Re: Faits divers et compagnie
« Réponse #2055, le 18 Juin 2007 à 20:58 »
La conférence des grandes écoles (CGE), qui réunit 230 établissements, a décidé de se mobiliser contre les dérives alcooliques de ses élèves. Plusieurs écoles ont déjà signé une charte où elles s'engagent à respecter les normes de l'OMS (Organisation mondiale de la santé) : au-delà de quatre «verres standards» équivalant chacun à un demi, 12 centilitres de vin, etc. , il y a menace sur la santé du buveur...
Excès. «A la rentrée 2007, d'autres écoles vont nous suivre et adopter cette norme dans leurs règlements. D'ici deux ans, nous espérons que toutes l'auront fait», explique Hervé Biausser, directeur de l'Ecole centrale Paris.
PESHAWAR (AFP) - Des députés islamistes du nord-ouest du Pakistan ont condamné mardi l'anoblissement par la reine Elizabeth II d'Angleterre de l'écrivain Salman Rushdie, une nouvelle manifestation de colère dans ce pays musulman.
Lundi, le Pakistan avait exigé le retrait du titre de chevalier conféré samedi par la reine d'Angleterre à l'auteur des "Versets sataniques", estimant qu'il constituait une offense à l'islam.
L'assemblée de la Province de la Frontière du Nord-Ouest (NWFP), dirigée par une alliance de partis musulmans extrémistes, a adopté mardi une résolution appelant Islamabad à rompre ses relations diplomatiques avec Londres, l'ancienne puissance coloniale jusqu'à la Partition de 1947.
"Cette assemblée condamne fermement la décision de conférer le titre de 'Sir' à Salman Rushdie, qui est détesté dans le monde musulman pour son livre blasphématoire 'Les versets sataniques'", proclame la résolution.
"Cette décision s'inscrit dans une campagne menée en Europe et en Occident pour heurter la sensibilité des musulmans", poursuit le texte.
Lundi, des dizaines d'étudiants islamistes pakistanais avaient hurlé "Mort à Rushdie, mort à la Grande-Bretagne!", brûlant le drapeau britannique et incendiant des effigies de l'écrivain d'origine indienne.
Agé de 59 ans, Salman Rushdie a passé des années dans la clandestinité, menacé par une fatwa lancée en 1989 par le fondateur de la République islamique d'Iran, l'ayatollah Rouhollah Khomeiny, le "condamnant à mort" à cause des "Versets sataniques" jugé blasphématoire pour l'islam.
Le Pakistan, pays de 160 millions d'habitants surtout sunnites, allié des Occidentaux dans la "guerre contre le terrorisme", va officiellement protester auprès de la Grande-Bretagne, avait annoncé lundi le ministère des Affaires étrangères.
On a vecu une bien belle epoque! Faudra en parler a nos enfants...Source: Sur les campus, l'alcool ne coulera plus a flot, Liberation.frCitation de "Libe.fr" La conférence des grandes écoles (CGE), qui réunit 230 établissements, a décidé de se mobiliser contre les dérives alcooliques de ses élèves. Plusieurs écoles ont déjà signé une charte où elles s'engagent à respecter les normes de l'OMS (Organisation mondiale de la santé) : au-delà de quatre «verres standards» équivalant chacun à un demi, 12 centilitres de vin, etc. , il y a menace sur la santé du buveur...
Excès. «A la rentrée 2007, d'autres écoles vont nous suivre et adopter cette norme dans leurs règlements. D'ici deux ans, nous espérons que toutes l'auront fait», explique Hervé Biausser, directeur de l'Ecole centrale Paris.
Une voiture en feu a percuté samedi un terminal de l'aéroport de Glasgow, ville située dans le sud de l'Ecosse, a annoncé la police. "Une voiture a pénétré à l'intérieur du terminal. Elle était en feu", a indiqué un porte-parole de la police de Strathclyde, précisant qu'il était trop tôt pour dire s'il s'agissait d'un attentat. L'incendie du véhicule a été éteint à l'aide d'un extincteur. Selon Sky News, il pourrait y avoir des blessés. D'après la chaîne britannique, qui cite la police, trois personnes ont été arrêtées. L'AFP parle de deux arrestations.
Plusieurs témoins de l'incident ont précisé que le véhicule en feu était un 4X4, une jeep Cherokee, et que deux hommes se trouvaient à bord. Un homme, dont les vêtements étaient en feu, serait sorti du véhicule avant d'être immobilisé par des passagers. Le terminal a été évacué et, en conséquence, tous les vols ont été suspendus, a précisé la police.
"Ce n'était pas un accident, c'était une attaque", dit un témoin
"Lorsque je suis allé dans le bâtiment principal, il y avait un 4X4 qui encastré dans le bâtiment. Il était en feu et à ce moment-là, tout le monde paniquait", a expliqué un témoin, qui se trouvait dans le terminal au moment de l'incident. "La police et les services de sécurité luttaient avec un homme. Ils l'ont ensuite emmené", a-t-il ajouté.
"Une voiture a traversé le terre-plein central et s'est encastrée dans le bâtiment. Selon moi, il s'agissait d'une attaque délibérée, ces gens avaient l'intention de faire beaucoup de dégâts", a déclaré Ian Crosby, un témoin, sur BBC News. "Nous avons immédiatement pensé qu'il s'agissait d'un attentat terroriste. Ce n'était pas un accident, c'était une attaque", a-t-il ajouté.
D'après Catherine Jentille, correspondante de TF1 et LCI à Londres, des témoins auraient vu l'un des deux hommes en train de manipuler une bonbonne de gaz. Cet incident, qui n'est toujours pas qualifié d'attentat par les autorités, est survenu au lendemain de la découverte dans le centre de Londres de deux voitures piégées