマンスとして、WOMB ADVENTURE '10での出演が決定した!
http://www.residentadvisor.net/events.aspx?ai=27&v=week&mn=10&yr=2010&dy=14
(http://media.riemurasia.net/albumit/mmedia/4x/gg/w9bm/253758/794541220.jpg)
Chez nous, on a bien des cons qui détestent les Allemands en ayant, pour beaucoup, même pas connu la guerre. En gros, ça n'a guère à voir avec les Américains...pour une grande part, les Humains sont des sous-merdes. :bah:
Dans ta voiture tu as combien de roue de secours ?
Dans ta voiture tu as combien de litre de secours en liquide de refroidissements ?
Dans ta voiture tu as combien d'ampoules de rechanges pour tes phares ?
Allez on change.
Dans ton appart/maison tu as combien de bouteilles de gaz de rechanges
Dans ton appart/maison tu as combien de portes fusibles/disjoncteur de rechanges
Dans ton appart/maison tu as combien de litre d'eau de reserves.
Bref les scénarios catastrophe ne sont pas prévisible. Et les centrales ne sont pas imaginé tombé en rade. En 40 ans combien de centrale Jap ou autres sont tombé en rade (hormis 3 Island et Tcherno) ? Ca sert à quoi de faire du stock de produit que tu n'utiliseras pas ?
Les centrales sont faites pour fonctionner non être en panne.
Là c'est une loi de murphy que personne pouvait prevoir.
Mais là tu aurais pu prevoir un seisme de tel magnitude avec une vague de tel hauteur ? Pour ma part non car le premier seisme tsunami que j'ai entendu a été celui de thailande. Et des precautions ont été prises mais qui aurait pu penser que la vague aurait une telle puissance. Tu ne peux pas le prevoir. Et désolé là on entre dans l'économique mais dépenser des millards sans savoir ou on va ce n'est pas possible. Tu peux pas construire quelque chose avec des si.
à Tokyo visiblement.
l'existence même du pays étant due à une grosse faille tectonique qui bouge de partout, c'est si difficile à prévoir que tôt ou tard ça va péter? Et même moi je le sais que séisme dans l'eau = tsunami, le japon étant une île et non un gros continent, à chaque séisme ils ont toutes les chances que l'épicentre soit dans la flotte et leur arrose la gueule
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ZUzBvxdnCFM
Pour les japonisants, les risques nucléaires expliqués aux enfants de 4 ans, à base de gros popo et de prouts. Édifiant. :p
Dans ta voiture tu as combien de roue de secours ?
Dans ta voiture tu as combien de litre de secours en liquide de refroidissements ?
Dans ta voiture tu as combien d'ampoules de rechanges pour tes phares ?
Allez on change.
Dans ton appart/maison tu as combien de bouteilles de gaz de rechanges
Dans ton appart/maison tu as combien de portes fusibles/disjoncteur de rechanges
Dans ton appart/maison tu as combien de litre d'eau de reserves.
Bref les scénarios catastrophe ne sont pas prévisible. Et les centrales ne sont pas imaginé tombé en rade. En 40 ans combien de centrale Jap ou autres sont tombé en rade (hormis 3 Island et Tcherno) ? Ca sert à quoi de faire du stock de produit que tu n'utiliseras pas ?
Les centrales sont faites pour fonctionner non être en panne.
Là c'est une loi de murphy que personne pouvait prevoir.
Moi, de ce que j'en vois (au vu des éléments publics à ce jour):
- Les centrales ont résisté au tremblement de terre. Donc sur ce point-là, ça semble OK
- Les systèmes de refroidissement ont été interrompus par le raz-de-marée. Là, il y a une erreur de conception dangereuse.
Donc, soit on arrive à concevoir des systèmes de refroidissement résistants à ce type de problème, ou alors on ne peut pas considérer le nucléaire comme sûr.
En tout cas pour se genre de probleme c'est mieux de discuter entre personne qui s'y connaisse un minima plutot que de citer les journaux qui ne vendent que de la peur pour faire du sensationnel.
Mais bon laissons la technos de coté c'est trop dangereux et repartons faire du troc.
Je suis désolé de tiquer comme une "mouche" mais c'est ce genre de discours qui par moment me débectent quand tout le monde parle en prechant la verité. De mon coté je suis une bille en info et juridique et je laisse parler d'autre personne car ce n'est pas mon rayon.
Le btp j'en ai assez bouffé pour avoir en connaitre un minima. Et là je me dis dommage que Joe ne soit pas là il aurait mis tout a plat. Car "the mister" est the mister en normes sismique.
Le btp j'en ai assez bouffé pour avoir en connaitre un minima. Et là je me dis dommage que Joe ne soit pas là il aurait mis tout a plat. Car "the mister" est the mister en normes sismique.
Je rejoins quand même squeeky sur le côté non prévisible des choses, c'est beaucoup plus simple à des milliers de kilometres et avec le recul de se dire "pourquoi ceci, pourquoi cela ?" Durant toutes les années où tout s'est déroulé sans problèmes on est combien à s'être posé la question sur les normes, l'emplacement et ce qui pourrait arriver en cas de problèmes ? Sur le forum pas beaucoup je crois...
D'ailleurs même en voyant d'un bon oeil le fait que les centrales soient sur des bords de mer d'un point de vue humain on est combien à se demander qu'elles vont être les répercussions sur la faune marine ?
Parce que là dans le cas présent, si nuage radioactif et qu'il se barre tranquillou sur le pacifique ca va être une sacré merde pour les poissons et la faune marine... :bye:
Sauf que voilà la réalité c'est que les centrales nucléaires pour un pays développés y'en a besoin et y'a pas réellement d'énergie de substitution "écolo" qui permet de pallier à ca ( même si tout le monde était équipé pour l'énergie solaire ca demanderait quand même des centrales nucléaires derrière pour pallier les manques et quand bien même on pourrait bouger à ON/OFF avec pour les durées de palliation ca ferait autant voire plus de mal à l'écologie )
Bref quand on ne sait pas on dit rien...Citation de MCL80 le 18 Mars 2011 à 19:13 Moi, de ce que j'en vois (au vu des éléments publics à ce jour):
- Les centrales ont résisté au tremblement de terre. Donc sur ce point-là, ça semble OK
- Les systèmes de refroidissement ont été interrompus par le raz-de-marée. Là, il y a une erreur de conception dangereuse.
Donc, soit on arrive à concevoir des systèmes de refroidissement résistants à ce type de problème, ou alors on ne peut pas considérer le nucléaire comme sûr.
Pour le second point rien n'a lacher le systeme de refroidissment n'a fait l'objet d'aucune defaillance, une fois les generateurs diesel inondés, la centrale a fonctionné sur générateurs internes pendant 8 heures mais comme la zone est resté inondé, impossible de remettre en marche les générateurs d'où le début des problèmes !
En tout cas pour se genre de probleme c'est mieux de discuter entre personne qui s'y connaisse un minima plutot que de citer les journaux qui ne vendent que de la peur pour faire du sensationnel.
Aucune défaillance juste un manque de chance.
Richie Hawtin leads Minus mission to Japan to support return of tourism to the country
Citation Révélations sur la crise de Fukushima Daiichi
18.05.2011
La compagnie électrique Tepco a finalement reconnu que les barres de combustibles du réacteur numéro 1 avaient fondu seulement cinq heures et demie après le tsunami. Et des éléments de preuves, provenants de sources internes à Tepco mais pas encore officialisées, indiquent que les réacteurs 2 et 3 également ont fondu, le numéro 3 s'étant même effondré dans sa cuve. "Cela remet en cause la gestion de crise de l'opérateur, qui a hésité à utiliser l'eau de mer pour refroidir les réacteurs", estime l'Asahi Shimbun. Tepco avait jusqu'ici affirmé que seulement 55 % du combustible d'un même réacteur étaient endommagés, mais il admet désormais que le cœur du réacteur numéro 1 a finalement complètement fondu pour former du corium, ce qui implique une forte détérioration de la cuve contenant cette matière en fusion. Cela explique aussi que de l'eau radioactive s'en échappe massivement. Mis à part les réactions d'internautes qui laissent éclater leur colère sur la Toile, l'essentiel de la population reste calme. "Si cette information avait été donnée une ou deux semaines après le séisme, beaucoup de personnes auraient certainement fuit. Mais à force d'être sans cesse exposé à des nouvelles inquiétantes concernant l'accident de Fukushima, les Japonais ont peut-être fini par y devenir insensibles", analyse le Sankei Shimbun.
Je suis alle a une piscine en plein air a Shiba Koen pres de la Tokyo Tower aujourdhui. Que des mecs en minislip!!! On voyait des raies... Malgre les panneaux d'affichage interdisant les maillots trop exposants... Strings interdits, mais les slip 8 ans, ca montrait limite plus! Jai jamais vu des mecs aussi bronzes a tokyo...
Et des familles de francais expats qui ramenent leurs petit Jean-Thibaud et Marie-Constance pour nager....
Ah, j'oubliais, la vie de famille de ce brave monsieur n'est jamais évoquée. S'il a eu une épouse, il est à espérer pour son épanouissement personnel qu'elle aura pris l'option du divorce. Elle n'aura toutefois pas privilégié la stabilité financière, puisque j'ai découvert que depuis quelques années, une ex-épouse a des droits financiers sur la retraite de son mari : élever desanimauxenfants (mari inclus), c'est un métier qui mérite sa juste rétribution.
Ben la femme, elle s'est pris un amant (ou une amante selon ses goûts), vu comme Monsieur rentre très tard, elle a une vie très épanouie. :mrgreen:Citation de Kamen le 4 Janvier 2012 à 16:17 Ah, j'oubliais, la vie de famille de ce brave monsieur n'est jamais évoquée. S'il a eu une épouse, il est à espérer pour son épanouissement personnel qu'elle aura pris l'option du divorce. Elle n'aura toutefois pas privilégié la stabilité financière, puisque j'ai découvert que depuis quelques années, une ex-épouse a des droits financiers sur la retraite de son mari : élever desanimauxenfants (mari inclus), c'est un métier qui mérite sa juste rétribution.
http://kotaku.com/5900234/jean-reno-makes-a-great-anime-cat/gallery/1
Apparemment, après Jean Réno, les japs sont à nouveau fans des Français mais pour tout autre chose :oo:(http://www.gameblog.fr/blogs/omake/p_64234_les-france-five-a-la-tele-japonaise)...
TV: no longer the drug of the people
By PHILIP BRASOR
Last week, Japan's fifth largest discount electronics retailer, Bic Camera, announced it would soon obtain a 50 percent share of Japan's sixth-largest discount electronics retailer, Kojima, thus making the combined companies Japan's second-largest electronics retailer. Bic operates 34 stores in large cities while Kojima has about 200 in the suburbs. The deal would give the combined companies greater leverage to negotiate lower prices with manufacturers.
That sounds like good news for consumers, but it's also a clear indication of how desperate the home-electronics situation is. The record losses recently reported by Sony and Panasonic for fiscal 2011 were worthy of front-page headlines in overseas newspapers. Sharp is also swimming in red ink. The company saw a 30 percent decline in year-on-year sales due to sluggish demand for liquid crystal displays in Japan, thus forcing it to accept investment help from a Taiwanese company, but even with that Sharp has already predicted a deficit of ¥30 billion for fiscal 2012.
What these three companies, whose combined losses total ¥1.6 trillion, have in common is that they still have a lot invested in TV set production. Hitachi, which announced in January that it is abandoning TV sets, made a profit thanks to the sale of its hard disk division. Likewise, Toshiba has closed its TV manufacturing operations in Japan.
The average consumer may be confused. A year ago the airwaves were filled with commercials for TV sets. Every company that made them carried out saturation advertising to attract the cross-section of the public that had yet to buy new equipment for the switchover from analog to digital broadcasts. The industry had already seen sales drop following the end of the government eco point system, which subsidized sales of energy-saving electronics. Even before the changeover was completed in July, the March 11 disaster had postponed digitalization in the Tohoku region so there was still a market for TV sales there, but that window has since closed. 3-D TV, which last summer was being sold as the next must-have device, died as soon as it was born.
According to a May 12 editorial in the Tokyo Shimbun, Japanese consumer-electronics companies were on top of the world at the dawn of the 1990s because of their cutting-edge technology. Hubris blinded them to the necessity of changing their methods with the coming dominance of digital. When they controlled the technology, they controlled the related manufacturing, since skilled workers were needed to produce the vanguard products everyone in the world wanted. That meant factories could remain in Japan, where the skilled workers were.
Digital technology is characterized by cheaper parts and a more schematic assembly process, which means factories can be built anywhere since fewer skilled workers are needed. Japanese manufacturers were slow to adapt, and once digital became the norm, competitors offered merchandise that was comparable in quality to Japanese products. Japan developed plasma and liquid crystal TV displays, but Korean and Taiwanese makers sold them at much lower prices and quickly dominated the world market.
The other problem, and one unique to Japan, is that there are just too many major electronics companies, especially with a shrinking domestic market. Last year ¥320 trillion worth of consumer electronics was sold throughout the world. That market is estimated to expand to ¥450 trillion by 2020. Japan's deteriorating competitiveness overseas is considered a serious problem back home. The only thing these companies can do to survive is tighten their belts even more, and that means buyouts, mergers or partnerships. Sony and Panasonic just announced they'd cooperate on the next generation organic LED display, a move that would have been unheard of five years ago. Korean makers plan to have an affordable OLED on the North American market by the end of the year. Sony developed the first OLED in 2007, but it was too expensive for consumers. If it teams up with Panasonic, it can save time and money and have an affordable one out by 2015.
The obvious question is: Why the obsession with TV sets? According to Tokyo Shimbun, the television is the "face" of consumer electronics, the possession that makes the biggest impression in the home, the one that sits like a Buddha in the living room. It defines the brand; or at least it used to. Everyone knows that the main reason the domestic market is shrinking is that the population is, too. People don't need to buy TVs that often in the first place, but the reasons for owning one are also becoming less compelling. This column occasionally discusses how broadcasters have programmed themselves into irrelevance with shows that are barely distinguishable from one another, but the problem goes deeper.
Browsing the comments related to "TV" on the 2channel message board, you find complaints about how much trouble it is to hook up antennas, make contracts with cable companies and access broadcast satellite signals. And though many commenters conclude that it isn't worth it because, as one person put it, "all you get is boring comedians," the overriding sentiment is that the conventional TV relationship of an overlord provider (stations and producers) and a passive receiver (viewers) is obsolete. Commenters also grouse that it's difficult to use the Internet on regular TVs. They don't even like big screens. Their laptops are big enough; for that matter, so are their phones.
It's a generational issue, which is why so many TV commercials target older people. Even mobile game providers, which have become the biggest net TV ad buyers and would seem to appeal to a younger demographic, have been using those ads to get older consumers on board the gaming bandwagon. That makes it even more essential for domestic TV makers to concentrate on overseas markets. They sure can't count on Japan's.
For Japanese job seekers, overseas study can be deal killer
Ronan Sato, a graduate student in applied statistics at Oxford University in England, has always been keen to work in his native Japan. But at a careers fair for overseas Japanese students, he found that corporate Japan did not reciprocate his enthusiasm.
In meetings with a handful of Japanese financial trading firms at the forum in Boston last November, none would offer him a job without further interviews in Tokyo.
So Sato, who received three offers on the spot from non-Japanese corporations, accepted a position in Tokyo with a big British bank.
“I really wanted to gain experience at a Japanese company, but they seemed cautious,” Sato said. “Do Japanese companies really want global talent? It seemed to me like they’re not really serious.”
Notoriously insular, corporate Japan has long been wary of embracing Western-educated compatriots who return to the homeland. But critics say the reluctance to tap the international experience of these young people is a growing problem for Japan as some of its major industries — like banking, consumer electronics and automobiles — lose ground in an increasingly global economy.
Discouraged by their career prospects if they study abroad, even at elite universities, a shrinking portion of Japanese college students is seeking a Western education. At the same time, regional rivals like China, South Korea and India are sending increasing numbers of students overseas — many of whom, upon graduation, are snapped up by companies back home for their skills, contacts and global outlooks.
“Japanese companies here are missing out on the best foreign talent, and it’s all their fault,” said Toshihiko Irisumi, a graduate of the University of Chicago Booth School of Business and former Goldman Sachs banker. He runs Alpha Leaders, a Tokyo-based consulting firm that helps match top young talent with employers based in Japan. “They really need to change their mindset.”
A United States-born graduate of Brown University who has a dual citizenship in Japan, one of about a dozen foreign-educated Japanese nationals interviewed for this article, said she was told she “laughed too much” in interviews for a technology job in Tokyo.
Others with Western educations recall being treated with suspicion by Japanese recruiters, who referred to them openly as “over spec” — too elite to fit in, too eager to get ahead and too likely to be poached or to switch employers before long.
What is more, Japanese students who study overseas often find that by the time they enter the job hunt back home, they are far behind compatriots who have already contacted as many as 100 companies and received help from extensive alumni networks. And those who spend too long overseas find they are shut out by rigid age preferences for graduates no older than their mid-20s.
In a survey of 1,000 Japanese companies taken last June on their recruitment plans for the March 2012 fiscal year by the Tokyo-based recruitment company Disco, fewer than a quarter said they planned to hire Japanese applicants who had studied abroad. Even among top companies with more than a thousand employees, less than 40 percent said they wanted to hire Japanese with overseas education. That attitude might help explain why, even as the number of Japanese enrolled in college has held steady at around 3 million in recent years, the number studying abroad has declined from a peak of nearly 83,000 in 2004 to fewer than 60,000 in 2009 — the most recent year for which the figures are available from the Organization for Economic Cooperation and Development.
In some ways, the Japanese snubbing of Western graduates is a testament to the perceived strength of their own universities, seen by many here as more prestigious than even the best U.S. and European schools — despite their mediocre showing in various global college rankings.
At U.S. universities, only 21,290 Japanese students were registered last year, less than half the number a decade ago. U.S. universities last year had 73,350 students from South Korea, even though it has less than half of Japan’s population,
“There is an awareness that Japan’s competitiveness is falling, and we need a more global workforce,” said Kazunori Masugo, head of the Senri International School in western Japan and a member of a central government committee on education and training. Lessons at Senri are taught mostly in English and the school sends a handful of students to colleges in the United States and Europe each year.
“But the environment in Japan is such that if you go overseas to study, you have to be prepared to go your own route, find your own way,” he said.
Ryutaro Sakamoto, who paid his way through the University of Toronto and returned to Japan at age 30 with a business degree, found he was too old to apply through standard recruitment programs. He sent resumes to the likes of Panasonic and Sony, anyway, but never heard back. Eventually, the Japanese unit of the U.S. insurance company Prudential was happy to put his bilingual skills to use.
“In Japan, taking the time to study overseas sets you back in the shukatsu race,” Sakamoto said.
“Shukatsu” refers to the system in which Japanese companies typically hire the bulk of their workers straight from college and expect them to stay until retirement. Not getting a job upon graduation is seen as a potential career killer.
So competition is fierce. In the last three years, the percentage of new graduates in Japan who found work was the lowest since the government started collecting comparable data in 1996. As of Feb. 1, with two months left in the recruiting season, a fifth of students in their final year at college had yet to find jobs.
“Shukatsu is like Kabuki theater,” said Takayuki Matsumoto, an Osaka-based career consultant. “It’s difficult when you don’t fit the template.”
His advice to returnees: Don’t be too assertive or ask too many questions.
Kenta Koga, one of only a handful of Japanese undergraduates to enter Yale in 2010, violated many of the unwritten rules when he came back last summer for an internship at a big Japanese advertising agency in Tokyo. As he made client rounds with his boss, who was advising on the latest trends in technology or social media, Koga, a computer science major, felt the urge to speak up.
“Some of what they were discussing was old or plain wrong,” he said. But he was careful to steep his language in the appropriate honorifics reserved for elders. “I’m terribly sorry to interrupt,” he said he would murmur. “My deepest apologies if you already knew this.”
Still, his supervisors were annoyed. “You are being too scary and preventing other people from speaking,” one boss said, according to Koga. On another occasion, he said, he was censured for crossing his arms in front of senior colleagues. He was eventually excluded from meetings and assigned seemingly dead-end tasks. He now says he would never work for a Japanese company.
Some Japanese companies have made a point of reaching out to returnees. U-Shin, an auto parts maker, attracted attention in February when it placed a prominent ad in Japan’s largest business daily offering twice the normal starting pay to candidates with overseas degrees.
“We plan to expand aggressively overseas, so we need recruits who were themselves bold enough to go overseas,” said Koji Tanabe, U-Shin’s chief executive.
But U-Shin seems the rare exception. The Japanese financial giant Bank of Tokyo-Mitsubishi more closely fits the norm. Each year, it hires about 1,200 fresh graduates. Usually, fewer than 20 have studied overseas or are non-Japanese, said Keiichi Hotta, a recruiter for the bank.
Hotta said careers were built differently in the West. “We’re cautious because we emphasize continuity and long-term commitment to the company,” Hotta said. “Especially in finance, we don’t want people who are focused on short-term gains.”
No wonder some returnees play down their exposure to Western ways. Norihiro Yonezawa, who studied for a year at the University of Maryland, said he did not emphasize his overseas experience or English skills when he interviewed — successfully — for a coveted job at Panasonic.
“I didn’t want to come across as a showoff. So I stressed how I worked hard and overcame that,” he said. “And I made sure to emphasize that I would still fit in.”
Manjiro, patron saint of eikaiwa, watches over English teachers
It can be tough teaching English in Japan. The chain school grind of late hours, noisy kids and boring middle-aged office workers takes its toll. Uppity teachers at public schools treat ALTs with contempt and all English instructors feel the humiliation of being looked down upon by their foreigner brethren who don't teach.
News photo
The money isn't there anymore either; the gravy train has derailed. The days when backpackers and graduates fresh off the plane could step right into well-paying jobs are long gone. Wages everywhere, from mom-and-pop schools to universities, are in steady decline as speed-learning CDs, Skype lessons from teachers in developing countries and outsourcing spread.
But no matter how bad things get, English teachers can take heart in the little-known fact that they have a de facto patron saint watching over them. John Manjiro, also known as John Mung and Manjiro Nakahama, one of the coolest figures from Japan's past, paved the way for English teachers in Japan today, and they can hold their heads high and take pride in their profession knowing they are following in the footsteps of this pioneer.
While an American named Ranald MacDonald (no, really) is credited with being the first to ever teach English in Japan, Manjiro is the archetype of the eikaiwa sensei. He introduced the alphabet song to Japan, made the first poster explaining the pronunciation of the ABCs in katakana and taught English to some of the architects of the Meiji Revolution.
There are few from Japan's past more colorful than the swashbuckling Manjiro. His extraordinary tale begins in 1841, when he was shipwrecked on a deserted island in the Pacific while fishing off the coast of Shikoku. Manjiro and his four friends survived for 143 days until an American whaling ship rescued them.
As English teachers today awe students with their suave and debonair ways, Manjiro impressed the ship's captain, William Whitfield, with his intelligence and resourcefulness. Like kindly Japanese who take young foreigners under their wing, Whitfield adopted the 14-year-old Manjiro and, after dropping the other castaways off in Hawaii, took him back to Massachusetts and provided him with an education.
Manjiro encountered a myriad of items in America unknown to the Japanese at that time, including daguerreotype cameras, gimlets and violins — in much the same way as foreigners new to Japan come across wonders like toilets with heated seats and bidets, talking vending machines and street lights that chirp.
Manjiro had many new experiences in America — he ate beef steak and bread, wore Western clothes and was the first Japanese to ride a locomotive — much like many wide-eyed foreigners today navigate subway systems, sample octopus sushi and bow in greeting for the first time in Japan.
Manjiro excelled in America, learning English, apprenticing as a barrel maker and mastering navigation, later joining the crew of a whaling ship and receiving an equal share of the ship's profits — much more than he ever would have earned in Shikoku. English teachers doing better than they were digging ditches or frying chips back home can surely identify with Manjiro's good fortune.
Like ambitious English teachers who teach private lessons in coffee shops on the side, Manjiro was restless and not satisfied with his newfound success in America. He went to California to join the Gold Rush, striking it rich and earning the enormous sum of $600.
Manjiro put his newfound wealth to good use, deciding to return to Japan. First, however, he headed to Hawaii to pick up his mates, persuading two of them — one had died and another wanted to stay — to come with him. Offering his labor for passage to an American captain, the trio set sail, finally returning to Japan via Okinawa after 10 years abroad.
Manjiro was not welcomed home with open arms, however — a reception that some English teachers experience on their return to their native countries. Japan was still under the sakoku closed country policy, under which foreigners were not allowed to enter and Japanese were forbidden to leave on penalty of death. Manjiro and his friends were viewed with suspicion, thought to be spies and imprisoned in Nagasaki.
Fortunately the three were able to provide a credible account of their shipwreck and time overseas and prove they had not adopted the prohibited Christian religion by performing fumie, or stepping on Christian images. Manjiro attended church services while living in New England but it is unknown how religious he actually was. Eventually Manjiro and his shipmates were allowed to return to their native Tosa in modern-day Kochi on the condition that they wouldn't leave the area or engage in any work related to the sea.
Manjiro was reunited with his mother and extended family and hoped to finally settle down, but just as English teachers are needed today to help Japan compete globally, Manjiro was called upon by his country to teach English and foreign relations to young samurai and translate when Commodore Perry's Black Ships came knocking. Manjiro's services were in such high demand that he achieved the unheard-of promotion from commoner to samurai, much like foreign teachers that were nobodies before coming to Japan but are now addressed as sensei.
Manjiro taught Japan's ruling class about the U.S. economic, education and political systems, just like English teachers today give captains of industry tips on the global economy and share investment strategies with elite bankers. A world map drawn by an Englishman that Manjiro brought back with him was the most accurate and detailed the Japanese had ever seen, and the shipbuilding and coastal defense knowledge he imparted was invaluable.
However, samurai born into the rank were jealous of Manjiro's new status, and plotted against him, prompting him to return to the safety of Tosa. (Not unlike the way "real" university professors look down on nontenured foreign professors in the English department who learn to keep to themselves.)
Manjiro likely would not have had many choices for female companionship had he remained a poor fisherman, but he ended up marrying three times and fathering seven children, setting the stage for generations of foreign men who went dateless at home before becoming teachers but then find themselves the objects of desire of impressionable Japanese women.
Manjiro was an unsung hero of 19th-century Japan, his story mostly ignored and his contributions to his country largely unappreciated, much like English teachers whose efforts go unrecognized and meagerly awarded. Manjiro taught Yukichi Fukuzawa — the founder of Keio University, whose picture is on the ¥10,000 bill — how to speak English. Fukuzawa contributed greatly to the modernization of Japan, was a strong promoter of democracy and was the first to translate the Declaration of Independence and the U.S. Constitution into Japanese.
Similar to English teachers who prove to their students that foreigners aren't all that bad, Manjiro's writings convinced Ryoma Sakamoto — who was instrumental in overthrowing the Tokugawa Shogunate and ushering in the Meiji Era — to convert from a xenophobic nationalist into a supporter of opening up Japan to the outside world. It is believed Manjiro's descriptions of American democracy influenced Sakamoto, who advocated for a new Japanese government with a national assembly.
In 1860 Manjiro, serving as an official translator, sailed to San Francisco with Fukuzawa as a member of Japan's second delegation to the U.S. aboard the Kanrin Maru, the first Japanese ship ever to cross the Pacific. A student of Manjiro's in Kochi, Yataro Iwasaki, founded a maritime transport company that went on to become Mitsubishi.
Most Japanese got their first glimpse of Manjiro after a book was written about him in 1938 in which he was called by his adopted Western name for the first time. The book was popular and the name stuck, and if you mention John Manjiro today, many Japanese will say that he was clever because he was able to communicate with foreigners by using katakana, famously saying wara for water.
Manjiro struggled with being viewed as an outsider — like foreigners in Japan who will never be accepted as equals by the Japanese no matter how long they live here, how many kanji they learn and how much fish they eat — but he took it in stride. Manjiro also retained some of the habits he picked up living abroad, such as drinking coffee instead of tea every morning, just as some long-term foreign Japan residents still prefer a shower in the morning to the Japanese custom of a bath at night.
Foreign English teachers and folks everywhere can be inspired by John Manjiro, who proved that average people can do great things in the face of overwhelming odds by persevering, using their wits and being tactful. Intrepid foreign pedagogues who stick it out for the long haul in Japan could even achieve the success that Manjiro eventually did and become university professors like him (provided they abandon any hopes of ever being tenured).
Citation Gacha Watch: Japan’s Social Game Industry Shifts Gears After Government Crackdown
By Daniel FeitEmail Author05.22.12 12:29 PM
Japan’s social game makers are tweaking many of their top-grossing titles following a government ban on “complete gacha” sales tactics.
The country’s Consumer Affairs Agency said last week that the virtual games of chance will be considered illegal and subject to legal action effective July 1.
“We wish to alert businesses and consumers that we have decided, in accordance with the Act against Unjustifiable Premiums and Misleading Representations, that ‘complete gacha’ sales are illegal,” Minister of State for Consumer Affairs and Food Safety Jin Matsubara announced in a press conference on Friday.
Matsubara made it clear that the agency was breaking new ground, noting that this was the first time this law was being applied to virtual goods sold online.
“Gacha”-style sales, named after the Japanese word for toy vending machines, are only one of a number of microtransaction models used in social games. The “complete gacha” system that has been banned offers rare prizes to players who complete a set of items through random drawings. It is this aspect of the service that the agency deemed illegal, not the selling of random virtual goods per se.
The move also bans “bingo gacha,” a similar practice in which players try to fill bingo cards through random purchases, according to coverage in the Yomiuri Shimbun.
Japan’s largest social game companies have already decided to drop all “complete gacha” sales by the end of May, well in advance of the government deadline.
With the self-imposed ban already taking effect around the industry, games are beginning to introduce similar sales mechanics that fall on the right side of the law. Shin Sengoku BUSTER by KLab now offers players a 1,000-yen ($13) gacha game in which collecting a full set of 10 cards earns a special rare card, according to Japanese blog ITmedia.
The key modification is that it takes exactly 10 purchases to win the rare card. This small tweak is enough to circumvent the ban.
Other games have removed the “complete” aspect entirely — to the chagrin of some users.
Gundam Card Collection by Namco Bandai now offers ultra-rare cards as random prizes rather than as a reward for winning particular cards. Users are complaining they now have no idea whether or not they are getting closer to winning an ultra-rare card, with one reportedly spending 75,000 yen ($942) to no avail.
Gree, one of six publishers making the joint decision earlier this month, said it did so “in the interests of improving the content of its services for users,” not because of any “infringement of current Japanese legislation.” Gamemakers such as Konami and Namco Bandai quickly followed suit.
Prior to the official ruling, the Yomiuri spoke to an anonymous programmer working at a social game developer in Tokyo’s Minato ward who laid out how important the controversial “complete gacha” sales tactic is to the business model.
“Whether it’s a good game depends on how much you can make a player buy virtual items,” the 30-year-old man told the paper.
“The key is making ‘haijin kakinsha’ players use the game,” he said, using a Japanese slang term for players hooked on online computer games. These big spenders can run through tens of thousands of yen in a month.
“It’s our goal to make more than 10 percent of all gamers spend money,” he continued. “It’s important to keep their spending within certain bounds, since they may not come back to the game if we squeeze too much out of them.”
To that end, the company (which is not named) sends the programmer data every hour with notes such as “Sales are down” or “User counts are too low.” He then changes parameters on the fly, for example, lowering the price of a 300 yen item to 100 yen (about $1.26).
“It’s all about figures,” he says. Online feedback is also monitored and changes can be made to reflect complaints. When too many users say they can’t get the last card in a set, he makes it easier to win.
What of the so-called “haijin” addicts who play these games? Yomiuri talked to a 27-year-old Tokyo office worker about her experience. She started playing social games in April 2010, at first for free, but later she started spending on rare items. It took her less than a minute to spend 3,000 yen ($38).
In total, she said she had spent about 500,000 yen ($6,281) on this “free” game.
Tu veux savoir quoi exactement? Pratique de l'équitation au Japon (comparé à la France)? Est-ce qu'au Japon c'est aussi le sport girly par excellence (sauf une fois arrivé en pro)? La kawaiitude du cheval dans l'esprit japonais? Les courses (keiba)?
Oulalala ça frôle l'incident diplomatique ça ma bonne dame...(http://kotaku.com/5934885/the-avengers-tagline-stirs-up-controversy-in-japan) :harhar:
Les personnes tatouees ou en relation avec des organisations criminelles sont interdites de baignade.
(Si l'une d'entre etait surprise a se baigner, nous nous reservons le droit de l'expulser sans tarder).
La direction
Avec mon tatoo dans le dos on m'a refusé l’accès à une piscine lors de mon passage éclair en 2010 :sleeping:
Depuis 2009 je crois, les personnes tatouees sont interdites dans les saunas et les piscines. Cela a commence des 2007. L'une des tartufferies liees a la loi anti-crime organise, puisqu'elle frappe n'importe quelle personne tatouee sans discrimination. Typiquement, Akira avait un tatouage a chaque cheville (truc impossible chez un Yakuza : ils font d'abord les bras et surtout le dos) : il devait mettre des pansements pour les cacher lorsque nous allions a la piscine ou a l'Aqualand. J'ai vu un occidental devoir faire la meme chose pour celui qu'il avait sur le bras. Or, Yakuza et mixite... :sweatdrop:Citation Les personnes tatouees ou en relation avec des organisations criminelles sont interdites de baignade.
(Si l'une d'entre etait surprise a se baigner, nous nous reservons le droit de l'expulser sans tarder).
La direction
Citation JAPON • Ces Japonais qui ne veulent plus être des hommes
Etouffés par les conventions liées à la condition masculine, certains prennent plaisir à se travestir en dehors de leur temps de travail. Pourtant ils se disent hétérosexuels.
Mainichi Shimbun | Atsuko Suzuki | 15 mai 2013
Je hais les costards ! Je les hais plus que tout !” Une bourgeoise de quartier résidentiel, paraissant la quarantaine, ne s’arrêtait pas de parler. Elle était vêtue d’un pull rose pâle et d’une jupe droite, et une longue chaîne se balançait sur sa poitrine.
“J’en porte quand même un pour aller au bureau, je suis bien obligé. J’ai des subordonnés. Un chef dans cette tenue n’aurait aucune crédibilité !”
C’était en réalité un homme. Il participait à une soirée, organisée une fois par mois à Tokyo, rassemblant des hommes qui se travestissent. Ils étaient 350 cette nuit-là et, de tous, c’est à lui que j’ai eu le plus envie de parler.
Tout en refusant de me montrer sa carte d’identité professionnelle, il m’a expliqué qu’il gagnait plus de 10 millions de yens [77 500 euros] par an comme cadre dans un secteur prestigieux. Il était mince et mesurait environ 1,65 m. De près, on pouvait apercevoir une barbe naissante. Sa voix le trahissait de temps en temps, il forçait sur ses cordes vocales. “Quand je porte un complet, je me contrains, me précisa-t-il. J’aime mon travail, mais je veux me sentir libéré au moins les jours de repos. Je garde toujours mon air sérieux au bureau, alors tant qu’à faire je veux m’éclater à être une femme sans retenue !” Il ne cherche cependant pas à devenir une femme. “Je préfère être père. Etre mère suppose des tas de désagréments…”
Il n’a pas de tendance homosexuelle et pour lui le travestissement n’est rien d’autre qu’un hobby. Marié, il a même un fils. Son épouse l’autorise à se travestir, trouvant cela “plus supportable que d’être trompée”. “Je bosse dur, je gagne de l’argent et le rapporte à la maison. C’est pour ça que je peux faire ce qui me plaît”, dit-il.
Se tranvestir, un plaisir
Récemment, des Japonais ont commencé à se métamorphoser en femmes en se maquillant et en s’affublant de beaux vêtements. Ces hommes, qu’on appelle “otoko no ko” [jeunes filles-garçons], ne souffrent pas pour autant de trouble de l’identité sexuelle, mais prennent plaisir à se travestir. En cherchant à comprendre leurs motivations profondes, j’ai découvert comment ces otoko no ko dépeignent la société japonaise, “impitoyable” et “invivable” à leurs yeux.
Dans cette salle d’un immeuble de Kabukicho à Shinjuku, le quartier de la capitale qui ne dort jamais, il semblait irréel qu’à l’extérieur l’air fût glacial tant il y avait du monde. L’ambiance était feutrée, intimiste et moins enfiévrée que celle des autres soirées du quartier, à cette soirée baptisée Propaganda. Quatre “femmes” sur un canapé discutaient avec enthousiasme de sous-vêtements. “J’ai mes propres sous-vêtements, différents de ceux de mon épouse.” “Hein ? Sans blague ! Moi, je garde mon caleçon sous cette tenue.” L’une des quatre avait 43 ans et était responsable du secteur manufacturier de Tokyo.
Cheveux courts, lèvres écarlates, “elle” me confia : “Tous les jours, je suis absorbé par le travail. Il m’arrive parfois d’aller boire un verre avec des collègues, mais quand je rentre à la maison, je retrouve mes deux filles… Je suis parfaitement heureux en tant qu’homme. Mais j’avais envie d’explorer une autre facette de ma personnalité, et le moyen le plus rapide que j’ai trouvé pour cela était de me travestir. Je ne veux pas devenir une femme, de toute façon, travailler me convient mieux. Mais quand je me travestis, je peux aussi goûter au plaisir d’être une femme.”
D’où vient le goût de ces hommes d’âge mûr pour le travestissement ? Pour en savoir plus, j’ai décidé de rendre visite à Junko Mitsuhashi, 57 ans, spécialiste du travestissement et chargée de cours à l’Université de sciences humaines et sociales de Tsuru [à Yamanashi] sur les questions de genre. Mme Mitsuhashi était de sexe masculin à sa naissance, mais, ressentant un profond malaise, elle a commencé à se travestir il y a une trentaine d’années et se fait appeler Junko, un prénom féminin. Sa motivation est complètement différente de celle des travestis dont nous avons parlé plus haut et qui se reconnaissent en tant qu’hommes. Cependant, sans doute parce qu’elle appartient à la même génération qu’eux, elle a l’impression de les comprendre. “Pour notre génération, la répartition des rôles entre hommes et femmes est encore très marquée. Certains hommes souffrent de devoir se comporter virilement.” Si l’on en croit Mme Mitsuhashi, beaucoup d’hommes de sa génération, mis à part ceux qui sont atteints d’un trouble de l’identité sexuelle et qui se sentent femmes, se travestissent à l’insu de leur épouse ou de leur amante pour échapper un moment au poids de la société masculine. Le fait est que cette tendance s’est modifiée dernièrement : on remarque désormais des hommes qui sortent dans la rue travestis et qui aiment se montrer ainsi, principalement parmi les jeunes de 20 à 39 ans.
Une société sans pitié avec les hommes
Revenons à la soirée Propaganda de Kabukicho. J’avais remarqué une jeune “femme” qui se tenait en plein milieu d’un couloir. Elle portait un chemisier vaporeux blanc sur une longue jupe bleu marine. J’étais intriguée par le trop grand nœud rouge qu’elle portait dans les cheveux. Au cours de la conversation, elle a laissé échapper cette phrase : “Vous ne trouvez pas que la société actuelle gâte trop les femmes ?” Journée de la femme, wagons réservés aux femmes [lancé en 2001 par la compagnie ferroviaire JR afin d’éviter les attouchements dont sont victimes les femmes aux heures de pointe]… J’ai éprouvé une légère surprise en écoutant cette personne qui pointait du doigt tous les services privilégiant la gent féminine.
Prénommé Mizuki, ce célibataire de 29 ans loge dans l’appartement de sa sœur et du petit ami de cette dernière. Il travaille à temps partiel au service de nettoyage d’une université locale, huit heures par jour et quatre jours par semaine. Son salaire s’élève à environ 100 000 yens net [757 euros]. “Je n’ai jamais été titularisé. On dit que les hommes ont un meilleur salaire que les femmes, mais je n’ai jamais ressenti ça.” Il ne trouve pas que les hommes jouissent d’une position privilégiée dans la société. Au contraire, ils sont plus souvent affectés aux travaux physiques ingrats, surtout dans les emplois d’intérimaires. Ceux qui souhaitent travailler aux postes de service ou de réception sont refusés, sous prétexte que les clients demandent des femmes.
Mizuki a l’air intimement convaincu que, dans ce contexte [économique] difficile, la société est sans pitié avec les hommes. Je lui ai demandé ce que le travestissement représentait pour lui. “J’ai l’impression d’être promu à un ‘rang’ supérieur.” Quand il se pomponne, les gens qu’il rencontre le complimentent et disent le trouver “kawaii” [mignonne]. Cela le remplit de satisfaction narcissique. Et c’est lorsqu’il se fait draguer par des hommes que Mizuki ressent le plus ces joies infimes que lui procure la métamorphose. Il n’a pas pour autant envie d’entretenir une relation avec eux ; au collège, il avait même une petite amie. Mais quand il voit le visage stupéfait de ces hommes s’exclamant : “Mais t’es un homme !” en l’entendant parler, cela suffit à l’égayer. Et s’il n’avait jamais découvert le travestissement ? “Je serais resté au fond de mon lit à dormir, sans prendre goût à rien et sans sortir de chez moi.”
En entendant cela, j’ai compris que c’était grâce au travestissement qu’il avait pu s’en sortir et passer outre la rivalité masculine. Si l’on considère qu’une “vie normale” consiste à travailler, se marier, fonder une famille et avoir des enfants, Mizuki pense qu’il s’est sans doute un peu écarté du droit chemin. “Si j’avais pu mener cette existence, je ne me serais pas travesti”, poursuit-il. Grâce au travestissement il a pu aller de l’avant, cela lui a donné l’occasion de sortir. Comme résolution pour sa trentième année, il a décidé de s’inscrire dans une école spécialisée en technologie de l’information. Une fois diplômé, il aimerait travailler dans ce secteur et être titularisé.
Sortir des clichés
Dans le quartier populaire de Monzennakamachi, à Tokyo, un garçon entre dans un restaurant d’une rue animée. Venant directement de son lieu de travail, il porte un costume noir sans cravate et marche à grandes enjambées. Il n’a rien à voir avec la personne que j’ai vue dans les toilettes de la soirée Propaganda, celle qui avait opéré sous mes yeux une métamorphose extraordinaire en femme. Elle avait alors jeté un coup d’œil dans le miroir ; un regard par en dessous, le menton tiré à la manière typique des jeunes filles. Ce visage-là a disparu pour laisser place à un jeune homme qui se présente sous le nom de Miyu. Il rit de façon très masculine en renversant légèrement en arrière le haut de son torse. Manifestement affamé, il avale en un rien de temps une portion de pâtes carbonara pour deux personnes. Lui aussi me dit qu’il envie le sort des femmes.
Cela fait plus de deux ans qu’il est entré dans la vie active et travaille dans le secteur des technologies. “Que les personnes compétentes dans leur travail méritent plus, c’est là une norme communément acceptée. Mais je n’ai jamais pensé que les hommes devaient être plus dynamiques au travail, ni qu’ils devaient se consacrer à leur carrière, ni que l’on peut se contenter des tâches subalternes parce que l’on est une femme. Au travail, on est sur un pied d’égalité, et c’est comme ça que ça devrait se passer.” Est-ce justement parce qu’il considère que les femmes ont un statut égal au travail qu’il les envie ? Miyu, tout en aspirant au “glamour” féminin, a parfois le sentiment d’être “lésé”. “C’est un fait que la plupart du temps les hommes paient plus que les femmes. Je ne suis pas contre le fait de payer, mais je trouve inadmissible qu’il soit considéré comme normal de faire payer les hommes.” Il refuse les idées reçues. Mais dans ce cas, pourquoi donc se travestir ? “Quand je suis une ‘femme’, j’ai envie d’attentions, mais quand je suis un ‘homme’, je veux me concentrer sur mon travail. Je déteste les clichés, mais…” Dernièrement, il a rencontré une fille, et celle-ci l’aide de temps en temps à choisir les vêtements qu’il porte pour se travestir. “Une relation où chacun peut s’appuyer sur l’autre est idéale”, dit-il.
Avoir le moyen de s’appuyer sur quelqu’un quand on le souhaite, serait-ce l’apanage des femmes ? D’après ce que nous avons appris d’UNI, la société de production événementielle qui organise les soirées Propaganda, le nombre de participants n’a jamais cessé d’augmenter depuis la création, en août 2007. Au début, ils étaient une centaine, et leur nombre dépasse maintenant les 400. En 2009, on a vu naître un magazine spécialisé dans le travestissement, Otoko no ko Club [rebaptisé en 2011 Otoko no ko Jidai (La génération otoko no ko), éd. Myway].
“Le travestissement est un moyen de s’exprimer”, affirme Shun Aranami, salarié de 32 ans résidant à Tokyo. Alors que beaucoup d’hommes sont encore réticents à l’idée de dévoiler leur hobby atypique, M. Aranami s’est laissé prendre en photo et m’a même donné son accord pour que je mentionne son vrai nom dans l’article. Peu à peu, on commence à trouver de jeunes hommes qui souhaitent apparaître dans des magazines en tenue de femme.
La société change
Grâce à Internet, les hommes peuvent acheter des vêtements et des produits de maquillage en toute discrétion. A la télévision, on s’habitue à voir des personnalités très populaires travesties, et leurs apparitions n’ont plus le caractère sulfureux qu’elles avaient auparavant. Les jeunes Japonais d’aujourd’hui sont peu poilus et soignent beaucoup leur peau. Qu’un homme porte des chemises roses ou à fleurs est désormais considéré comme élégant. Toutefois, le facteur le plus important est que les codes de la féminité et de la virilité ont commencé à se confondre. Les jeunes comme Mizuki et Miyu perçoivent les choses d’une manière différente de celle des hommes d’âge mûr et des seniors, en ceci qu’ils n’ont jamais cru à la “société dominée par l’homme”. La loi sur l’égalité des chances votée en 1986 interdit la discrimination sexuelle au travail. Les hommes et les femmes sont censés être traités de la même manière par leur employeur. En 1993, les cours de technologie et de kateika [“affaires domestiques”, cours dans lesquels on apprend notamment à cuisiner et à coudre] sont devenus obligatoires au collège pour les filles comme pour les garçons. Les jeunes générations sont sceptiques devant le fait que les modes de vie et de travail puissent être définis par une distinction entre les sexes.
La mentalité des femmes a également changé. Si l’on en trouve qui se montrent plus compréhensives à l’égard de leurs maris ou de leurs amants qui se travestissent, les Japonaises dans leur ensemble ne recherchent plus une virilité excessive chez leur partenaire. “Dernièrement, les règles imposées aux femmes se sont estompées, de même que celles imposées aux hommes, analyse le Pr Mitsuhashi. Le travestissement était perçu par les générations antérieures comme une déchéance, socialement parlant. Il était pis encore de choisir de devenir une femme. Mais les jeunes d’aujourd’hui commencent à trouver que les hommes sont plus à plaindre que les femmes, c’est pourquoi ils veulent sortir du rôle de l’homme malheureux et devenir une femme choyée.”
Junko Saeki, professeur de culture comparée à l’université de Doshisha à Kyoto et auteure de Jyoso to danso no bunkashi [Histoire culturelle du travestissement chez l’homme et la femme, éd. Kodansha], estime au contraire que la mode récente du travestissement chez les hommes est l’un des fourvoiements de l’égalité des sexes. “Alors que les hommes subissent la pression de devoir gagner leur vie à tout prix, des femmes sont autorisées par le biais du mariage à dépendre financièrement de leurs époux. Avec la récession, le marché du travail s’est durci et l’on comprend qu’il y ait des hommes qui cherchent à s’en échapper en prenant le rôle de ces femmes.”
Depuis l’époque du héros légendaire Takeru Yamato [prince impérial dont l’existence n’est pas avérée, qui aurait vécu vers le IIe siècle et se serait travesti en femme pour tromper l’ennemi], le travestissement a été dépeint dans de nombreux écrits. Mais sa signification latente revenait à associer la femme à un être faible. “Il se peut que le travestissement soit un phénomène étrange par lequel des hommes se ‘rabaissent’ volontairement au niveau des femmes pour ensuite s’‘élever’ en acquérant des privilèges”, ajoute Mme Saeki.
Encore des progrès à accomplir
Je me suis alors rappelé la conversation que j’avais eue à la fameuse soirée avec un homme qui se présentait sous le nom de Yuki Yoshino. Agé de 28 ans, il travaillait à la comptabilité d’un grand fabricant. Comme il m’expliquait qu’il se travestissait pour “profiter à la fois des bons côtés des hommes et des femmes”, je lui ai demandé quels avantages il trouvait à être une femme. Il a répondu : “Elles ont plus de choix que les hommes, que ce soit au niveau des vêtements, du maquillage, de la coiffure. Elles peuvent même choisir leur vie, continuer à travailler ou s’arrêter pour être femme au foyer. Parmi les femmes qui ont été recrutées en même temps que moi, certaines ont démissionné pour se marier ou en raison de leur grossesse, mais nous, les hommes, nous n’avons qu’une seule issue.” Il m’a expliqué également : “Pour devenir cadre dans une société prestigieuse, il n’y a pas de doute qu’il est plus avantageux d’être de sexe masculin. Mais il y a dans mon entourage des hommes qui ne sont visiblement pas faits pour une carrière et je pense que s’ils étaient des femmes, ils auraient pu arrêter de travailler et devenir femmes au foyer.”
Dans une série d’enquêtes intitulée “La réalité des trentenaires, quels choix ont-elles ?” parue dans le Mainichi Shimbun à la fin de l’année dernière, j’avais interviewé des jeunes femmes qui devaient choisir entre arrêter de travailler ou concilier leur travail, les tâches ménagères et leurs enfants. Même si l’alternative existait, elles n’avaient pas vraiment la possibilité de choisir [la plupart des Japonaises démissionnent lorsqu’elles se marient ou tombent enceintes, par contrainte sociale]. C’est certainement une situation dans laquelle beaucoup de Japonaises se retrouvent aujourd’hui. Dans cette série, j’avais tenté de décrire les difficultés propres à la condition féminine. Je ne peux m’empêcher du coup de ressentir un malaise devant ces hommes qui trouvent plus avantageux d’être une femme. Mais en enquêtant pour le présent article, j’ai eu l’impression que les hommes aussi revendiquent le droit d’avoir le choix. Dans ce cas, ne pourraient-ils pas faire front commun avec les femmes ? A la fin de mon interview, M. Yoshino m’a confié : “Quand je me travestis, je peux établir des relations humaines qu’il me serait impossible d’avoir en tant qu’homme dans cette société masculine.”
Cinq ans après avoir été embauché dans sa société, il a été muté à la suite d’une restructuration des services déficitaires. Il a vu ses employeurs pousser les salariés de plus de 40 ans à démissionner, et se dit depuis qu’il pourrait se retrouver dans la même situation que ses aînés. Si son existence est limitée au statut de salarié de telle ou telle société, c’est toute son identité qui peut être mise en danger. “Pour un salarié ordinaire, le monde se résume à son lieu de travail. A l’époque actuelle, il paraît normal et important de nouer des liens en dehors du travail”, dit-il. A travers ses paroles, j’ai eu l’impression que ces hommes ne faisaient pas qu’envier les femmes. Chacun d’eux tente de trouver une issue différente à sa vie dans cette société, et dans cela j’ai vu un certain espoir.
If you're low-income, here's what you're doing wrong
Kuchikomi Nov. 28, 2013 - 06:30AM JST ( 19 )
TOKYO —
Poverty in the midst of riches is a persistent and widening Japanese theme. “Japan Inc” stumbled badly in the 1990s and has yet to right itself. Companies stopped hiring. Young people graduated from university with no place to go. For want of better opportunities, they took part-time jobs.
Now, more than a third of the Japanese work force is part time. Even full-time employees complain of being overworked and underpaid. Pleading penury, many have put off marriage, indefinitely if not forever. Anger gave way to resignation, of which the “herbivorous male,” easygoing, disengaged and unambitious, is a prominent symbol.
Spa!, in an annual supplement, cracks the whip. If you’re earning less than 3 million yen a year it’s your own fault, it says in effect. The economy is bad but yields to those who squeeze it. What’s the difference between high and low wage earners? Essentially, in Spa!’s view, failure of the latter to grow up.
Eternal youth has its place but not in business. “I spend my weekends rehearsing and partying with my rock band,” says a 46-year-old at the low end of the medical supplies business. Your privilege, sniffs Spa! – but clinging to teenage dreams is no way to get ahead in the world.
Two points emerge from the magazine’s interview with investment consultant Tokio Godo. One: Communication is life in the business world. Be good at it and you’re on your way to success. Shrink from it – as many young people do nowadays – and your present rut will be a permanent one.
Two: Don’t lead two lives, one on-duty, one off. Be “on” all the time. Even hobbies, even shopping, should be, however distantly, work-related. Both, to the true communicator, offer scope for enlarging knowledge and contacts. Being a weekend rocker is no disqualification, but the man’s attitude (Spa! says) is – he works only to live and lives to rock. Maybe he’s happier that way. Maybe we all would be. But that’s another subject.
Surveying 200 low-income company employees, Spa! discovers some dreadful personal habits that, in its opinion, make rising in the world pretty much impossible. They include workplace behavior but are not confined to it – naturally enough, if, as Godo claims, anything you do anywhere reflects the attitudes and skills you bring to your job. For example: 81% of respondents have never been to a wedding. So what? It matters because it indicates a narrow (or nonexistent) circle of friends, and a corresponding lack of social savoir-faire. Can that possibly be good for business? Eighty percent say they often back out of engagements at the last minute, which suggests not only unreliability but discomfort with people and a preference for solitude. That’s not a preference that favors the corporate ladder-climber.
Among the most common workplace sins are spending too much office time surfing social networking sites, which 97% of respondents confess to, and a tendency to daydream at work (75%). Evidently many people find their jobs less than absorbing, and seek to escape them rather than make them better.
Then there’s shopping. What’s in your shopping bag reveals more about you and your potential than you may realize, Spa! finds. The relentless pursuit of the new and fashionable is a bad sign – it shows lack of firmness of purpose. The man who drops into a convenience store and spends 3,000 yen, as 64% of respondents sometimes do, is on the wrong track – he settles too easily for the easy way out. Likewise for the man who buys lottery tickets instead of investing in stocks.
Fully 98% of respondents use their smartphones at mealtime. It’s the most widespread vice of all, edging out the 97%, mentioned above, who troll SNS sites during working hours. If economic revival depends on a more focused attention to the off-screen world, it could be a long time coming.
Mais le cout du smartphone j'avoue que ce truc vivement qu'il disparaisse car le truc qui tue la vie c'est bien çà avec ces lobotomisé qui reste scotché dessus.
Rien à voir mais quand Cyril m'avait présenté à des amis à lui pour eux je vivais sur une baraque en pilotis et tous les matins je plongeais dans le lagon pour chasser la porcelaine du petit déj... Bref.
Rien à voir mais quand Cyril m'avait présenté à des amis à lui pour eux je vivais sur une baraque en pilotis et tous les matins je plongeais dans le lagon pour chasser la porcelaine du petit déj... Bref.
En même temps, le français (très) moyen, comment voit-il les japonnais? ;)Citation de squekky le 28 Novembre 2013 à 06:36 Rien à voir mais quand Cyril m'avait présenté à des amis à lui pour eux je vivais sur une baraque en pilotis et tous les matins je plongeais dans le lagon pour chasser la porcelaine du petit déj... Bref.
Comme des chinois. :PCitation de MCL80 le 28 Novembre 2013 à 17:50 En même temps, le français (très) moyen, comment voit-il les japonnais? ;)Citation de squekky le 28 Novembre 2013 à 06:36 Rien à voir mais quand Cyril m'avait présenté à des amis à lui pour eux je vivais sur une baraque en pilotis et tous les matins je plongeais dans le lagon pour chasser la porcelaine du petit déj... Bref.
Des mangeurs de nems quoi :DCitation de kgeg le 28 Novembre 2013 à 18:10 Comme des chinois. :PCitation de MCL80 le 28 Novembre 2013 à 17:50 En même temps, le français (très) moyen, comment voit-il les japonnais? ;)Citation de squekky le 28 Novembre 2013 à 06:36 Rien à voir maisquand Cyril m'avait présenté à des amis à lui pour eux je vivais sur une baraque en pilotis et tous les matins je plongeais dans le lagon pour chasser la porcelaine du petit déj... Bref.
(oui je sais que c'est vietnamien)
(http://24.media.tumblr.com/5b3ba370ae63d4152e0927a866f86c28/tumblr_mwxnqcSKda1qewacoo1_500.jpg)Citation de squekky le 28 Novembre 2013 à 06:36 Mais le cout du smartphone j'avoue que ce truc vivement qu'il disparaisse car le truc qui tue la vie c'est bien çà avec ces lobotomisé qui reste scotché dessus.
All this technology is making us antisocial(http://imgur.com/WkHHpZ1)
(http://forum-images.hardware.fr/images/perso/dpenche.gif)Citation de squekky le 28 Novembre 2013 à 06:36 Rien à voir mais quand Cyril m'avait présenté à des amis à lui pour eux je vivais sur une baraque en pilotis et tous les matins je plongeais dans le lagon pour chasser la porcelaine du petit déj... Bref.
Putain mais en fait tu aimerais trop ca !
Ouais baraque sur pilottis au bord du lagon... Mais non au final je suis bien avec ma baraque vu sur les montagnesCitation de kgeg le 28 Novembre 2013 à 11:33 (http://forum-images.hardware.fr/images/perso/dpenche.gif)Citation de squekky le 28 Novembre 2013 à 06:36 Rien à voir mais quand Cyril m'avait présenté à des amis à lui pour eux je vivais sur une baraque en pilotis et tous les matins je plongeais dans le lagon pour chasser la porcelaine du petit déj... Bref.
Putain mais en fait tu aimerais trop ca !
Citation de iDam le 28 Novembre 2013 à 22:22 Comme des gens un poil plus racistes que la moyenne :o
Un exemple(http://fugushima.blogspot.fr/2013/09/le-tunnel-qui-relie-la-coree-au-japon.html)
D's©
(https://pbs.twimg.com/media/CHsXIhmW8AA2j1I.jpg)
C'est bien connu, rien ne protège mieux des coups de griffes et d'épées que la peau humaine ! Enfin sauf sur les seins et le pubis, bien sûr !
Non, les geta étaient des DJ à l'origine.
à l'origine de l'origine, c'était même des journalistes géopolitiques !
(Ceci est un article satirique, au cas ou il y aurait un doute. :o)
(cliquez pour montrer/cacher) (Ceci est un article satirique, au cas ou il y aurait un doute. :o)
Le Japon : séances "corporate" de pleurs collectifs.
http://www.bbc.co.uk/news/magazine-37178014
Tinou, vite, reprends tes études, on a un job pour toi !
https://www.guyjin48.com/