J'ai suivi sa campagne, j'ai pas lu les articles du MJS :mrgreen:
Re: Faits divers et compagnie
« Réponse #2040, le 12 Juin 2007 à 11:24 »
Mais oui, mais oui.
Le Retour à l'Inquisition est dans le paquet de lois prêt à passer à l'Assemblée UMP :yahou:
"Passe ton bac d'abord", pas si facile
[2007-06-14 16:16]
JAIPUR, Inde (Reuters) - Un fermier indien de 73 ans qui a fait le serment de ne pas se marier avant d'avoir obtenu son diplôme de fin d'études secondaires a échoué à cet examen pour la 38e fois.
Shiv Charan Yadav a repassé chaque année cet examen - auquel prétendent normalement des élèves âgés de 15 ans - depuis 1969, échouant à chaque tentative.
Cette année, il a été recalé dans toutes les matières à l'exception du sanskrit, n'obtenant au final qu'une note de 103 sur 600.
L'épreuve de mathématiques - qu'il a trouvée particulièrement ardue - aurait selon lui nettement fait chuter sa moyenne.
"Une fois que je serai reçu à cet examen, je veux épouser une jeune fille âgée de moins de 30 ans", a déclaré à Reuters Shiv Charan Yadav, qui vit seul dans le village de Kohari, dans l'Etat du Rajasthan, au nord-ouest de l'Inde.
Pour l'instant, il a commencé ses révisions en vue de son 39e essai, l'an prochain.
Un document militaire de 1994 évoque la création d’une arme chimique destinée à "rendre homosexuels" les combattants ennemis.
Des hélicoptères américains disperseront-ils un jour du gingembre, des huîtres, ou de la poudre de corne de rhinocéros au-dessus des tranchées des talibans ? L’idée est en tout cas passée par la tête des chercheurs de l’US Army, qui ont même envisagé de développer une « bombe gay ».
« Un exemple dégoutant mais totalement non-létal serait un puissant aphrodisiaque, en particulier si ce produit chimique provoque des attitudes homosexuelles », indique ainsi une note écrite en janvier 1994 par un laboratoire de l’US Air Force (consulter le document en PDF).
Déjà évoqué sur certains sites spécialisés depuis 2005, ce document a été rendu public récemment par le « Sunshine Project », un groupe qui milite contre les armes chimiques. On y apprend que le laboratoire réclamait 7.7 millions de dollars sur six ans pour mener à bien ce projet en l’an 2000, après plusieurs essais in vivo. La note précise toutefois que « les produits chimiques susceptibles d’affecter le moral et l’efficacité des unités restent à créer ».
Après sa publication, le document a provoqué l’indignation d’associations gays américaines, qui soulignent que de nombreux homosexuels ont servi loyalement l’armée américaine.
Le Pentagone relativise
Interrogé par CBS, le Pentagone a assuré que l’idée, simplement évoquée au cours d’un « brainstorming », avait été balayée d’un revers de main, et qu’aucune « bombe gay » n’était en développement dans ses labos. Une affirmation que conteste le « Sunshine Project », qui soutient que la note incriminée a été régulièrement distribuée dans des CD-Rom de promotion des armes non-létales à vocation interne.
Le document de 1994 évoquait plusieurs autres pistes d’armes chimiques des plus originales, sur lesquelles le « Sunshine Project » souhaite également attirer l’attention (un florilège des armes non-létales imaginées par les militaires américains).
Le document de 1994 évoque également le développement de plusieurs armes non-létales, parmi lesquelles des produits chimiques peu ragoutants :
- Un marqueur chimique destiné à attiser l’appétit sexuel des cafards, afin qu’ils envahissent les campements ennemis.
- Un produit plus agressif susceptible d’attiser l’agressivité des abeilles, des guêpes ou de prédateurs plus gros, pour les forcer à attaquer l’adversaire.
- Une substance qui rendrait les yeux des ennemis ultra-sensibles aux rayons du soleil.
- Un marqueur chimique, visuels ou odorants destinés à distinguer les ennemis des civils.
L’armée américaine a d’ailleurs déjà fait usage de « boules puantes », ainsi que le révèle un autre document datant de 1997 publié par le Sunshine Project. En 1944, le Comité de recherche de la défense nationale avait fourni à la Résistance française une substance à « odeur fécale », pour tourner en dérision l’occupant allemand. Mais le projet avait tourné court : toutes les populations n’associent pas les mêmes réactions aux mêmes odeurs. D’où l’idée de créer un « atlas des odeurs » pour savoir quelle senteur provoque le dégoût ou l’irritation en fonction des origines ou de la religion. L’emploi de calmants, d’antidépresseurs ou d’opiacés ont aussi été évoqués.
Mais les derniers projets sérieux en matière d’armes non-létales désertent le terrain des agents chimiques : l’armée américaine semble, officiellement du moins, se concentrer sur des canons à chaleurs, à bruit (lien), ou des boucliers à plasma.
(j'ai un chercheur qui travaille sur la seconde guerre mondiale a la residence et qui avait de croustillantes anecdoctes a ce sujet a propos de l'armee japonaise).
Hahaha, le coup du rayon fornicateur! Pour une fois, je recommande la VF, elle est grandiose!